MERRY X-MAS & HAPPY NEW SPERM : ONE SHOT CONTEST

L'orgie des hockeyeurs

Auteure : Cchope

Béta : 35Nanou

Disclaimer : tous les personnages appartiennent à SM et moi je joue avec pour mon propre plaisir

Pour participer ou lire les autres OS du concours rendez-vous sur : h t t p : / / damn-addict-lemon . forumgratuit . fr /

.

.

L'orgie des hockeyeurs.

Ça y était, nous étions le 31 décembre un de mes jours préférés, je l'attendais toute l'année et pour l'occasion je faisais carême du sexe à partir de Noël. J'étais en route pour le chalet réservé par James, le manager de notre équipe.

J'étais Edward Cullen joueur centre de l'équipe de hockey la plus connue mondialement. Si je n'étais pas le plus costaud, je peux dire sans être narcissique que j'avais la plus belle gueule. J'avais donc loisir de profiter de la gent féminine mais rien ne valait le nouvel an de James.

Je roulais vite pour rejoindre le chalet j'étais joyeux et impatient de voir ce que nous avait dégoté James.

Lors de cette soirée, si certains des joueurs préféraient finir celle-ci en orgie pour ma part, ma préférence était d'avoir deux femmes rien qu'à moi. J'aimais pouvoir en prendre une par derrière, profiter de son cul et de sa chute de reins pendant qu'elle léchait la chatte d'une autre et voir le visage de cette dernière pendant l'orgasme.

J'appréciais aussi beaucoup en allonger une sur le dos léchant le minou de sa compagne qui avait les genoux autour de sa tête pendant qu'elle me prenait dans sa bouche. J'aimais pouvoir imposer mon rythme dans ses bouches si chaudes.

Ça m'excitait de mater les femmes se donnant du plaisir et j'adorais pouvoir les prendre à tour de bras.

Mais je dois avouer que ce qui me plaisait particulièrement c'était l'essence même de ces soirées.

James nous ramenais une cinquantaine de filles pour nous quinze. Les règles étaient simples, les filles qui acceptaient de participer devenaient nos jouets sexuels pour la nuit, en échange nous leur garantissions d'avoir du plaisir, de baiser une célébrité et si par hasard elles n'étaient pas choisies par l'un de nous, elles avaient l'assurance de repartir avec un gros chèque.

Le déroulement était simple, en début de soirée, nous mangions, buvions tout en faisant connaissance, aucune question trop personnelle ne devait être abordée. Ensuite à 23h30, nous nous éclipsions pour nous partager les filles et commencer la nouvelle année dans l'extase.

La répartition était tout un art, chacun voulant les plus belles filles pour lui. Nous pouvions choisir 1 à 5 filles, inscrivions chacun les noms de celles que nous voulions sur un papier et James reportait sur un tableau les choix de chacun.

Si une fille était choisie seule par un seul d'entre nous, peu importe qu'elle soit choisie par d'autres, il avait l'exclusivité. Par contre, ce gars prenait le risque de se retrouver uniquement avec sa favorite et aucune autre.

C'était donc une vraie compétition stratégique entre nous, quelques fois certains faisaient des choix juste pour faire chier un autre, mais généralement, nous avions relativement des préférences variées.

Rien qu'aux souvenirs des précédentes soirées, ma queue s'agita dans mon pantalon, j'accélérais alors pour arriver au plus vite.

Lorsque je pénétrais dans le chalet, je vis une multitude d'yeux me fixer et des sourires apparaître sur ses jolies demoiselles. D'un simple coup d'œil, je vis que James n'avait pas fait semblant cette année et qu'il nous avait vraiment gâtés.

Je fis le tour des pièces tel un coq, attirant les regards et la convoitise et ne pouvais faire disparaître ce petit sourire en coin qui je le savais me donnait tout le succès dont j'avais besoin.

Malheureusement pour ces pauvres filles, elles n'étaient pas en position de choisir avec qui elles s'enverraient en l'air, nous étions ici les seuls maîtres.

J'arrivais dans le dernier salon quand je me figeais, merde, putain, fais chier, mais qu'est-ce qu'elle faisait là.

