Nda de début : Ce n'est pas entièrement corrigé – malgré de nombreuses relectures. Avec la reprise de la fac je ne pouvais pas écrire les derniers chapitres et corriger les incohérences, rajouter ce que je voulais ou chasser les typos des enfers à la fois. Désolée ! J'ai de plus remarqué, au bout du chapitre 14, que les points-virgules disparaissaient ? ? Vous êtes donc prévenus, il y a des phrases bizarres parce que ffnet n'aime pas les ;.
Disclaimer : les personnages d'Hetalia ne m'appartiennent pas. Ils m'inspirent juste à écrire de la merde.
En italique : principalement les mots étrangers (mais pas que). La fic se passant en Améric (cette orthographe aura un sens mdr paniquez pas), je considère l'anglais des îles britanniques comme une langue étrangère.
Un lien vers un récapitulatif des jurons et des ressources dont je me suis servie pour les intégrer dans le récit est indiqué à la fin du dernier chapitre. Tout est à prendre avec des pincettes (ou même à ne pas prendre du tout en fait) – je ne parle qu'anglais, allemand et un peu de chinois, internet a fait le reste.
Alerte à l'OOC : c'était censé être un petit crack. Tout pitit, genre 10 pages à tout péter.
C'est parti en couilles sur 18 chapitres, bon, voilà, ça arrive.
Et de ce fait, les OOC qui pouvaient passer dans un one-shot débile, bah, j'ai bien été obligée de continuer avec sinon l'histoire ne marchait plus :C (je pense surtout à Feliciano, mais j'ai essayé de le camoufler du mieux que je pouvais haha)
Sur ce, euh, bonne lecture ?
Si vous voulez me dire à quel point c'est nul, c'est dans l'espace review, avec des cœurs sur vous - insérer coeur que FFnet censure.
Chapitre 1 : Mathias Køhler et le Royaume de la Situation Initiale.
Il était une fois, un restaurant italien en plein Neue-Yerk.
Non, attendez… Quelque chose cloche dans ce début d'histoire.
Il était une fois, deux étudiants à la blonde chevelure retenus en otages dans un restaurant italien, en plein Neue-Yerk.
Ça sonne un peu mieux, pensa Mathias Køhler, un pistolet braqué sur le crâne.
Évidemment, l'histoire allait sans doute être très courte, puisqu'il n'arrivait pas à trouver d'élément de résolution. Il restait bloqué sur « le petit homme souriant les fit descendre dans un sous-sol et s'installa confortablement sur la seule chaise de la pièce. ». Peut-être que Lukas accepterait de rajouter quelques illustrations aux trois pauvres phrases du conte, pour une fois. Ça rallongerait l'ensemble.
Un autre petit homme entra au bout de quelques minutes. Parfait.
Il rendrait certainement la fin de l'histoire épique : « et leurs deux têtes fixèrent le plafond blanc pendant qu'il essuyait son sabre. ». Qu'il n'avait pas sur lui, mais il pouvait très bien le sortir d'un placard.
L'homme souriant, sans baisser son pistolet, prit le téléphone que le sabreur lui tendait et composa un numéro.
Il brisa le silence au bout de quelques instants :
« Ve ~ Fratello ? Oui, ils sont devant moi. Oh ? Va bene ~ Ciao. »
Mathias jeta un coup d'œil à sa droite. Le visage souvent inexpressif de son compagnon d'infortune trahissait actuellement ses émotions. Plus que d'habitude. Un tout petit peu plus.
Lukas Bondevik fronçait les sourcils. Toujours faire confiance à Mathias quand on voulait avoir des ennuis. Il sentait le regard du danois sur lui. Qu'il aille se faire voir en enfer.
« Mon fratellone aimerait savoir pour qui vous travaillez ~ » susurra l'italien.
Avait-il des crampes aux joues de temps en temps ? Il souriait un peu trop, sans jamais faire de pauses pour enlever son masque jovial. Mathias se demandait comment Lukas allait rendre le côté angoissant du personnage dans ses dessins, quand le japonais fit craquer ses phalanges. Le petit bruit fut comme une explosion dans le crâne du danois.
