« Who are you ? » « I am Lavtia »
Les personnages d'Hetalia ne m'appartiennent pas et je ne retenir rien de cette fanfic. C'est ma première fanfic lemon merci d'être gentille avec moi et sans doute pas ma dernière x). Il y aura sans doute une suite aussi, je vais voir. Je l'ai mis en M, donc je ne suis pas responsable de se que vous lisez hein... Vous êtes prévenue *regarde les plus jeune avec une sourire sadique aux lèvres*. Bref, Bonne lecture ^^
Prusse marchait d'un pas rapide et ferme, les poings serraient, le visage grave. Il était furieux, son frère avait passé un accord avec Russie, il y maintenant 2 semaines et il venait juste de l'appendre, comme quoi, son frère ne lui disait pas tout. Même, cet accord, il le sent mal, il aurait aimé avoir son mot à dire tout de même. L'albinos remit son képi, tout en accélérant son pas déjà bien rapide. Cela fait maintenant 5 minutes qu'il avait quitté Allemagne et il était toujours autant furieux, il ne s'en remettra donc jamais ? Il soupira, ferma un instant les yeux, après tout, ce n'était qu'un accord... Certes, mais il aurait pu me prévenir avant de le signer ! Pensait-il. Il soupira une seconde fois, Prusse passa une main sur son visage, il était si fatiguer aussi en ce moment.
Il s'arrêta soudainement quand il vit un jeune homme vêtu de rouge arrivait au même moment, il était blond aux grand yeux bleu et il devait avoir sans doute 15 ans vu sa frêle et jeune taille. Le jeune homme avait les mains dans les poches et il marchait tranquillement, quand il vit que Prusse le fixait, il le regarda à son tour. Oui, il était jeune. Prusse fronça les sourcils, ne savant pas qui il était, c'était la première fois qu'il le voyait dans la maison d'Allemagne. Il allait lui demander qui il était, quand il vit alors Russie apparaître, sourire radieux aux lèvres et il s'approcha du jeune homme qui commençait alors à trembler et ils s'éloignèrent après un bref échange que Prusse ne put entendre.
Et puis il se rappela qu'il y avait trois Nation qui suivaient toujours Russie, il se demanda si c'était de leurs pleins grès... Il vit les trois visages se former dans son esprit, mais n'arriva pas à se souvenir de leurs prénoms. Il haussa les épaules, après tout, ce n'était qu'un simple détail. Le reste de la matinée se passa relativement bien, il n'avait pas revu le jeune homme et puis il retourna chez Allemagne en fin d'après-midi où il tomba nez-à-nez avec l'adolescent, il était plus grand que lui, sa tête arriva à la poitrine de Prusse et il dut lever ça tête pour le regarder dans les yeux.
- Bonjour. Dit-il.
- Euh... B-bonjour...
Il sourit et se mit à sa hauteur et il continua :
- Tu parles allemand ?
- ... Euh... Un peu...
- Dis-moi, qui es-tu ?
- Je suis Lettonie... Et vous ?
- Je suis Prusse.
Le jeune homme paraissait plus à l'aise au fils de la discussion, Lettonie souriait à son tour.
- Tu peux me tutoyer, tu es venu avec Russie ?
- Oui, mais il ne nous a pas laissé vraiment le choix.
- Ah... Tu ne voulais pas venir ?
- À vrai dire... Non... Mais ne le dite pas à Russie ! Fit-il soudainement inquiet.
Il laissa échapper un doux rire qui fit rougir Lettonie, l'albinos se releva et lui ébouriffa les cheveux.
- Promit, je ne dirais rien.
Et il s'en alla, Lettonie le regarda partir, les joues toujours en feux, il remit correctement ses cheveux et poursuivait son chemin à son tour.
Pour une raison qu'il lui était inconnu, Prusse se retrouva cette nuit toujours chez Allemagne, son frère avait voulu qu'il dorme ici et puis n'ayant plus de chambres de libre, il était condamné à partager son lit double avec quelqu'un, il eut un tirage au sort entre les trois frères, enfin, il se le demandait si Lituanie, Estonie et Lettonie étaient frères, bref, et l'heureux gagnant était... Lettonie !