L'euphorie qui m'avait habitée depuis mon arrivée disparue instantanément remplacée par une colère, une rage sans mesure.

Je me dirigeais droit vers elle, quand elle me vit, son sourire se fana mais après une seconde d'hésitation, vint à ma rencontre.

Je n'ai pas eu le temps de dire quoique ce soit qu'elle me tendit sa main en guise de salut :

-Bonjour, je suis Alice Pratt, dit-elle joyeuse.

-Quoi ? Lui crachais-je, A quoi tu joues Alice, lui demandais-je en la tirant par le bras pour nous mettre à l'écart.

Merde ça faisait des années qu'elle voulait faire le nouvel an avec moi, mais il était hors de question qu'Alice participe à cette orgie, qu'elle soit le joujou d'un de mes coéquipiers, et cette petite peste s'était présentée sous le nom de notre mère.

-Edward, me dit-elle enfin alors que je me postais face à elle, tu n'as rien à dire, je suis majeure et je connais les règles, fin de la discussion.

Je soufflais un bon coup, tentant de garder mon calme et les options qui s'offraient à moi. J'étais fou de rage.

-Comment as-tu fait pour arriver ici ?

-Tu sais, mon amie Bella, qui est une de tes grandes supportrices d'ailleurs, ah mais non, fit-elle théâtralement, tu ne le sais pas étant donné que tu ne l'as jamais rencontrée et qu'à chaque fois que nous sommes venues te voir jouer tu ne t'es jamais rendu disponible !

Je commençais à m'impatienter devant le babillage d'Alice, levais les yeux au ciel avant de la prévenir :

-Alice !

-Ouais bon, elle a été recrutée, finit-elle, j'ai donc fait en sorte de pouvoir l'accompagner.

Merde, ça voulait dire qu'elle aussi avait été recrutée, elle ne pouvait plus faire machine arrière.

Pouvais-je la choisir elle, et ruiner ma soirée ? Oui, bien sûr, par amour pour Alice, il était hors de question que je la laisse entre les mains de ces pervers.

Comme si elle lisait dans mes pensées :

-Edward, il est hors de question que tu joues au grand frère ici, alors, si tu ne veux pas que je te pourrisse la vie et la soirée de tout le monde, oublie-moi ?

Jamais je n'avais vu une Alice si déterminée, savait-elle vraiment dans quoi elle s'engageait ?

-Alice es-tu prête à…

Elle ne me lassa pas finir :

-Oui Edward et bien plus encore, puis elle me toisa méchamment avant de tourner les talons.

Il fallait que je trouve une solution pour lui faire passer l'envie de participer à ce genre de soirées maintenant qu'elle était entrée. Si elle plaisait, elle pourrait revenir chaque année et hors de question que je laisse cette situation se renouveler, le meilleur moyen, l'en dégoûter à vie.

Je ne souhaitais pas qu'un de mes coéquipiers abuse d'elle mais je devais trouver quelque chose pour ne plus la revoir ici et comme une illumination, je trouvais : j'allais faire morfler sa copine, j'allais tout lui faire subir, j'étais le maître ce soir et si Alice ne m'écoutait pas à l'avenir peut-être que son amie lui ferait passer l'envie.

C'est sur cette bonne résolution que je repartis fêter ce réveillon de la saint Sylvestre.

Je m'éloignais tant que possible de ma sœur ne voulant pas voir son amie ayant peur de lâcher mon objectif si elle n'était pas particulièrement à mon goût or je devais suivre le but que je m'étais fixé.

Je bus plus que d'habitude, pas besoin d'être très frais de toute manière, je ne voulais pas être au top de ma forme uniquement la dégoûter.

Je discutais avec une habituée, je l'avais eu il y a deux ans, Tanya, c'est ce qu'on pourrait appeler une valeur sûre, elle ne refusait rien et mettait du cœur à l'ouvrage dans tout ce qu'elle faisait.

A la fin de la nuit pour ceux qui le désirait c'était partouse et je dois dire qu'elle avait offert à tous un vrai show à ce moment-là. Elle avait accepté de se faire prendre par Quil et Embry en même temps alors qu'elle suçait Emmett, mais la plus grosse surprise était venue de Jacob qui en avait profité pour pénétrer Embry.

