Auteur : Sekiryou Madhatter.
Personnages : Yumichika X Zaraki.
Résumé : Certain jour, il vaut mieux ne pas tenter le diable. C'est ce que ce dit Yumichika en retenant le frémissement de chair de poule qui passa dans son corps. S'il avait su, il n'aurait pas tenté Zaraki Kenpachi. Voilà pourquoi Yumichika le prit comme étant la seule et unique leçon que lui donna son capitaine.
Discipline à la Onzième
Chapitre I : Demande de transfert.
Yumichika renifla dédaigneusement et réajusta sa coiffure en jetant un regard perçant à son reflet. Le cinquième siège abaissa son miroir et le rangea dans sa poche en voyant le roux arriver à sa hauteur.
- Abaraï ! Lança-t-il pour signaler sa présence. Le fukotaïcho de la Sixième ralentit une fraction de seconde.
- J'ai pas le temps Ayasegawa ! J'passerais plus tard à la Onzième (si je survie, songea-t-il).
Mais déjà le paon s'accrochait à son pas.
- J'dois aller à la Treizième récup' les candidatures du mois ! Lança Renji avec aplomb. Sous-entendant qu'il était à la bourre et que son capitaine venait sans doute de les demander en le prenant au dépourvu.
- Je sais sombre idiot ! C'est bien pour cette raison que je suis là ! Tu crois vraiment que je perdrais mon temps à te suivre pour rien ! Cracha venimeux le paon.
Cette réplique fit Renji s'arrêter tout net.
- De quoi tu parle Yumichika ?
- Je te parle de dossier de candidature ! Se disant, il tendit la liasse de papier à son ami. Renji écarquilla les yeux.
- Qu'est ce que c'est ? Demanda abasourdi le roux.
- Un putain de dossier de candidature de la Onzième! Prend-le ! Je préfère te le donner en main propre ! Le fukotaïcho l'attrapa sans y croire.
- Un de vos gars postule chez nous ?! C'est qui cette tafiole ?! Jura Renji en fronçant les sourcils avec colère. Une grimace déforma le visage de Yumichika qui siffla entre ses dents.
- Une tafiole de ton espèce connard ! Renji dévisagea le paon.
- J'en veux pas ! S'indigna Renji.
- Bien sûr que tu en veux ! Trancha Yumichika en croisant les bras. Le roux secoua la tête.
- Mon taïcho ne sélectionnera jamais un homme de chez vous, tu le sais Yumichika.
- Il le prendra Renji, celui-là rentrera dans les clous. L'agacement gagna le roux, il soupira.
- Non, je ne peux pas prendre ce dossier ! Il saura que je l'aurais pistonné ! Tu veux ma mort dans d'atroce souffrance ma parole ! Il lui tendit le dossier. Yumichika secoua de nouveau la tête.
- C'est exactement ce qui va se passer, Renji. Parce que tu vas soutenir cette candidature.
- Et en quelle putain d'honneur j'irais faire une connerie pareille ?! Il allait lui jeter le dossier à la tête. Le cinquième siège décroisa les bras.
- C'est un type bien celui-là... Si je pouvais je l'aurais fait passer en demande de transfert auprès de ta division. Mais il est trop tard pour ça. L'incrédulité retint le geste du roux.
- Je t'ai jamais entendu dire du bien de quelqu'un... C'est qui ce zigoto ? Pourquoi il la fait pas lui-même sa candidature ? Trop lâche peut-être ?!
- Il ne peut pas... Siffla Yumichika.
- Et pourquoi ? Grinça Renji conscient d'être définitivement en retard. Le visage du paon perdit toute expressivité.
- Il a désobéi au Second commandement de la division... Il est encore dans le service des urgences de la quatrième. C'est Asa. Renji pâlit violemment. Devenant silencieux et presque immobile.
- C'est un très bon élément, votre division est la seule à recruter sans présentation devant un jury. Je veux que tu insistes auprès de Kuchiki-taïcho pour lui. Poursuivis sur un ton pince sans rire le paon. Le roux sembla se réveiller.
