Cet OS a été corrigé par Ori. J'espère qu'il vous plaira. Bonne lecture ! ^^

OS N°1 : CADEAU D'ANNIVERSAIRE

-C'est l'espoir que j'avais, murmura-t-elle.

Elle l'embrassa alors comme jamais elle ne l'avait embrassé auparavant, et Harry lui rendit son baiser, se laissant envahir par une délicieuse sensation d'oubli que jamais le whisky Pur Feu n'aurait pu lui procurer. La seule réalité qui comptait au monde, c'était elle, Ginny. Il la sentait contre lui, une main au creux de son dos, l'autre caressant ses longs cheveux au parfum suave.

HP7, Chapitre 7: Le Testament d'Albus Dumbledore.

...

ET SI RON N'ÉTAIT PAS RENTRÉ DANS LA CHAMBRE?

...

Il effleura sensuellement ses lèvres de sa langue, lui demandant la permission d'entrer. Elle ouvrit lentement la bouche et leurs langues commencèrent doucement à se chercher, à se caresser. Puis la passion l'emporta et elles entamèrent un langoureux ballet. Il la serra plus fortement contre lui, sentant les courbes délicieuses de son corps qui le rendait fou. Elle glissa une main dans ses cheveux, tendit que l'autre glissait le long de son dos. Il frissonna de plaisir lorsqu'elle la referma sur l'une de ses fesses. Il sentait le monstre en lui reprendre vie après quelques semaines de tristesse. Il savait qu'il ne devait pas continuer, mais sa raison était aux abonnés absents comme le disait si bien une expression Moldu. Tout ce qu'il voulait c'était profiter de ce dernier moment avec elle.

Elle lui mordilla sensuellement les lèvres, tendit qu'il laissait glisser sa main le long de sa jambe qu'il agrippa au genou. Puis il la remonta au niveau de ses reins et elle s'accrocha à son cou pour ne pas tomber. Doucement il remonta sa main et la glissa avec audace sous sa robe, et ensuite il se mit à caresser sa cuisse nue. Elle poussa un petit gémissement et l'embrassa passionnément. Puis elle l'attira vers le lit et il se laissa faire. Il jeta un sort de verrouillage et de silence sur la porte puis un sort d'impassibilité pour faire bonne mesure. Ginny le regarda faire en souriant, puis elle l'allongea sur le lit et vint s'asseoir à califourchon sur ses hanches.

Elle se pencha pour l'embrasser tout en glissant les mains sous son tee-shirt. Il frissonna quand il les sentis caresser son torse. Elle fini par le lui retirer et il l'a fit basculer sous lui, se demandant vaguement jusqu'où elle comptait aller dans ce câlin. Mais il ne se posait pas plus de question et profitait de ce qu'elle voulait bien lui donner. Il posa des baisers dans son cou puis mordilla le lobe de son oreille tout en laissant ses mains se balader partout sur son corps, se délectant des soupires qu'elle laissait échapper. Puis il glissa ses mains dans son dos et commença à baisser la fermeture éclair de sa robe. Il la regarda dans les yeux pour être certain qu'elle soit d'accord et elle lui sourit. Il la lui enleva et elle apparut en sous-vêtement de dentelle rouge et noir. Il retint sa respiration et sentit un violent désir envahir son bas ventre. Il aurait voulu lui parler mais il avait la gorge noué par l'émotion. L'expression de son visage devait parler pour lui car elle parut satisfaite. Elle repassa au dessus de lui et lui enleva son pantalon, le laissant en boxer noir. Il ne put s'empêcher de rougir car elle ne pouvait ignorer la réaction de son corps face à elle.