A eux cinq, ils avaient réussis à augmenter la température de plusieurs degrés. Depuis ce jour, je m'interdis d'assister à cette dernière partie, la règle étant de ne rien refuser, je n'avais pas envie de me faire perforer l'anus par un de mes coéquipiers, il en était hors de question.

L'heure des choix étaient arrivés, nous nous éclipsâmes dans une salle adjacente, James avait déjà dressé le tableau. Nous prîmes 3 minutes pour écrire le nom des filles que nous souhaitions sur une feuille. Je regrettais déjà de ne pas mettre celui de Tanya.

Il attrapa le papier du premier gars à côté de lui, c'était Emmett, sur son papier était inscrit : Rosalie, Tanya et Lauren. Je ricanais, il n'y avait pas de doute, il aimait les blondes.

Après quatre autres gars, je commençais à mieux respirer, pas une seule fois encore ma sœur n'avait été citée, peut-être que mon sacrifice n'aura servi à rien et qu'elle repartira avec un gros chèque.

Ce fut le tour de Jasper : Alice, Bella et Leah, et merde, c'était Alice en premier, fait chier, je soupirais lourdement, il me regarda incertain, je me frottais le visage avant de me reconnecter à la situation. Il fallait que j'arrive à gérer, Jasper n'était pas le pire mais il n'était pas non plus un enfant de cœur sous ses airs angéliques.

Ensuite ce fut Jacob : Bella et Leah. Puis le tour de Sam : Emilie, Leah et Bella.

Je commençais à me questionner, Bella revenait bien trop souvent, elle plaisait à mes coéquipiers, ça ne faisait aucun doute.

Enfin ce fut mon tour, je tendis le papier à James qui le lut : Bella, il inscrivit son prénom sous mon nom avant de prendre le papier suivant, mais Jacob intervint :

-Et c'est tout ? Questionna-t-il en fronçant les sourcils.

-Quoi ? demanda James.

-Putain ! Cullen, tu fais chier, pourquoi tu n'as mis qu'un prénom et en plus le sien. Me cracha Jacob.

Il était visiblement en colère, je haussais les épaules n'ayant pas à me justifier devant lui.

-Les règles sont les règles, rappela James à Jacob qui maugréa dans son fauteuil.

La plupart des joueurs eurent au moins leur favorite, James posa les photos des filles restantes, il refit un tour pour savoir qui en voulait une ou plusieurs. Jacob prit les photos pour faire de nouveaux choix, moi, je m'en tins à ma décision. Jasper décida de se contenter d'Alice, je ne savais pas si je devais m'en réjouir ou m'en inquiéter.

Il allait bientôt être minuit.

James partit sa liste en main pour conduire les filles dans les bonnes chambres, je lui demandais alors d'attacher Bella avec des menottes au lit, nue et les yeux bandés, il me fit un grand sourire en acquiesçant de la tête.

Je sais, j'étais lâche mais je ne voulais pas que ma sœur sache que le salaud qui se serait occupé de sa copine c'était moi, j'allais leur faire regretter à toutes les deux d'être venues.

Quand je vis James revenir, je partis vers ma chambre, il me fit un grand sourire carnassier :

-Amuse-toi bien mon grand.

-Ouais maugréais-je.

Putain, ça allait être le pire nouvel an de toute ma vie, j'entrais sans bruit dans la chambre, les lumières étaient tamisées, je fis quelques pas dans la pièce. Après un soupir, je me résignais à regarder la fille sur mon lit et là j'en eu le souffle coupé.

Un corps parfait était là, nu, vulnérable, laiteux… Je regardais plus attentivement les courbes parfaites de la jeune fille, ses seins pointaient fièrement vers le plafond. Elle avait les jambes serrées et autant repliées que le lui permettaient les liens. Une bouche sensuelle était à moitié ouverte, sa respiration difficile berçait sa poitrine d'une façon si érotique. De belles boucles brunes reposaient sur un oreiller, entravées par un foulard de soie sur ses yeux.

Je ne savais pas combien de temps je restais là à la contempler, mais elle commença à s'agiter sur le lit ce qui me fit sortir de ma torpeur.

