Titre : Open grave
Base : Twilight
Rating : G
2 mots : Jacob, Bella, Alice. Film 2, scène réécrite.
Disclaimer : Les personnages appartiennent à Stephenie Meyer.
Note : Basé sur le prompt "On ne devrait pas autoriser les gens à laisser leurs tombes ouvertes. [Buffy contre les vampires, saison 1]" lancé par shakeskp dans le cadre du marathon Prompt
452 mots
Jacob sentit tout de suite quand la créature pénétra son territoire. Les ennuis allaient recommencer et il allait de nouveau perdre l'attention de Bella. Il l'arrêta d'un simple geste.
- Qu'est-ce qu'il se passe, Jacob ? demanda-t-elle apeurée, avant de comprendre ce que pouvait sous-entendre la réticence de son ami. Edward !
Jacob ne put que regarder son amie courir vers sa maison où elle espérait que son grand amour l'attendait. Il lui emboîta le pas, au cas où ce ne serait pas l'un des Cullen à l'intérieur de la maison.
Il passa la porte pour trouver Bella dans les bras d'Alice et ne put s'empêcher une remarque sarcastique.
- On ne devrait vraiment pas autoriser les gens à laisser leurs tombes ouvertes. On ne sait jamais ce qui peut en sortir.
- Et les gens devraient penser à bien attacher leur chien le soir venu, qui sait par quoi il pourrait se faire bouffer, réplica-t-elle du tac au tac.
- Tu te penses assez forte pour pouvoir me provoquer, vampire ? grogna-t-il, faisant apparaître ses crocs.
- Et toi, loup, tu penses me défier sur mon territoire ?
Cette fois Alice fit mouche t rabattit le caquet de Jacob finalement. Pendant ce temps Bella avait eu le temps de parcourir la maison à la recherche de son cher Edward.
- Alice ! Où est-il ? s'écria Bella, désespérée.
- Je suis désolée, ma sœur, il est resté en Italie. Je suis là pour te mener à lui, j'ai besoin de ton aide, je crains un grand malheur pour mon frère.
A peine eut-elle le temps de prononcer ces paroles que Bella avait déjà son sac de préparé et qu'elle tirait Alice en direction de la voiture, au grand désespoir de Jacob.
- Bella, tu ne veux pas au moins y réfléchir ? C'est trop dangereux, tenta-t-il de la convaincre.
- Il faut que j'y aille, Jacob. Toi seul devrais-être à même de comprendre ce que je ressens !
- Je m'inquiète pour toi ! Essaie un peu de comprendre ! Tu ne te rends pas compte de ce qu'il t'a fait subir lorsqu'il est parti du jour au lendemain ! Tu tentais de te suicider pour le revoir !
- Mais je lui dois bien ça.
- Tu ne lui dois rien du tout. Vis un peu pour toi !
- Si tu es mon ami, Jacob, tu me laisserais partir, cria-t-elle en saisissant son sac et Alice par le poignet avant de quitter la maison en claquant la porte, laissant le loup sur place, les crocs serrés.
- Mais je ne veux pas être ton ami, murmura-t-il en face de la porte, avant de laisser échapper un hurlement de frustration.
Fin