Donc voilà en gros comment Prusse c'était retrouvé, dans sa chambre quand il était chez son frère, avec un gamin de 15 ans de l'autre côté de son lit. La nuit c'était bien passé et ça aurait pu l'être jusqu'à 6h00 du matin, mais non, il avait fallu que Lettonie fasse un cauchemar. Le fait qu'il avait beaucoup bougé et parlé d'une langue qui était inconnu pour Prusse, ce dernier c'était réveillé, mais il resta toujours dos à Lettonie qui se réveilla enfin dans un magnifique sursaut. Son souffle était haletant, il tremblait de tout son être et dans son regard bleuté on n'y pouvait lire une peur immense. Il soupira un bon coup remarquant que c'était qu'un mauvais rêve et il se laissa tomber dans le lit. Lettonie regarda le plafond et passa sa main sur son visage et puis une deuxième fois et encore une autre fois, il essaya de chasser ses larmes qui se mirent à coulaient d'elle-même, il se redressa et s'avoua vaincu, enfuyant son visage dans ses mains tremblantes, il pleura en silence. Pourquoi pleurait-il ? Il ne le savait pas... Etait-ce son cauchemar ? Il n'en avait plus aucun souvenir déjà... Alors peut être Russie ? Il resta interdit à cette pensée et pleura encore plus. Il essaya de se retenir de pleurer pour ne pas réveiller Prusse, mais rien affaire, il continua. Il ne savait même pas pourquoi il pleurait.
Des bras l'entourent, Lettonie redressa vivement sa tête et n'eut pas le temps de réagir qu'il se trouva dans les bras de Prusse. Il passa timidement ses bras atour du coup de la Prusse, s'agrippant ainsi à son haut. L'albinos avait alors enfoui sa tête aux creux du coup d'un jeune homme en le serrant plus contre lui.
- Pourquoi pleures-tu ?
Les lèvres de Prusse frôlèrent la peau du cou de Lettonie, il pouvait sentir son souffle chaud et entendre son cœur battre paisiblement, la jeune Nation rougit spontanément.
- Je ne sais pas... Un cauchemar…
- Il te fait autant peur ?
- De qui ?
- Russie... Quand tu faisais ton cauchemar, la seule chose que j'ai pu comprendre était Russie...
- Il nous fait tous peur... Avoua-t-il en se blottissant plus contre l'albinos.
Lettonie se sentait si bien contre lui, il pouvait sentir le sourire qui se forma sur les lèvres de la Prusse, ce dernier, dans un soupir d'aise, s'allongea sur Lettonie et l'embrassa tendrement, le jeune adolescent rougit encore plus, pensant qu'il devait être rouge comme une tomate bien mûre prête à être cueillit. Les lèvres de la Prusse étaient douces et chaudes, c'était si agréable et le baiser qui fut doux devenait rapidement sauvage et passionnel, Prusse venait jouer avec la langue de Lettonie et vice-versa, se battant alors pour la domination. Ce qui plut le plus à Prusse dans se baiser était comment Lettonie réagissait, il adorait voir comment ce petit bout d'homme essayait de gagner cette bataille si passionnelle. Mais ce fut Prusse qui gagna, la grande Nation ria gravement dans la bouche de Lettonie avant de rompre le baisé et dans la clarté de la nuit, il vit que les yeux de Lettonie étaient vitreux et remplis avec aucun éclat à part celle de la luxure. Ses vêtements étaient en désordre. Lettonie regardait chaque respiration que haletait Prusse en essayant de remplir ses poumons vides. Il regarda la poitrine de l'homme plus âgé que lui, souhaitant pouvoir soulager l'homme de sa chemise et le couvrir de baiser.