J'avais oublié le pourquoi du comment j'étais là. Mais une chose était sûre, je voulais cette déesse de toutes les manières possibles et imaginables, elle allait être mienne et je m'en réjouissais déjà.

Quand, d'un coup, mes objectifs refirent surface, je respirais un grand coup c'était le moment.

Je m'avançais vers le lit, tout en me déshabillant doucement. Mon membre s'était durci rien qu'à sa vue, j'étais très dur, je respirais lentement afin de garder le contrôle avec pour seul objectif ma mission et je devais pour cela me calmer et rester méthodique.

Je réfléchissais au meilleur moyen de la faire flipper sans pour autant la traumatiser complètement, juste assez pour lui enlever l'envie de revenir.

Ma queue frémissait d'impatience face à ce corps qui nous était totalement offert. Je me dirigeais lentement vers elle, détachais alors les liens de ses pieds. Quand elle sentit mes mains la parcourir, elle bloqua sa respiration.

-Autant que tu le saches tout de suite, je ne vais pas être tendre avec toi, lui dis-je de la voix la plus froide que je pouvais. Je la vis frissonner dès que le premier mot sortit de mes lèvres puis elle esquissa un petit sourire accompagné de rougissements, je décidais de ne pas m'en soucier pour l'instant. Une fois ses liens défaits, je me saisis de ses chevilles une dans chaque main et d'un geste brusque, je les lui fis écarter, elle poussa un petit cri de surprise et moi je déglutis.

J'avais une vue superbe sur son intimité, j'aurais voulu aller la goûter mais il fallait que je garde mon objectif en tête. Je posais un genou sur le matelas entre ses cuisses, tenant toujours ses chevilles dans mes mains sans bouger, la laissant complètement offerte.

Mon sexe durcit encore plus si c'était possible, il fallait vraiment que j'accélère le mouvement avant que mes boules ne deviennent bleues mais si je voulais la rendre mal à l'aise il fallait justement que je joue avec ce temps.

Alors que je posais le deuxième genou sur le matelas, je fis courir mes mains sur ses mollets puis ses cuisses, passais rapidement un doigt entre ses plis, je ne tenais pas non plus à la blesser.

Et merde, elle était complètement trempée me faisant perdre la tête quelques secondes. L'envie de la goûter se fit de plus en plus forte, je léchais alors mon doigt pour sentir son goût délicieux.

Je déglutis difficilement tout en me reconcentrant sur mon objectif. Je m'approchais et me fis basculer au-dessus d'elle en appui sur mes bras tendus. Sa respiration était haletante, je la contemplais tout à loisir fermant alors fortement les yeux pour m'aider à me reconcentrer.

Dès que j'ouvris les yeux, d'un habile coup de rein, je m'enfonçais dans ses chairs chaudes. Elle tenta de se débattre sous l'intrusion mais ses mains attachées ne lui laissait que peu de possibilités de bouger, elle gémit.

Je ne pus retenir un grognement à mon tour, elle était si chaude et si serrée autour de mon pénis, c'était un mini paradis que d'être au fond d'elle. Alors comme un mantra, je me rappelais mon objectif.

Tout en étant enfoncé en elle, je me saisis des oreillers, me retirant d'elle et les fit passer sous ses fesses, m'offrant alors son sexe. Je me saisis de ses jambes, pris ses chevilles, les posais sur mes épaules et à nouveau, la pénétrais.

-Oh mon dieu, cria-t-elle sous l'effet de mon intrusion.

Elle m'enlevait les mots de la bouche, j'étais si profondément enfoncé que j'aurais pu jouir à l'instant. Ma respiration était complètement erratique et il devenait urgent que je me soulage, cependant je devais lui montrer qui était le maître ici et ce qu'il en coutait de faire de tels choix.

Je me retirais alors entièrement d'elle pour rentrer à nouveau tout en poussant fortement, la sensation était divine à chaque fois, je grognais et me détachais de ses chairs chaudes pour y retourner encore et encore. Je pris un rythme régulier, m'enfonçant jusqu'à la garde à chaque fois. Ma belle s'agitait sous mes assauts mais je tenais fermement ses jambes contre moi, elle était ma prisonnière et son vagin était, pour mon sexe, la plus magnifique des prisons.