Ils allaient mourir. Sans doute après avoir été torturés. Tout ça parce qu'ils avaient choisi la mauvaise maison, au mauvais moment, sur un stupide coup de tête.
On était pas dans un conte de fées illustré.
« Est-ce Ivan-san qui vous envoie ? »
Lukas fronça de plus belle ses sourcils. Le nom ne lui disait rien.
« Ivan ? Jamais entendu parler. Vous savez, à propos de l'autre f-ffff… »
Mathias avait vainement tenté de discuter poliment de leur malentendu, car c'en était bien un, mais sa tentative avait avorté pour cause de soudain manque d'air. La rencontre entre son estomac et le poing du japonais le jeta à terre, essoufflé et sentant la peur ramper le long de sa colonne vertébrale.
Non, décidément, il ne trouvait pas d'élément de résolution à son conte.
« Est-ce Yao-san ?
- Connais pas… » grogna Mathias.
Il sentit le coup de pied arriver, mais n'eut pas le temps d'esquiver. Ses oreilles sifflaient. Le carrelage était agréablement froid sous sa joue.
Il vit que le japonais et l'italien tournaient leur attention vers Lukas. Il ne pouvait pas les laisser faire.
« Qui vous envoie ?
- Personne. » déclara Lukas. Il savait ce qui l'attendait, et pourtant sa voix n'avait pas tremblé.
Après tout, il disait la vérité.
Il avait fermé les yeux en attendant le coup.
« Tu n'as pas frappé assez fort Kiku, gloussa l'italien depuis sa chaise.
Lukas ouvrit les yeux. Mathias n'avait pas bougé, toujours trop sonné. Et le-dit Kiku non plus.
- Lukas-san ?
- Oui ?
- Permettez moi de m'excuser pour l'impolitesse dont j'ai fait preuve ce soir là. »
Kiku s'inclina et tendit une main que Lukas saisit lentement.
Mathias cligna des yeux huit fois avant de se souvenir que le corps humain avait besoin d'air pour fonctionner.
Il allait marcher du tonnerre, ce conte.
La salle principale du restaurant était encore vide quand ils remontèrent. L'italien avait rangé son pistolet et se dandinait devant une table, indiquant à ses « vénérables invités » de venir profiter de sa compagnie. Ce n'était pas comme si la menace polie du japonais dans leur dos leur laissait le choix, ruminait Mathias. Il poussa l'autre blond à avancer.
Sa mâchoire était endolorie mais intacte, si l'on excluait le bleu qu'il aurait sans doute au réveil. Et ils n'étaient pas morts dans le sous-sol d'un restaurant italien. Donc, il avait encore de quoi rédiger quelques paragraphes en plus. Restait à savoir ce qu'il allait bien pouvoir raconter ensuite : quelque chose comme « L'italien leur proposa un plat de nouilles gratuit et une offre de travail. » ?
…
« Attendez, quoi ? »
Mathias sentait le regard froidement désapprobateur de son ami norvégien considérer l'option de l'étrangler avec la nappe. Peut-être devrait-il moins se perdre dans ses réflexions.
Après tout, ils n'étaient pas sortis d'affaire. Loin de là.
Ils avaient mis les pieds dans un jeu beaucoup trop dangereux pour de simples étudiants étrangers comme eux.
« Vee ~ vous avez besoin d'argent non ?
Lukas baissa les yeux sur ses mains, tandis que son voisin se raclait la gorge, manifestement gêné. Les deux blonds étaient coincés.
- C'est ce qu'on se disait, héhé ! Ça tombe bien, un de mes amis a besoin d'un peu d'aide, vous voyez…
- C'est hors de question. »
Mathias glapit et essaya de plaquer sa main sur la bouche du norvégien stoïque. Il se fit cependant mordre et manqua de renverser la table sous l'effet de la surprise.
« Nous n'avons rien pu voler chez vous puisque vous avez failli nous tuer, et aujourd'hui vous avez tabassé cet imbécile qui me sert d'ami. Je pense qu'il est temps que nos chemins se séparent. » reprit Lukas.
