Discliamer, les perso de bleach ne m'appartiennent pas, et pourtant j'en aurais actuellement plus besoin que leur auteur.
Hitsugaya Toshirô pénétra dans son bureau, fit le tour de sa table, et constata avec contentement que son insolente lieutenant n'avait pas surélevé son fauteuil avec des dictionnaires.
S'installant, il vit enfin la grande enveloppe à cachet rouge, celui des urgences. Il fronça légèrement les sourcils et saisit l'enveloppe, qu'il décacheta. Dès les premières lignes, il reconnut l'écriture brouillonne et légèrement animale d'Abarai. Il soupira, et lut tout de même le début :
« Bonjour, Hitsugaya Taichô.
Je souhaitais vous faire part d'une histoire très drôle qu'Inoue m'a racontée dans le monde réel… »
D'un coup de reiatsu, il trancha la lettre en deux.
Une nouvelle fois, il se demanda pourquoi ce lieutenant qui n'était même pas de sa division le harcelait pour lui raconter des histoires « drôles » (les mots sont de lui).
Il soupira avant de saisir la lettre qui lui annonçait avec moult explications qu'il ne lirait pas pourquoi le budget alloué à la dixième division allait encore être réduit.
Plus loin, mais pas tant que ça.
Renji fit basculer Rangiku sur le lit en l'embrassant furieusement. Au lit comme à la vie, il dominait.
Il se décolla d'elle et la contempla. Encadré par ses deux mains, elle avait tout de même le sourire malicieux et triomphant d'enfant fautive mais fière de sa bêtise qu'Ichimaru avait accroché à son visage.
Elle posa un doigt taquin sur son nez avant de susurrer :
-Ts, ts, Renji, qu'est ce qu'on avait dit déjà ?
Il grinça légèrement des dents.
-On avait dit que tant que tu n'aurais pas fait rire mon capitaine, tu n'auras pas le droit d'être au dessus.
D'une légère pression de la main sur sa joue, elle l'incita à inverser les positions.
Renji la contempla sa magnifique nudité.
Oui, au lit comme à la vie, il dominait. Sauf avec elle.