Elle s'installa de nouveau sur ses hanches, les joues un peu roses, et il poussa un gémissement en sentant ses fesses se presser contre sa virilité. Mais vu le regard malicieux et plein de défit qu'elle posait sur lui, il savait qu'elle le faisait exprès. Il ne put que sourire reconnaissant bien là son caractère espiègle et joueur. Ensuite elle décrocha lentement son soutien-gorge tout en le regardant droit dans les yeux. Il contempla sa poitrine fièrement dressée, puis la fit de nouveau basculer sous lui. Il caressa doucement ses seins. Elle n'en avait ni trop ni trop peu et elle lui plaisait infiniment. Il posa des baisers sur l'un tout en caressant l'autre de sa main. Puis il mordilla avec délicatesse son mamelon et le pris dans sa bouche, le caressant de sa langue. Ginny se mit à gémir de plaisir sous cette délicieuse torture. Ensuite il continua à déposer des baisers le long de son ventre, titillant son nombril de sa langue. Il ne savait pas vraiment comment s'y prendre mais se laissait guider par son instinct.

En arrivant à la limite de sa culotte, il l'a regarda à nouveau pour qu'elle lui donne la permission d'aller plus loin. Elle le regarda, les yeux plein de désir, et hocha la tête. Sentant le monstre en lui rugir de triomphe, il la lui enleva doucement. En contemplant la toison rousse entre ses cuisses, il sentit son désir atteindre un autre niveau. Il ne savait pas combien de temps il allait pouvoir se contrôler. Elle le regardait les joues rouges, l'air intimider. Il la rassura.

-Tu es magnifique, dit-il la voix rauque de désir.

Elle sourit, heureuse et repassa au-dessus de lui et lui enleva son boxer. A son air déterminé, il comprit qu'elle voulait aller jusqu'au bout. Il se sentit un peu nerveux. Elle dut s'en apercevoir car elle l'embrassa tendrement avec un doux sourire. Puis lentement elle déposa des baisers dans son cou, puis sur son torse, son ventre. Plus Harry la sentait se rapprocher de sa virilité et plus il tremblait de plaisir et d'impatience, se demandant si elle oserait...

Quand il sentit ses lèvres chaudes se poser sur son pénis, il ferma les yeux et frissonna violemment tout en poussant un gémissement de plaisir. Puis il hoqueta quand elle le prit dans sa bouche, tout en le caressant de ses douces mains. Il se sentit défaillir. Il n'avait jamais rien ressentit de pareil auparavant. C'était mieux encore que tout ce qu'il avait pu imaginer quand ses hormones le tourmentaient. Mais il ne la laissa pas faire très longtemps, car il ne voulait pas venir sans partager cette sensation avec elle pour leur première fois. Il la repoussa donc doucement sous lui et il l'embrassa sensuellement, profondément, tout en glissant tendrement une main jusqu'à sa douce toison humide du désir qu'elle lui portait, et il caressa son clitoris. Elle commença à pousser des petits cris de plaisir, et quand il glissa un doigt en elle, elle se cambra contre lui.

Au bout d'un moment elle resserra ses bras autour de lui et l'incita à s'allonger sur elle. Fou de désir, il s'allongea entre ses jambes.

-Tu es sûre? Lui demanda-t-il tendrement.

-Oui Harry, j'en suis certaine, lui répondit-elle en l'embrassant. Je te veux maintenant.

Il tâtonna un petit peu, ce qui leur provoqua un petit fou rire. Puis trouvant enfin sa place, il se glissa lentement en elle. Elle se crispa un moment et il s'arrêta de bouger le temps que la douleur s'apaise. Puis quand elle se détendit, il commença à aller et venir. Il savait qu'il ne tiendrait pas longtemps, tellement la sensation d'être en elle l'enivrait. Le plaisir qu'il ressentait à la posséder enfin était si violent qu'il se sentait perdre pied. Mais il voulait par dessus tout partager son plaisir avec sa Ginny, l'amour de sa vie, alors il prenait sur lui et se concentrait sur son plaisir à elle. Mais les puissants gémissements qu'elle poussait ne l'aidèrent pas à garder le contrôle. Il n'avait pas conscience qu'il poussait lui même des grognements et des gémissements qui la rendait folle de plaisir. Il la possédait de plus en plus vite, de plus en plus fort et elle aimait ça. Les petits cris qu'elle commençait à pousser le lui prouvait. Quand elle noua ses jambes autour de ses reins, il su qu'il ne tiendrait plus très longtemps, la sensation de plaisir étant accentuée. Mais heureusement, il sentit les muscles de son vagin se contracter autour de lui tendit qu'elle poussait un long cri rauque et il se laissa aller. Il lui donna quelque puissant coup de rein supplémentaire et laissa son plaisir exploser en elle. Il ne put retenir son cri de jouissance, et après quelques secondes où il se sentit atteindre le paradis des sens, il s'effondra sur elle.