Il n'avait pas aligné autant de mots depuis très longtemps. Peut-être que se sentir menacé avait des effets positifs sur lui au final… Mathias se promit d'essayer à la maison.
Ah, mais Lukas venait de signer leur arrêt de mort, réalisa enfin le danois. Ils n'auraient pas le temps de rentrer à la maison.
« Oh… » fit le petit italien, presque déçu. Le japonais, qui jusque là était resté devant la porte de la cuisine pour d'obscures raisons, se retourna vers le trio.
Aie. Aie aie aie. Nul doute qu'il cachait son sabre au milieu des couteaux de cuisine et des casseroles. Même Lukas sembla soudain le réaliser, puisqu'il entama un très léger mouvement de repli vers son imbécile de voisin.
« Mais vous savez… cette maison, c'était celle de mon ami, vee ~, soupira le patron de « ∞+Pasta ». Je suis sûr qu'il aimerait savoir qui a piétiné ses bégonias, hein Kiku ? Hé hé hé… »
Mathias déglutit lentement. « Et c'est ainsi que leurs corps sans vie alimentèrent les plantations de bégonias d'un inconnu, pendant les centaines d'années qui suivirent. » n'était pas vraiment une morale positive…
Mais, cela allait rapidement devenir une habitude, Lukas rallongea encore une fois l'histoire de quelques paragraphes.
« Si je me souviens bien, c'est toi qui a trébuché en sortant par la fenêtre et qui a marché sur les fleurs de ton ami. » fit le norvégien sans peur et sans reproches.
Mathias enfouit son visage dans ses mains.
« Vee ~ couina le petit homme, ayant perdu son sourire et se trémoussant avec embarras sur sa chaise. Lo so ! Je ne veux pas me faire gronder ! Je veux juste vous aider pour-euh, pour que vous ne vous vengiez pas…
- En vous… dénonçant ? fit Mathias, incrédule. Des bégonias. Ce petit dangereux à la gâchette facile avait peur de se faire gronder pour des bégonias.
- Sì ! »
Un tremblement parcourut le petit italien, forçant les deux blonds à se demander à quel point cet « ami » était terrifiant.
Lukas réfléchit ensuite intensément. S'il n'avait fait que semblant, il aurait fait une remarque à Mathias sur ses yeux ronds et son crâne vide de bonnes idées.
Mais il ne le fit pas, ce qui confirma au danois que son ami cherchait une solution.
« Que les choses soient claires entre nous : si nous acceptons ce… travail, nous n'entrerons sous aucun prétexte dans vos histoires de flingues. On est des étudiants nous. Capisce ?
- Sì, capisco ~ »
Un couinement tout à fait masculin et viril s'échappa de la gorge de Mathias. Non, Lukas ne venait pas du tout de menacer un mafieux comme s'il était son égal.
Pas du tout.
Et maintenant, comment annoncer la nouvelle aux autres ?
Le stoïque et silencieux suédois tenait une casserole au dessus de la tête de Mathias. Il avait à peine commencé à cuisiner qu'il avait du aller ouvrir à ses deux colocataires, parce qu'un imbécile avait oublié sa clé.
Mais ce n'était pas tout. Les-dits colocataires avaient par miracle trouvé un petit travail, pour eux et les trois autres entraînés par erreur dans l'affaire.
Un « job étudiant » fourni par les deux hommes rencontrés dans une étrange position la semaine dernière.
« 'xplique m' c'mment t'as l'int'nti'n d'nous s'rtir d'c'tte s'tuati'n, grogna Berwald avec son habituel discours hâché.
- Tout va bien ! On va tous s'en sortir ! » piailla le danois, ignorant volontairement les regards meurtriers que certains blonds lui lançaient. Il se dirigea vers sa chambre, bien décidé à écrire les premières lignes de son futur chef d'œuvre, quand il se souvint d'une dernière chose :
« Ah et, de toute façon, ils nous cherchaient. Je ne pense pas qu'ils auraient mis encore longtemps à nous trouver. Donc tout va pour le mieux, dans le meilleur des mondes ! » chantonna t-il pour mettre un terme à la conversation.
Sa porte claqua et il disparut.