- Tu plaisantes... Marmonna-t-il.
- C'était notre nouveau huitième siège. Indiqua Yumichika.
- Putain... Yumichika... J'peux pas...
- Si quelqu'un mérite un poste c'est lui Abaraï ! Maintenant bouge tes fesses et fait ce que tu dois faire ! Moi, j'ai fait ce que je pouvais ! Yumichika s'éloigna avec colère.
C'était vraiment une journée pourri ! Renji resta un moment perdu, la mine sombre. Cette fois-ci, c'était certain ! Il allait devoir avoir une discussion sérieuse avec son capitaine et l'angoisse l'étouffa un peu. Soupirant et repartant d'un pas bien moins pressé.
Kuchiki Byakuya jeta un regard à peine un peu plus froid que d'ordinaire à son suppléant. Il se retint de relever un sourcil de surprise en le voyant entrée et poser les dossiers. Son fukotaîcho avait bien... Une heure de retard à son actif, et pourtant la remontrance cinglante qu'il avait été à deux doigts de lui servir resta terré au fond de son esprit alors qu'il le regardait évolué.
Était-ce dû à la façon dont son visage semblait fermé ? La lueur froide dans son regard lorsqu'il avait croisé le sien ? La posture inconsciemment rigide de ses épaules ? C'était bien la première fois qu'il le voyait aussi... Peu lui-même. Enfin, si.
- Abaraï ? La curiosité perça au travers de son interrogation.
- Je vous ai ramené les dossiers de candidature de ce mois-ci taïcho. Informa d'un ton neutre et vide le roux. Mais encore ? La question muette pesa dans l'air.
Renji inspira profondément d'un coup, et il sembla s'ébrouer violemment comme s'il sortait d'un cauchemar. - Veuillez m'excuser de mon retard, taïcho ! Il s'inclina. Ce n'est qu'au bout de longues minutes que le noble lui fit comprendre qu'il pouvait se redresser. Renji se mit en position de repos militaire, puis levant le nez et fixant un point perdu il ne bougea plus. Tant de formalité laissa Byakuya perplexe, quelque chose n'allait pas, il y avait anguille sous roche à son goût. Il donna l'autorisation à son fukotaïcho de rejoindre son bureau tout en le fixant.
Renji jouait un jeu étrange, il ne savait pas s'il devait être irrité ou intrigué.
- Peux-tu me dire quel est ce dossier que tu as gardé avec toi ? Lança d'un ton polaire et faussement polie. Renji s'installa le dos bien droit, le posant devant lui.
- Il s'agit d'un dossier de candidature taïcho. Répondit simplement ce dernier. Un reniflement de dédain se fit entendre, le noble se retint de grincer des dents.
- Pourrais-je savoir pourquoi tu le garde sur toi ?!
- Parce qu'il n'a pas été enregistré par la Treizième division, il n'a pas sa place dans la pile. Renji opta pour la franchise.
Byakuya n'aimait pas cette situation, Renji se moquait-il ouvertement de lui ? La pression spirituelle de son supérieur pesa sur ses épaules et aussi surprenant que cela puisse sembler, Renji agita la tête de façon négative. Comme s'il refusait une requête qui lui avait été adressé. Abaraï ne lui avait pas donné ce dossier, c'est qu'il savait que ce dernier ne devait pas être là, mais alors pourquoi le garder ? Byakuya n'esquiva pas le moindre geste vers la pile de dossier.
- Abaraï ? Seconde somation.
- Taïcho ? Il allait le faire ramper sous une montagne de dossier administratif pour le reste de l'année à venir !
- Je souhaiterais que vous consultiez les autres candidatures avant que je soutienne celle-ci.
Et de quel droit pensait-il avoir un tel honneur ?
- Il semblerait que je n'ai nullement besoin de consulter les autres dossiers. Puisque ton choix c'est déjà arrêté sur un profil. Abaraï ! Je suis tout ouïe ! Il l'avait froissé ! C'était la première fois qu'il le voyait... Vexé.