Quand il reprit doucement pied avec la réalité, il se rendit compte qu'il l'écrasait. Il voulu se déplacer mais elle le retenu en resserrant ses bras autour de lui. Il lui posa de tendre baiser sur le cou, puis l'embrassa amoureusement sur les lèvres. Il savait qu'il n'aurait pas du aller aussi loin avec elle, mais il ne regrettait rien. Il se retira délicatement de son corps, puis s'allongea à côté d'elle. Elle se blottit contre lui et glissa tendrement une main dans ses cheveux. Ses yeux brillaient comme jamais auparavant.

-J'espère que ton cadeau d'anniversaire t'a plut? Lui murmura-t-elle à l'oreille.

Il lui sourit tendrement, le regard plein de satisfaction, et lui répondit:

-C'est sans aucun doute le meilleur cadeau que j'ai reçu de ma vie.

-Je sais que tu ne l'oublieras pas.

-Je ne l'oublierais jamais.

Ils restèrent encore un petit moment à se câliner, mais la réalité les rattrapa. Ils s'habillèrent, puis il la prit dans ses bras.

-Ginny...

-Chut, lui dit-elle en posant un doigt sur sa bouche, le regard voilé. Je sais que rien n'a changé, mais je ne regrette rien. Je t'aime et je voulais partager ça avec toi avant que tu t'en aille, au cas où...

-Je ferais tout ce que je pourrais pour te revenir Ginny. Je te le promets.

-C'est tout ce que je demande, que tu me reviennes sein et sauf. Je t'attendrais Harry. C'est la promesse que je te fais.

Son côté raisonnable lui disait qu'il devrait lui dire de ne pas l'attendre, car il avait de grande chance de ne jamais revenir vivant de sa quête. Mais, après ce qu'il venait de se passer entre eux, il ne supporterait pas de la voir avec un autre. Alors il acquiesça de la tête et lui donna un dernier baiser, profond, plein de l'amour qu'il éprouvait pour elle. Puis il annula les sorts qu'il avait jetés sur la porte et lui lança un dernier regard. Il vit qu'elle avait les larmes aux yeux et il sortit de la chambre une boule de tristesse au ventre.

Il se dirigea vers la salle de bain, s'enferma, et laissa couler quelques larmes. Puis il se rafraichit le visage et un peu le corps mais pas complètement car il voulait garder encore un peu sur lui l'odeur du corps de son aimée, ne sachant pas s'il pourrait la sentir de nouveau un jour. Puis une pensée le frappa: ils ne s'étaient pas protégés! Mais bizarrement, il n'était pas vraiment inquiet, Ginny y avait surement pensée. Et même-ci ce n'était pas le cas, il n'était pas contre l'idée de voir venir un futur Potter. Un enfant de lui et de sa Ginny. Même s'ils étaient trop jeunes. Et c'est avec un petit sourire qu'il alla rejoindre Ron et Hermione.

En rentrant dans la chambre, il aperçu Hermione et Ron en train de s'embrasser, allonger l'un sur l'autre, sur le lit de celui-ci. Il comprenait maintenant pourquoi Ron n'était pas venu dans la chambre de Ginny, même s'il ne s'en était pas préoccupé sur le moment. Il pourrait dire merci à Hermione, songea-t-il en souriant.