Titre Il faut se méfier des Anges
Personnages/Pairing: Aziraphale, Rampa
Disclaimer: Tout à Pratchett et Gaiman
Rating : PG
Nombre de mots: 350
Cette ficlet a été écrite pour l'anniversaire de benebu, qui elle aussi apprécie Good omens, ses anges et ses démons
Il faut se méfier des Anges
.
Certaines personnes trouvent qu'il est impossible de résister aux chiots, à leurs grands yeux humides, à leur petite truffe et à leurs adorables petites pattes.
Rampa n'a jamais eu le moindre mal à leur expédier un bon coup de pied ou à manipuler le maître jusqu'à ce qu'il appelle le fourreur le plus proche. Avant que vous posiez la question, il vole les sucettes des bébés (et souffle à leur mère l'idée de les coller devant la télé pour avoir la paix), noie les chatons (voir la maman chat, le papa chat et le propriétaire avec) et c'est lui qui favorise la prolifération des pigeons en ville, espérant créer une zoonose d'origine aviaire….
Si vous le lui reprochiez il vous dirait qu'il ne fait que son job !
Il n'y a qu'un être au monde capable de le refréner et il s'agit d'un libraire de Soho, qui entre autres particularités d'essayer de vendre le moins de livres possibles, de donner du pain aux canards de St James trois fois par semaine et d'être plus que régulièrement dans le collimateur du fisc.
Et accessoirement, d'être un Ange.
« Ce n'est pas la peine de me regarder comme cela.
—Je ne te regarde pas d'une façon particulière. Je dis juste que j'ai du travail avec ce nouvel inventaire.
—D'après notre Accord, tout ce qui est dans ce périmètre me revient ! Alors ce n'est pas la peine de bouder à cause d'une gamine tombée dans la drogue.
—Je ne boude pas, Rampa. Je te dis juste que je ne peux pas venir dîner ce soir avec toi car je dois terminer avant l'arrivée des agents du Trésor. ….
—Tu sais qu'il suffirait que tu fasses un miracle ?
—Je ne vais pas utiliser mes pouvoirs pour une telle chose. Ils sont pour aider les gens !
—Et si je prenais moi-même un rendez-vous pour la gosse chez un spécialiste des cures de désintoxication ?
—J'aurais quand même du travail.
—….
—Mais tu pourrais rester, commander des pizzas et j'ai déjà de la bière. A deux, cet inventaire sera plus vite fini. »
.
.
Fin.