- D'où vient ce dossier ? Cracha le capitaine en le fusillant purement et simplement.
Renji franchit la distance et le posa sur le bureau. Kuchiki ne fit pas mine de poser le regard sur ce dernier.
- Il provient de la Onzième division. Ayasegawa Yumichika m'a personnellement demandé d'appuyer cette candidature. Un tic agita l'œil gauche du brun.
- Ayasegawa Yumichika ? Le cinquième siège. Lâcha d'un ton froid et vide le capitaine.
Il avait déjà croisé ce dernier, c'était lui qui se chargeait de transférer les dossiers de la Onzième en temps et en heure.
- Et en quel honneur croit-il que j'accepterais une telle chose ? De froide, le ton de sa voix tomba à polaire. Renji inspira.
- C'est une demande exceptionnelle, puisque c'est Ayasegawa qui a dû remplir de dossier de candidature. Le reniflement de dédain du capitaine Kuchiki fut douloureusement audible.
- Peut-on savoir pourquoi ce dernier ne l'a pas fait lui même en temps et en heure ? Le roux déglutit lentement, baissant les yeux.
- Il ne pouvait pas taïcho. Le silence s'étira.
- Il est encore à la Quatrième division. Sans doute en soin intensif. Ajouta le roux d'un ton simple. Byakuya se demanda de longues minutes si l'autre se moquait purement et simplement de lui.
Plus qu'exceptionnelle, cette situation n'avait aucun sens !
- Pourquoi Ayasegawa a-t-il fait une candidature en son nom ?
- Parce qu'il s'est fait radié de la Onzième division, taïcho.
La surprise fit se lever un sourcil du noble. Il avait bien entendu ?! Radier ?! Radié, et en soin intensif ? Mais qui était-ce ?
-Je n'ai pas eut vent d'une telle chose.
- Il s'agit de leur huitième siège Asa Sagaru.
Asa ? Il fronça les sourcils.
- Parlons-nous de l'homme qui a sauvé quatre shinigamis il y a une semaine de cela dans l'affaire des « Kafu Kuro » ? Sagaru Asa ?
Byakuya était très au fait de cette affaire puisqu'elle avait éclaboussé deux des plus influentes familles de négociant du Seireitei.
Des jeunes hommes issue de famille aisée faisaient enlevé et torturer des shinigamis pour leur plaisir. Sordide histoire... C'était un shinigami de la Onzième ?!
Il n'avait pas put apprendre beaucoup de détail sur les shinigamis en cause, on parlait surtout des nobles. A vrai dire, il avait même été question de culte occulte pour la jeunesse éternelle. La colère du capitaine s'évapora net.
- Cet homme a été radié de la Onzième ?
Zaraki Kenpachi radiait ses hommes ?! Le Sotaïcho n'avait pas évoqué ce point en réunion hier.
- Il le sera officieusement, s'il survit taïcho.
Survivre ? Mais qu'est ce que c'était que cette histoire ?
- Quel est le motif de sa radiation ? Renji se raidit brutalement.
- Il a désobéit au Second commandement de la Onzième division.
La stupeur passa sur les traits de Byakuya. La Onzième avait des commandements ? On ne lui avait jamais dit cela !
- Tous ceux qui contreviennent aux commandements sont morts en général... Ou radiés. Lâcha Renji en blêmissant.
- La Onzième n'a jamais radié personne (que je sache). Fit remarquer le noble. Renji acquiesça.
- Personne n'échappe aux commandements de la Onzième. Il était d'un sérieux sidérant.
Kuchiki posa son regard sur la photo de la candidature.
- Pourquoi ? Le capitaine fronça un sourcil, agacé d'étalé son absence de connaissance.
- Quel commandement peut faire radier un homme qui en a sauvé quatre ? Renji soupira.
- Le Second commandement. « Jamais de noble, tu ne tueras. »
Le capitaine de la Sixième division retint le mouvement de surprise qui le secoua.
- N'était-ce pas un cas de légitime défense ? Argua le brun abasourdi.