Prusse déboutonna doucement la chemise de nuit de Lettonie et lui enleva tout aussi lentement, il frissonna, non de froid, mais de plaisir, Prusse enleva la sienne à son tour, laissant voir un corps plus musclé que celui de Lettonie qui était plus frêle. L'albinos, d'un regard rêveur, passa un doigt le long du corps de Lettonie qui ria légèrement, et puis il l'embrassa au creux du cou, lui faisant un petit suçon. Lettonie se pinça sa lèvre inférieure et ne put s'empêcher de gémir. Les mains chaudes de Prusse se baladaient partout sur son dos. Et puis il cessa son suçon et avec sa langue, Prusse vient lui titillait ses tétons tout en les mordants légèrement pour ne pas lui faire du mal. Lettonie laissa échapper un petit cri. Et Puis Prusse se releva et captura de nouveau les lèvres de Lettonie dont la respiration était forte et rapide, tout en l'embrassant, Prusse lui défait son bas de pyjama ainsi et le libéra de son boxer et prit entre sa main son membre en érection et commença de lent vas et vient, sous le coup du plaisir qui s'anima dans ses veines, Lettonie lâcha un long gémissement rauque et s'agrippa à Prusse qui continua ses longs va et vient.
- P-plu... S-s-s... Ahhhhh...
Il n'arrivait plus à parler, ça respiration était illégal, son visage se crispait, c'était simplement un long supplice, un long et agréable supplice. Prusse s'amusait, il aimait vois son corps en sueur, vois sa poitrine se remplir d'air, l'entendre gémir et le suppliait.
- Ātr...trāk Prūsija. Réussit-il à dire dans sa langue natale.
Et puis ses va-et-vient furent plus rapide ainsi que la respiration du jeune adolescent qui gémissait en même temps, il avait alors de fermé les yeux, se laissant emportait par l'extase. Et puis Prusse cessa la masturbation, relevant difficilement la tête vers Prusse, Lettonie reprend doucement ses esprits, le souffle toujours inégal, mais se calmant peu à peu. Prusse enleva aussitôt son bas de pyjama et son boxer et s'allongea de nouveau sur le jeune adolescent et commença à donnait des coups de hanche, pénétrant ainsi en lui, Lettonie soupira et gémissait, c'était la première fois qu'il eut un rapport et il était tendu à ce moment-là, Prusse accéléra soudainement, chose qui ne plaisait pas Lettonie qui grimaça de douleur. Ça allait trop vite.
- Moins vite...
L'albinos ralentissait et il fut alors plus doux et puis selon la volonté de Lettonie, il accéléra, de plus en plus, l'adolescent se détendit et se cambra pour qu'il pénétrât plus en lui, ses mains tremblantes s'emmêlant dans la chevelure blanche de l'homme plus âgé que lui. Visage au creux du coup de Lettonie, Prusse gémissait de plaisir à son tour, venant lui censurait sensuellement des mots doux en allemand que Lettonie ne comprit pas. Prusse continua ses vas et vient avec ses hanches jusqu'à l'épuisement, jusqu'à qu'il se libéra en lui, il donna un dernier coup de hanche et Lettonie gémissait alors une dernière fois de plus belle. On pouvait entendre leurs souffles haletants, Prusse se détacha enfin de Lettonie et se plaça à côté de lui, Lettonie se mit face à lui et ils se regardèrent ainsi durant un long moment, Prusse passa sa main tremblante dans la chevelure de Lettonie et l'attira contre lui. L'embrassant une dernière fois sur le front et il lui disant avant de s'offrir au sommeil :
- La prochaine fois... C'est moi qui subis...
La jeune Nation ria légèrement et s'endormit à son tour, oubliant alors sa peur, ses mauvais rêves et oubliant alors même Russie, dont il n'avait plus peur, enfin si, encore un peu, mais tant que Prusse serait auprès de lui, même Russie ne lui ferait plus peur.
Prusse ne regrette pas ce moment, il l'aimait tout simplement, en faite, c'était une bonne chose cet accord. Il remercia mentalement Allemagne et Russie, serrant plus son jeune arment contre lui, ce dernier se blottit plus, il ria légèrement et s'endormit avec le jeune homme vêtu de rouge.
Voilà c'est la fin ^^ et c'est décider, je fait une deuxième partie et peut être, je n'en suis pas sur, une troisième et la dernière, mais faudrait me montré que vous la voulez cette troisième ;).
Aller, lâchez vos com's et aussi ENJOY !