Bella criait fortement à chacun de mes coups de buttoirs, je serrais les dents pour garder le contrôle, après quelques minutes de ce régime, je vis Bella s'agiter de plus en plus cherchant une délivrance qui ne venait pas.

J'hésitais à lui offrir ce dont elle avait besoin, alors que j'étais proche, sans y réfléchir, mes doigts partirent pincer son clitoris et là je sentis les parois de ma belle se contracter violemment autour de ma verge, m'obligeant à me répandre en elle dans un râle animal.

Je m'affaissais alors sur elle, je n'avais jamais ressenti un orgasme d'une si grande intensité. Je sentis alors sa peau douce et son odeur de fraise, l'envie de la goûter refit surface, j'aurais voulu parsemer son corps si doux de baiser mais c'était contraire à mes projets.

Mon esprit bataillait avec mes envies, tandis que le corps de Bella s'agitait sous moi.

Je me relevais pour ne plus peser sur elle et m'éloignais, elle était dangereuse pour moi d'autant plus que la nouvelle distance entre nos deux corps créait immédiatement un manque dans tout mon être.

Putain ! Bordel Cullen, tu dois être plus résistant que ça.

Je fermais les yeux pour pouvoir continuer à endurer cette déesse et ne pas me laisser aller. Il fallait que je me montre froid et dur.

Mon premier objectif n'avait pas du tout été atteint, elle avait jouie aussi fortement que moi, alors je réfléchis aux diverses possibilités qui s'offraient à moi, il était clair que je la voulais mienne encore et encore et je n'allais pas me gêner.

Je la désirais de toutes les manières qui soient, je savais ce qu'il me restait à faire, elle n'avait pas à me refuser.

Je m'approchais d'elle, glissais ma main sous ses fesses pour aller taquiner son anus.

-T'a-t-on déjà prise par-là ? Questionnais-je.

Elle grimaça avant de répondre un faible « non ».

Son inquiétude était palpable mais ce qui me surprit le plus c'était que je fus heureux d'être le premier qui allait la pénétrer de cette façon.

Je lui défis les menottes de ses poignets, tout en la prévenant :

-Je t'interdis d'enlever ton foulard.

Elle ne bougea pas et ne répondit pas.

-Réponds-moi quand je te parle la rudoyais-je.

-Bien maître, chuchota-t-elle.

Putain ces quelques mots firent frémir ma queue et une décharge s'insinua le long de ma colonne vertébrale, cette fille avait bien trop d'effets sur moi pour mon propre bien.

J'allais chercher dans la commode ce dont j'avais besoin pour la suite.

Je posais alors du lubrifiant sur le lit ainsi qu'un petit vibrateur.

-Mets-toi à quatre pattes, lui ordonnais-je.

Elle se redressa et se positionna comme demandé, m'offrant une vue parfaite sur son cul parfait.

Putain, il y avait seulement quelques minutes que je venais de jouir et je voulais encore la prendre comme une bête.

Je me positionnais derrière elle et fis passer ma main de ses reins à son dos, elle frissonna sous celle-ci, je retins un juron entre mes lèvres. Cette fille allait me rendre fou, je la saisis vivement par les hanches pour la pénétrer sans ménagement. Cette position me laissait une grande liberté de mouvements, me permettant de modifier la force de mes poussées au gré de mes envies. Après seulement quelques intrusions en elle, Bella fit de petits mouvements de hanches pour venir à ma rencontre. Je gémis fortement.

Ma respiration devenait difficile mais je me rappelais mes objectifs, je me saisis alors du lubrifiant et en enduisis mes doigts, j'étais toujours en elle faisant des mouvements plus petits mais toujours aussi rapide.

Alors qu'une de mes mains se repositionna sur sa hanche, l'autre enduite, partie à la rencontre de sa petite entrée. Je la sentis se raidir, quand je fis pression de mon doigt pour rentrer.

- Détends-toi, lui intimais-je.