Lukas lui souhaita à voix haute de trébucher sur un caleçon et de passer par la fenêtre, puis se tourna vers le cuisinier, sourcils froncés.
« Où est Tino ?
- 'sais pas. 'l a dit qu'il 'vait un r'ndez-vous très 'mp'rtant. »
⁂
Quelle journée infâme ! Le jeune et prometteur pianiste claqua avec rage la porte de sa maison en rentrant. Il jeta son sac de courses sur la table et tapa du pied dans le frigo pour se défouler. Son chat, Eliz, le regarda faire avec étonnement, et l'écouta déblatérer ses soucis.
Entre le nouveau caissier grec de l'épicerie et cet imbécile de policier, il avait passé un temps interminable dans la queue ! À poireauter !
Et, comble de l'horreur, le policier avait été rejoint par un de ses vieux amis, et tous deux avaient suivi et abreuvé de quolibets le musicien pendant une bonne partie de son chemin de retour.
« Je dois exprimer ma rage au travers de ce morceau de musique ! » s'exclama Roderich en s'installant à son piano.
Eliz avait la fourrure toute hérissée. Cet imbécile d'albinos ! Il avait encore osé manquer de respect à Roderich chéri !
Il allait payer, miaula la bête, elle allait lui faire regretter son insolence et hanter ses pas jour et nuit ! Elle le ferait souffrir et subir une honte planétaire !
Ou pire… elle mangerait son petit oiseau stupide.
Le félin se frotta les moustaches d'un air calculateur et ajouta même un petit rire démoniaque, comme dans les films que Roderich passait ses dimanches à regarder.
Mais quelque chose d'autre dans le récit du pianiste avait titillé l'attention du chat.
Un nouveau caissier grec ?
Eliz allait avoir deux mots avec lui ; si cet idiot pensait pouvoir faire un bon caissier, il se fourrait le doigt dans l'oeil.
⁂
Le petit blond regarda encore une fois sa montre. Son supérieur était en retard. Comme d'habitude, évidemment.
Mais il avait la solution.
Il se perdit dans la tapisserie en soupirant, et compta le nombre d'adorables petites boules de poils ; si ses calculs étaient exacts, encore deux lapins et…
« Mais quelle journée de meeeerde ! » vociféra l'imposant personnage en entrant dans l'histoire. Il claqua brutalement la porte derrière lui et se pinça l'arrête du nez, épaules tendues.
« Où est sa Majesté ? demanda l'imperturbable blond à son dirigeant quand il comprit que la porte ne se rouvrirait pas.
- Mais je suis là, aptal !
- Mais non, pas vous, l'autre.
- Ah. Aaah… Il, euh, est indisposé.
- Pardon ? gronda le plus petit en se relevant, un air hargneux au visage. Sa Majesté est malade et le royaume n'en est pas informé ?
- Il est indisposé à se trouver dans la même pièce que moi. » répondit le roi en haussant les épaules.
Mais quels abrutis, songea le grand-vizir. Le couple royal passait son temps à se disputer, alors qu'ils savaient très bien que cela mettait à chaque fois le royaume dans la… dans l'excrément.
L'homme basané s'installa dans un des somptueux fauteuils et se frotta vigoureusement les yeux.
Son sous-fifre attendit qu'il prenne la parole en premier.
« Sinon, la famille, ça va ?
- Ça va, ça va. Les cousins passent leur permis en ce moment et… Votre Majesté ! Je ne suis pas là pour vous parler de ça !
- Ça va, c'est bon, j'ai compris, ronchonna le roi en levant les mains en l'air. L'économie plonge dans les abysses, le royaume va encore se diviser à cause de la dispute royale, les chats vont envahir la ville et nous fonçons droit sur la fin du monde. APOCALYPSE ! » hurla-t'il juste pour faire sursauter le petit blond nerveux, parce que c'était franchement rigolo et mature.
Ce qui était moins drôle, c'est l'arsenal impressionnant que le Grand-vizir parvenait à faire rentrer dans une si petite valise.
⁂
Les jours commençaient déjà à raccourcir en cette fin de septembre, encore bercée par une douce chaleur estivale qui persistait à repousser l'assaut des écharpes.
