Tout d'abord, avant de commencer cette fan fic, je voudrais faire une petite introduction. Cette fan fic va être centrée sur les personnages de Wilson et House où je développerait de chaque côté leur histoire personnelle (tout cela sera bien sûr issu de ma propre imagination donc si je tapes dans le mille ce sera bien évidement purement fortuit)
Il aura peut être un peu de ship (Wuddy, Hameron ou autre), j'essayerai également d'insérer l'humour Housien et de me conformer a l'esprit de la série (mais je ne promet rien je ne suis pas David Shore ) et j'insérerais quelques consultations et un cas médical mais n'étant pas étudiante en médecine je ne promets rien sur la précision (je ferais quelques recherches mais pardonnez moi d'avance pour les erreurs et incohérences possibles) Enfin, mes titres de chapitres sont en anglais mais n'ayez pas peur le reste est en français. Voici donc ma nouvelle fic intitulé "My Pain, My Story".

Je tiens également à préciser que je n'écris pas cette fic dans un soucis d'un texte irréprochable. Bien sûr, j'aime quand c'est bien écrit, mais j'ai d'autres fics, de vraies fics sur mon compte FP sur lesquelles je bosse beaucoup plus sérieusement, en vu d'une publication. Donc ne vous attendez pas à du grand art, les fanfics étant avant tout pour moi un plaisir personnel plus qu'autre chose. Merci de votre compréhension ^^ (ah ui ... les personnages ne sont pas à moi bien évidement mais je les fais quand même souffrir muhahahaha *BAAFFE*)

Chapitre 1 : Family's Sight

Comme tous les matins, Gregory House arrivait en retard. Avec sa chemise non repassée, trainant la patte pour se rendre en consultations forcées que le docteur Cuddy lui imposait maintenant encore plus qu'avant. Il se dirigea vers la directrice de l'hôpital Princeton, qui le regardait d'un air désespéré. Elle semblait l'attendre depuis un certain temps déjà. Et pour cause, car il n'était pas moins de deux heures de l'après-midi.

Cuddy : Vous êtes en retard !!!
House : Oh mais c'est mon rayon de soleil du matin ... *baissant les yeux* je parlais bien sûr de votre décolleté plongeant.
Cuddy : Voilà plus de 3 heures que vos patients attendent pour une consultation. Vous deviez commencer votre journée à 11 heures.
House : Trois heures ? Oh parfait, je pensais être plus en retard que cela. Dites moi ... c'est un nouveau haut celui la ? Je ne l'avais encore jamais vu ... Remarquez pas étonnant que ne vous l'ayez pas encore mis, il est bien trop décolleté pour venir travailler.
Cuddy : Au lieu de reluquer ma poitrine comme à votre habitude, allez plutôt en consultation, tenez !

Et sans plus attendre, elle lui fourra une petite pile de dossiers dans les bras.

House : *avec un air d'enfant qu'on vient de gronder* M'maaannn !!!

D'un mouvement de tête désespéré, elle tourna les talons et s'en fut, laissant House seul face à une salle d'attente pleine à craquer, non sans lui offrir cependant une vue des plus consolatrices sur son postérieur. House ne put s'empêcher de laisser filtrer un sourire appréciateur.
Il regarda la pile dans ses bras et la posa sur le comptoir, prenant le premier dossier avant de se diriger à contre cœur vers la salle pleine de patients.
Une fois face aux individus qui l'attendaient depuis longtemps, il stoppa son pas et ouvrit le dossier qu'il tenait dans les mains.

House : Monsieur ... Jek ?
Une patiente : Il est déjà dans la salle de consultation je crois ...

House jeta un regard du côté de la salle de consultation numéro 1, où on pouvait voir un patient se tapant la tête contre un mur.

House : oui je vois c'est celui qui menace de faire s'écrouler le bâtiment d'une minute à l'autre si je ne l'arrête pas. La journée commence bien ...

House se dirigea vers la salle et entra puis referma la porte.

House : Mais arrêtez donc !!! Aurait t-on oublier de vous dire que les murs ne sont pas éternels ? Je pourrais supposer aussi que c'est le mur qui vous a attaqué le premier mais à en juger par son incapacité à bouger je jurerais que vous vous êtes trompé de service. La psychiatrie c'est à l'étage inférieur !!!

Le patient s'arrêta, les larmes aux yeux. Il regarda House.