Oui, Asa avait tué ! Mais les nobles avaient saigné à blanc une pauvre shinigami dans le but de se baigner dans son sang. A vrai dire, les faits étaient tellement insupportable et odieux que la peine de mort semblait la plus douce qui soit pour les coupable.
- Zaraki-taïcho est intraitable. Toux ceux qui ont outrepassé les règles ont toujours été châtiées par lui.
- Comment le sais-tu ? Lâcha avec une sorte d'incrédulité nerveuse et rageuse le capitaine de la Sixième division.
- J'ai été radié. Byakuya se redressa.
- Je n'ai jamais eut vent d'une telle chose. Tu n'aurais jamais put postuler si tu avais été radié auprès d'une autre division Renji. Il y avait de la révolte dans son ton sec. Un étrange petit sourire passa sur les lèvres du roux.
- Et bien... J'ai eut de la chance que Zaraki-taïcho ne puisse pas appliquer la sanction comme il se doit.
- Quelle sanction ? Lança-t-il incrédule.
- Me tuer.
De mieux en mieux !
- Et en quel honneur ?! Je ne connais nul commandement pour lequel il serait permis de tuer ses subordonnés. Le sourire de Renji disparut.
- A la Onzième, tous les commandements mènent à la mort. Et ceux qui ne meurent pas... Zaraki-taïcho leurs brisent les jambes.
- Pour quelle raison ne t'a-t-il pas brisé les jambes ? Le noble ne voulait pas vraiment savoir la réponse, mais l'affirmation de son subordonné lui avait donné l'envie de lui démontrer la profondeur de sa stupidité.
- Pour le même motif de ma désobéissance... Silence. Décidément, Byakuya découvrait une facette insoupçonnée.
- Qui est ? Finit-il par demander en cachant la curiosité sous un ton détaché.
- J'ai été à l'encontre du Troisième commandement : « Jamais de noble, tu ne serviras ». Si vous ne m'aviez pas prit comme fukutaïcho, il m'aurait brisé... Je ne suis plus l'un de ses hommes.
Le roux eut un mouvement, il leva le menton désignant le dossier.
- Asa n'a pas eut ma chance... Je doute qu'il puisse de nouveau se battre de toute façon. Nous cherchons un huitième siège pour gérer les archives. Il fera un excellent travail... Après sa rééducation.
Pourtant quelque chose froissa le brun. L'autre parlait avec une telle certitude. Ce petit discours était très bien rodé, mais il n'allait pas bloquer un poste aussi primordial par bon sentiment.
- Donne-moi un seul argument valable pour lequel je ferais une telle chose. Renji inspira, comme s'il c'était attendu à pareil demande.
- J'ai fait quelques recherches taïcho... La shinigami qui a été tué portait le nom de Hayate Haoru. Elle était de la Cinquième division. Hayate est le nom de son mari. Son nom de jeune fille est Asa...
Le silence plana, et le regard du noble se fixa sur le dossier... Une pointe d'agacement persista en lui, alors qu'il plissait de façon infime les paupières. Il se figea dans une attitude neutre, alors que sa décision s'imposait d'elle-même.
Aucune autre demande n'aurait autant de valeur que celle-ci, peu importe les qualités que pouvaient posséder les autres candidats. Il était parfaitement injuste que le shinigami pâtisse d'avoir eut un geste héroïque, tout simplement insupportable qu'il soit renvoyé, presque tué par son supérieur pour avoir fait ce qu'il devait faire. Kuchiki sentit un vague sentiment de rage froide le traverser. Pouvait-il refuser ? En connaissant tous les tenants de l'histoire... Il ferait payer cette décision au capitaine de la Onzième.
- Tu te chargeras de sa formation. Lâcha-t-il d'un ton froid. Levant finalement les yeux pour les planter sur son fukutaîcho, son expression hurlant qu'il l'écharperait au premier signe de triomphe sur son visage.
Renji s'inclina très bas.
- Je vous remercie de cette décision taîcho. Un sifflement l'avertit de ne pas pousser sa chance.
