Journey Home
Traduction d'une fic de WildChildALR
Chapitre 1
Douleur.
C'état tout ce qu'il ressentait. Une douleur atroce alors que c'est chiens de romains enfoncé des clous dans ses bras. Gannicus pensait qu'il ressentirer une sorte de satisfaction en sachant qu'il avait envoyé de nombreux soldats dans l'au-delà, mais tout ce qu'il pouvait sentir était le feu de la douleur qui brûlait dans ses veines et le sang qui coulait de son corps. Mais bientôt il ne sentit que le froid qui engourdissait son corps alors que sa vie le quittait et il apercût le visage souriant d'Oenomaus. Puis, lentement, les cris de douleur et d'angoisse autour de lui devinrent des cris de joie et la puanteur de la mort transformée en odeur de sueur et de sable, alors qu'autour de lui il ne voyaient plus que l'arène de Capoue. La foule, une mer de couleurs et de voix qui crié son nom et applaudi comme un seul homme. Puis soudain il n'était plus sur la croix mais au millieu de l'arène les bras tendus alors que sa tête s'emplissait des cris des gens qui scandaient son nom. Et comme il fit son cri de guerre, il décida que mourrir comme celà n'était pas si mal.
...
La nuit était sans lune et le ciel plein de nuage menaçant, alors que deux hommes masqués avancés lentement à bord d'un chariot sur la route sinueuse bordée de croix où étaient cruxifier les esclaves de la récente rébellion. Une petite lanterne était leur seule source de lumière. L'odeur de la mort et de la décomposition des corps étaient écrasante. Beaucoup avaient évités cette route depuis la chute de Spartacus et son armée, mais ses deux hommes avaient une mission dont ils ne pouvaient pas se détourner.
"Hum" à chuchoté l'un de ses hommes en regardant défilés les cadavres en décomposition, "Personne n'a put survivre, sa ne fait trois jours qu'ils sont là,pourtant d'après l'odeur on pourrait croire que sa fait des semaines."
"C'est vrai, mais les journées, sont longues et chaudes, et un hommes cloué sur une croix ne meurt pas en quelques jours."
"Je voudrais appeller pour savoir s'il y à des survivants mais notre présence ne doit pas être découverte en espérant que certains de nos frères et soeurs soient encore en vie dans l'espoir de les libérer."
"Je voudrais être ailleurs car chaque corps sur lesquels nous tombons me transpercent le coeur. Mais nous devons voir si parmi eux certains s'accrochent encore à la vie."
Ils se sont arrêtés et ont controlés chaque corps pendant un killomètre, sans trouvés un seul survivants. Quand le plus petit des deux leva les yeux et avec un sanglot s'eclama "Koré!".
L'autre regarda rapidement les environs pour s'assurer qu'il n'y avait personne aux alentours. "Crassus, putain! Condamner un soi disant être aimé à ce cruel destin, je ne pensais pas ses merdes romaines capables de çà."
Ils ont dient une rapide prière et se sont déplacés à la prochaine croix.
"Gannicus."
Le plus grand des deux sanglotait et dit d'une voix enroué. "Je donnerais tout pour te voir retourner dans les bras de celle qui se meurt un peu plus chaque jour sans toi mon frère."
Le plus petit des deux serra son ami dans ses bras partageant leurs chagrin ensemble, une fois qu'ils eurent finis de pleurer il fit remarquer. "Même dans la mort, ce fou de celte garde un sourire béat sur le visage." L'autre sortit de leur etreinte pour le regarder de plus près, et s'est vite rendu compte que son ami disait vrai. Il mit la main sur le coeur du dieu de l'arene pour être sur qu'il était vraiment mort et sous ses doigts tremblants il sentit une preuve de vie. L'homme était près à hurlé de joie il a rapidement attrapé le bras de son compagnon.
"Ne désespérons pas. Sous toutes ses ecchymoses et se sang séché, il y a encore un souffle de vie! L'homme est vraiment invincible." Il rit doucement avec joie et soulagement, "Aide-moi à le descendre rapidement avant que nous soyons découverts."
Et ils ont de nouveaux priés les dieux cette fois pour leur rendre grâce, puis ils se sont mis au travail pour libérer leur frère de la croix de bois et soigneusement le déposèrent dans le chariot rempli de paille. Ils regardèrent autour d'eux pour s'assurer que personne ne les avait vus puis ils partirent vers les montagnes au nord.
...
Gannicus ne pouvait s'empecher de sourire en entendant le son de son épée heurtant le bouclier de son adversaire, il lui tourné autout en cherchant son point faible. Son adversaire n'était pas à sa hauteur, mais il ressentait encore un frisson en combattant. Il songeat de nouveau à sa mort et comme il en avait accepter l'etreinte facilement. Il regarda cette arène est ce dit que c'était un endroit décent pour vivre jusqu'à ce que Sibylle vienne le rejoindre dans l'au-delà. Il espère qu'elle viendra après avoir jouie d'une longue vie pleine de liberté. Pourtant la pensée de son avenir, si elle épouse un autre homme, portant ses enfants lui fit mal au coeur. Que faire si quand elle atteindra l'au-delà, elle souhaite restée aux côtés de cet autre homme? Si son amour l'oublie. Il à rapidemment repoussé ses pensées alors qu'il faisait tomber son adversaire à terre. Gannicus avec son sourire triomphant tendit la main pour aider son adversaire à se lever.
Soudain la scène autour de lui a commencé à s'assombrir, et la douleur est revenu dans tout son corps et pas seulement dans ses bras. Il haletait de douleur et une lumière dansait devant ses yeux. Je ne dois pas être vraiment mort. Pensait-il. Les morts ne ressentent pas la douleur. Il sentit ensuite de l'eau fraiche couler sur ses lèvres. Au début, il pensait que c'était un quelconque romain sadique qui essayer de la garder en vie pour prolonger sa souffrance et il essaya de refuser cette eau, mais des mains douces et une voix apaisante le calmèrent et les ténèbres le prit.
...