Jek : Voilà plus de trois heures que je vous attends. J'ai une migraine terrible qui ne veut pas partir.

House fit la moue, signe qu'il réfléchissait à une solution.

House : Attendez voir ... Je crois bien que j'ai un remède pour ça.
Jek : Vraiment ?
House : oui une minute ca va me revenir ... ca s'appelle .... *frappant sa main gauche avec son poing droit* oh mais oui suis-je bête : de l'ASPIRINE !!!! Bien sûr, comment n'y ait je pas pensé plus tôt ?
Jek : vous croyez que je n'ai pas déjà essayé ?
House : essayez quelque chose de plus fort !
Jek : ca ne marchera pas ...
House : Qu'est ce que vous en savez ?
Jek : Je le sais c'est tout !
House *ironique* : oh excusez moi, j'avais oublié que vous étiez médecin.

Jek le regarda d'un air excédé. House soupira et prit une feuille d'ordonnance.

House : Je vous prescris de l'Expandox, c'est de l'acide acétylsalicylique. Ca vous empêchera d'attaquer les murs.
Jek : Merci

Le patient se leva et franchit la porte.

House *hurlant* : Et la prochaine prenez vous en aux parpaings ca fait encore plus mal et ça ne met pas en danger la vie d'autres êtres humains.

Il sourit en pensant que cet idiot de Jek ne s'était même pas aperçu que House n'avait fait que lui prescrire une forme de paracétamol moins connue et que l'acide acétylsalicylique n'était autre que l'autre nom donné à l'aspirine.
Après avoir sorti une figurine du nez d'un enfant et rassuré pendant plusieurs minutes (à sa manière) des mères affolées par l'écoulement nasal de leur progéniture, il entreprit d'aller prendre un repos bien mérité dans une salle de consultation vide.
Il s'allongea sur la table de consultation, après avoir prit au préalable sa télévision portative qu'il avait cachée en dessous. Il l'alluma et regarda pour la énième fois sa série médicale préférée.
Alors que son épisode était déjà bien entamé, la porte s'ouvrit, laissant place à son meilleur ami, qui soupira en le voyant paresseusement allongé sur la table de consultation.

House *levant un sourcil* : oups ... grillé !
Wilson : J'étais sûr de te trouver là ...
House : Tu as deviné tout seul ou c'est la salle d'attente pleine de monde qui t'as mis la puce à l'oreille ?
Wilson : Tu as vu le nombre de gens qui attendent ? Et toi qui ... regardes ta série stupide ...
House : N'insulte pas General Hospital. En tout cas ce sera toujours mieux que tes épisodes du "Fuego del Amor".
Wilson *vexé* : Cette série est très bien !!!
House *regard sarcastique* : c'est pas parce que c'est en espagnol que ca veut dire que c'est mieux. Remarque c'est vrai qu'en ne comprenant rien, on risque pas de trouver ca nul.

Wilson leva un sourcil et le regarda d'un air las. Il avait l'habitude des sarcasmes et boutades en tout genre de son ami. On ne pouvait pas dire qu'il avait le meilleur ami le plus sympa du monde. C'était même plutôt le contraire.

Wilson : Peu importe. Tu as un cas ... un sans abris vient d'être admis. Il a des pertes de conscience et des hallucinations. Il croit voir la vierge marie qui vient lui parler.

House se leva immédiatement.

House : Dieu est de la partie ? Cool je sens qu'on va s'amuser. Tu viens avec moi ?

Ils allèrent dans la chambre du patient.

House : Bonjour, je suis le docteur Grégory House et voici le docteur James Wilson. Inutile de me dire votre nom je ne le retiendrais surement pas et je n'en aurais strictement rien à foutre. D'ailleurs vous avez même carrément de la chance de me voir, d'habitude je ne visite pas les patients. Alors ? Il parait que maman Marie vient vous rendre de petites visites ? C'est avant, après, ou pendant vos pertes de conscience ? Elle vous raconte quoi ?
Le patient : Wilson .... James Wilson ?
House : Oui. C'est mon toutou de compagnie. Très fidèle d'ailleurs, il me suit partout ... voyez vous même

Wilson leva les yeux au ciel.

Le patient : James ... C'est Nick.
House *se tournant vers Wilson* : oh c'était lui ton rencard de l'autre soir ? Pardon j'aurais du deviné je vais vous laisser...
Wilson : House !

Wilson avait un air surpris, voir inquiet.

Wilson : C'est mon frère ....

***