- Mets-toi immédiatement au travail ! Puis emporte ces dossiers aux archives au passage. Je n'en ais pas besoin.
Le roux s'exécuta promptement, il relâcha sa respiration après avoir refermé la porte après lui. Cette dernière s'ouvrit brutalement, il manqua tomber et dû bondir en arrière pour échapper à la chute. Devant lui, Byakuya Kuchiki le toisait froidement.
- Que ce soit clair, ceci est la première et l'unique fois qu'une chose pareille se produit. Ne pense pas avoir le moindre contrôle sur mes décisions et mes choix. Je ne plierais plus jamais à tes caprices ! Siffla avec une colère le brun. Ce qui surprit son subordonné.
- Ce n'est pas un caprice ! S'écria-t-il bien trop fort, mais il était déjà trop tard.
Il baissa la voix.
- Je veux dire, taïcho, il mérite cette place ! Se serait vraiment trop injuste qu'il perde tout.
- Change de ton. La voix froide claqua avec un début de fureur mal contenu.
Cette histoire était absurde ! Pourquoi Zaraki avait-il massacré un homme qui avait tenté de sauver sa sœur ? Par principe ? Fut un temps, il aurait laissé cette nouvelle lui couler sur le vernis de son indifférence. Le visage de Rukia passa devant ses yeux. Mais quel principe pouvait justifier une chose pareille ?! Ce barbare n'avait vraiment aucune limite !
- Nous ne pouvons pas le laisser dans cette situation. S'agaça le roux.
Le noble ne pouvait pas revenir sur sa décision, son fukutaîcho avait déjà obtenu son accord. Et au fond de lui, il ne le souhaitait pas vraiment. Il examina Renji, puis la colère retomba, l'émotion le laissa un peu surprit.
- Tu iras à la Quatrième, et tu me feras un compte-rendu de son état. Le noble disparut dans un shunpo, laissant le roux perdu et un peu fébrile.
Qu'est-ce qui prenait à son capitaine ?
*** AND THAT'S ALL ? ***
Ce premier chapitre est là pour planter un décor, mais la division de base de cette fiction demeure la Onzième ! Donc je ne compte pas insister spécialement sur notre roux et notre capitaine.
Ceux et celle qui souhaiteraient en apprendre plus sont libre de me le faire savoir par voie de review ! Oui, j'ai écris une suite au déplacement de Byakuya. Car après tout, il y aura des bouleversements à la Sixième division avec l'arrivée de ce nouveau shinigami ! Mais je précise que je ne reviendrais pas sur cette discussion entre Renji et Kuchiki. Je publierais dans un autre volet cette suite en parallèle, et encore si l'envie vous vient de la lire !
C'est une fiction en trois chapitres, tous bouclés ! J'espère vous intéresser ! J'ai toujours voulut lire quelque chose sur Kenpachi et Yumichika ! Donc au prochain chapitre !
Un transfert en catastrophe vers la Sixième division fait remonter de très vieille rancune à la Onzième ! Qui a dit qu'il n'y avait aucune autorité à la Onzième ?
Extrait :
« - C'est quoi le problème ?! Lança-t-il perplexe vers son cinquième siège.
- Vous ne pouvez pas...
- C'EST MOI LE PUTAIN DE CAPITAINE DANS CETTE DIVISION ! Hurla-t-il.
- ET QU'EST-CE QUE CA PEUT NOUS FOUTTRE QUE VOUS SOYEZ CAPITAINE ?! IL AVAIT RAISON ! ET S'IL L'AVAIT PAS FAIT, JE LES AURAIS SAIGNE MOI-MÊME ! Rugit Yumichika.
Kenpachi se leva violemment de sa place et le silence tomba, le cinquième siège blêmit.
- Répète. Siffla Zaraki.
Oh non, Yumichika n'était pas assez fou pour ça. Zaraki-taïcho n'était pas regardant sur la forme, jamais. Mais nulle ne pouvait contester sa supériorité entre ses murs. »