C'était pourtant ce que portait l'homme qui venait d'entrer dans la modeste boutique. Le caissier releva paresseusement les yeux de sa revue et salua vaguement les nouveaux arrivants – le grand homme frileux était accompagné de deux sbires peu impressionnants.
Les clients se séparèrent pour faire plus rapidement le tour des rayons et le vendeur vérifia l'horloge ; il allait bientôt fermer l'épicerie. C'était pas trop tôt d'ailleurs, il avait une garnison de félins à nourrir.
Lorsque le groupe se reforma et que le caissier commença à enregistrer leurs achats, il leur sourit amicalement et commença à leur parler de la choucroute qu'ils avaient apparement l'intention de faire. Les deux plus petits hommes évitèrent son regard, peu intéressés par le sujet ; l'épicier fut donc obligé de tourner son besoin de conversation vers le grand ahuri souriant.
« Vous avez… froid ? demanda lentement le vendeur en pointant la longue écharpe du bras.
- Niet camarade, c'est pour qu'on me reconnaisse.
- Oooh… C'est… un uniforme, donc ?
- Da. C'est très important d'être reconnu dans mon secteur de travail.
- Oui, oui je comprends. Vous voyez, moi j'ai un badge. »
Le client hocha la tête avec un sourire aimable et sincèrement intéressé.
« C'est une bonne situation ça, caissier ?
- Vous savez, je ne crois pas qu'il y ait de bonne ou de mauvaise situati…
- E-euh…V-Vanya, votre sœur au téléphone. » le coupa alors le sbire à lunettes.
Le grand russe se figea pendant quelques secondes.
« Laquelle ? »
Les deux sous-fifres se jetèrent un long regard, déglutirent à l'unisson, et l'un d'entre eux finit par répondre d'une voix tremblotante :
« Celle qui est sur le trottoir d'en face… »
⁂
La soirée avait été épuisante ce jour ci pour le personnel de « ∞+Pasta », mais, point positif, le patron avait décidé de nettoyer seul ce soir.
En fait de nettoyer, il s'était servi une grande assiette de nouilles et regardait son inséparable japonais cajoler une petite boule de poils.
« Feli-kun, j'ai peur d'avoir été un peu violent avec monsieur Køhler… soupira Kiku.
- Vee ~ c'était marrant hé hé… ça lui apprendra à me lancer des assiettes à la figure.
- Je pense que notre relation n'a pas pris un bon départ…
- C'était le but, non ? Il ne faudrait pas que Luddie apprenne dans quelles conditions ses bégonias ont disparu, haha ~ s'enthousiasma l'italien. D'ailleurs, il faut penser à payer notre fleuriste en chef.
- Les terrifier faisait sans doute partie du plan, Feli-kun, mais sur le long terme cela causera la perte de- ah, Pochi ! »
La boule de poils avait des yeux et des oreilles, mais surtout des pattes, dont elle se servit pour aller se cacher dans la cuisine. Kiku avait déjà abandonné l'idée de récupérer son chien, et resta assis au sol, le regard dans le vague. Après tout, la bestiole trouvait toujours le moyen de disparaître sous une casserole à la première occasion. Il avait tout essayé, du jouet de luxe à la compagne de jeu, mais le shiba était resté terré.
L'officier se retourna vers son patron. Le petit italien avait fini son assiette et semblait prêt à s'endormir, tout sourire effacé de son visage juvénile.
« Feli-kun ?
- Hmm ~
- Où dormez vous ce soir ?
- Vee ~ chez toi. » marmonna Feliciano Vargas, l'étrange et incompréhensible mafieux de Neue-Yerk.
Nda chap 1 : Un chapitre très court dont j'avais déjà écrit la plus grande partie fin 2015, ducoup à partir du deuxième, c'est plus pareil – c'est moins nul.
Mais attendez. J'ai fait des stats, parce que j'ai que ça à faire de ma vie : laissez moi vous les partager et on vérifiera ensemble à chaque fin de chapitre si je sais compter héhé (je vous mets que les jurons, les mots et nombre de pages vous pouvez pas les compter ici).
Nombre de jurons : 1
La suite dans deux jours, bisous.