Elle respira profondément. Le lubrifiant me permis de glisser facilement un doigt, c'était si serré. Alors que je la laissais s'habituer à cette intrusion mon autre main vint lui caresser le dos puis, lorsque je la sentis complètement détendue sous mes caresses et mes assauts, je fis rentrer le plus doucement possible un deuxième doigt.

Elle haleta sous la sensation et je me penchais alors sur elle pour aller lui pincer un sein, n'ayant pas encore touché à sa merveilleuse poitrine si douce et si chaude. Elle émit un petit cri de surprise et je commençais alors des mouvements coordonnés entre mes doigts et mes poussées, mon autre main triturant toujours un de ses seins :

-Oh oui, se mit-elle à gémir.

Rien que ce son aurait suffi à me faire jouir mais ce n'était pas le bon moment et le bon endroit. Je repris un peu de lubrifiant pour bien imprégner mes doigts, alors qu'elle en avait accepté deux, je décidais de m'enfoncer en elle jusqu'à la garde et de faire pénétrer un 3ème doigt.

Elle se crispa de nouveau et mon autre main partit alors caresser son dos, je soufflais dessus la faisant frissonner. Je commençais alors de lents mouvements avec mes doigts dans son anus.

Quand je la sentis suffisamment détendue, je la fis basculer sur le dos, plaçais de nouveau un coussin sous ses fesses alors que je mettais en marche le petit vibrateur que je posais sur son clitoris, elle gémit.

Je repris le lubrifiant, en enduisis largement l'entrée et l'intérieur du petit trou de Bella avant de me présenter.

Bella se raidit d'anticipation posant ses mains libres sur mon torse, je soufflais face à cette sensation et sans réfléchir, me jetais sur ses lèvres pour l'embrasser y mettant toute la fièvre que je ressentais à ses côtés. Elle s'abandonna totalement dans le baiser, me répondant avec fougue, ses bras passant autour de ma nuque pour me rapprocher d'elle.

Je fis alors rentrer mon gland dans sa petite entrée si serrée.

Bella s'accrocha alors à moi plus fermement se perdant dans notre bataille où chacune de nos langues tentaient de gagner.

Alors que je coulissais doucement en elle, elle haleta mettant fin à notre baiser.

-Putain c'est si bon ne puis-je m'empêcher de soupirer.

J'étais complètement enfoncé en elle, Bella avait planté ses ongles dans mon dos mais les sensations étaient tellement intenses entre ma verge comprimée dans ses chairs, les vibrations qui se diffusaient depuis le clitoris de Bella et qui m'envoyaient des ondes de plaisir jamais égalées.

Quand je sentis la poigne de Bella se relâcher dans mon dos, je repartis alors à l'assaut de ses lèvres ne sachant plus vraiment où j'étais ou ce que je faisais tout ce qui comptait c'était elle et toutes les sensations qu'elle me procurait.

Je l'embrassais à perdre haleine, commençant de lents va et vient en elle, c'était si dur de bouger tellement mon membre était comprimé, la sensation était divine, je n'allais pas tenir longtemps.

Effectivement, après quelques intrusions supplémentaires, je jouis fortement en elle accompagné de ses gémissements.

Quand j'eu repris mon souffle, mon visage calé dans son cou, me shootant à son odeur, je me retirais à regret d'elle. Elle soupira également, mon dieu qu'elle était belle.

Je ne savais plus rien de mes résolutions, la seule chose que je voulais c'était de vénérer son corps.

Après une rapide toilette, je partis donc à la découverte de celui-ci, léchant, goûtant chaque partie d'elle, m'y plongeant avec délice.

J'enfouis avec plaisir ma tête entre ses jambes alors qu'elle haletait, je fis tournoyer ma langue autour de son clitoris la faisant gémir fortement.

Au bout de seulement quelques minutes de tortures, je la sentis s'agiter.

Je m'écartais alors d'elle :

-Qu'y a-t-il ? la questionnais-je.

Je pu voir malgré le foulard que ses joues s'empourpraient, je ne pus m'empêcher de sourire face à cette réaction.

Elle hésita avant de prononcer tout doucement :

-J'ai envie de te goûter.

Si ma queue n'était pas déjà dure, ses mots l'auraient mis immédiatement au garde à vous.

Avant que je n'ai eu le temps de réagir, elle se releva me faisant basculer sur le dos et là sans que je ne puisse réagir, elle se mit à califourchon sur mon corps m'offrant son intimité alors qu'elle trouva rapidement mon sexe et le goba.

-Putain, jurais-je.

Elle aspira fortement me comprimant, sa langue tournant autour de ma turgescence. Je haletais. Alors que j'essayais de reprendre un minimum le contrôle, elle poussa ses hanches vers mon visage.

Je me saisis alors de ses hanches relevant ma tête pour l'enfouir dans son intimité. Bella pendant ce temps retirait ma verge de sa bouche tout en laissant frotter ses dents avant de venir taquiner du bout de sa langue mon gland et de me reprendre en bouche complétement.

Cette fille était une déesse, je tentais de me concentrer et de m'appliquer pour lui donner autant de plaisir qu'elle m'en procurait.

Alors que je pompais deux doigts en elle et que j'aspirais son clitoris, elle gémit sur ma queue me procurant milles sensations, mes hanches ondulaient sous elle face à sa magnifique caresse.

Alors qu'elle astiquait ma base et que ses lèvres glissaient sur toute ma longueur, je jouis fortement dans sa bouche mes doigts se recourbèrent dans son vagin et mes dents se resserraient plus fortement sur son clitoris ce qui l'envoya à son tour dans un orgasme fulgurant. Je lapais tout ce qu'elle me donna, elle était délicieuse, elle en fit de même pour moi.

Elle se laissa alors glisser sur le dos à côté de moi.

Nous respirions tous les deux très forts.

Nos respirations se calmèrent tout doucement, nous restâmes un long moment sans rien dire.

Je n'arrivais pas à comprendre tout ce qui c'était passé, comment j'avais perdu le contrôle, comment cette fille pouvait me procurer toutes ces sensations, comment pouvait-elle être aussi parfaite ?

Après un long moment, je sentis ses doigts timidement venir caresser mon avant-bras, rien que ce frôlement me rendit dur.

Je soupirais face à ma faiblesse, et me relevais pour la dévisager.

Elle avait toujours le bandeau sur les yeux, elle était toujours aussi belle et désirable.

Je m'approchais alors d'elle tel un félin, alors que je la surplombais de mon corps sans la toucher, elle murmura

- Prends-moi.

Avec une infinie douceur, je présentais mon sexe à l'entrée du sien et je glissais le plus doucement du monde en elle.

Nous soupirâmes de bien-être à l'unisson.

Je fis alors des poussées douces et profondes nous faisant haleter.

Ses jambes étaient venues s'accrocher dans mon dos alors que je m'enfonçais plus profondément en elle.

Je lui fis l'amour avec une infinie tendresse et dévotion. Nous nous embrassions resserrant nos corps l'un contre l'autre, essayant de n'en faire qu'un. Jamais je n'avais ressenti une telle communion avec aucune autre femme.

Bella appuya ses talons contre mes fesses m'intimant des poussées plus rapides, je ne me fis pas prier et accélérais le mouvement en elle, tout en restant le plus possible connecté, collé à elle.

-Oh oui, encore, oui c'est … oh oui…haleta-t-elle.

-Bella vas-y, jouis pour moi je ne vais pas tenir.

-Oui, Ed…..aaaaaaaaaahhhhhh.

Sentir ses parois me comprimer me fit partir également.

Je n'arrivais pas à tenir le compte du nombre de fois où cette femme m'avait fait jouir, Bella m'avait fait découvrir des sensations nouvelles, je compris alors que j'étais foutu, ce n'était pas normal.

Lors de notre dernier rapport, je ne l'avais pas baisée, non il fallait que je regarde les choses en face, je lui avais fait l'amour et ce n'était juste pas possible.

Alors que je m'évertuais à comprendre tout ça, à me battre contre ma raison et chercher où étaient mes résolutions, la magnifique jeune femme dont le corps était collé au mien, mon bras la serrant fortement contre moi, me ramena brusquement à la réalité.

-Dis Edward, je peux enlever le foulard maintenant ?