Kikooooooooooooooooooooooooooo! Voala une chtite fic de DN Angel, paring Satoshi/Daisuké et Dark/Krad. 'tention, c'est PG-13 à cause d'une petite scène léger lime, en fait je crois que ça s'appellerais comme ça… Bref, les persos ne sont aucunement à moi… nan mais tsé, imaginez ce que je ferais à Hiwatari d'amour? gneu? NAN MAIS PAS CE GENRE DE TRUCS, PERVERS FINIS! Vous m'exaspérez, à la longue…

En espérant que cette lecture vous plaise,

Cocbys

(oh et en passant, lisez le p'tit délire à la fin, c'est important pour l'avenir de cette fic… Si vous avez aimé cette partie… Arigatô!)


Open the door

To a room I've never been before

Un matin de printemps, alors que le vent soufflait doucement dans le feuillage des arbres, un jeune homme était assis sous un cerisier en fleurs, dont les pétales roses s'éparpillaient un peu partout sur la pelouse. Sur ses genoux remontés reposait une tablette à dessins, tandis qu'une boîte de crayons était déposée sur l'une des racines de l'arbre. Le vent vint souffler dans ses cheveux pâles de couleur assez inhabituelle, et il retira ses lunettes d'un geste lent.

Counting all the books I've read so long

Something is wrong

Where love has gone

Un autre adolescent, aux cheveux plus foncés que ceux de l'autre, arriva sous le cerisier en fleurs. Il sourit puis s'approcha doucement de l'autre assis sur l'herbe. Celui-ci sursauta en voyant son ami arriver. Celui aux cheveux plus pâles cacha précipitamment sa tablette à dessin, empêchant le roux de voir de quoi ou de qui il s'agissait. Il tenait un livre de couleur bleu royal dans les mains et les pages étaient légèrement jaunies par le temps.

If I should cry

Thinking of the love I felt inside

Don't misunderstand nothing's the clue

Il s'assit à côté de lui, puis regarda la mer à l'opposé du parc. Le soleil couchant rendait le ciel d'un rouge orangé sublime et faisait des courbes de la même couleur dans les petites houles qui dansaient dans l'eau. Le paysage était magnifique, il reflétait toute la beauté de la vie. Le silence provoqué par l'extase du moment se prolongea, jusqu'à ce que le roux le brise.

I cry for you

Cause of love is true

Le myope écouta attentivement ce que disait l'autre qui lui parlait de tout et de rien, d'amour et d'amitié, de la femme qu'il croyait aimer et que dans le fond il ne l'aimait pas tant que ça, et de plein d'autres choses. Puis, le moulin à paroles arrêta son babillage et posa une question. Le genre de question que l'on ne pose pas à n'importe qui, n'importe quand et n'importe comment.

When does love

Speak words above evolving pain

Like if this tears turn to rain

Il la posa d'une voix douce, apparemment sans arrière-pensées.

« Dis-moi, Satoshi-kun, es-tu amoureux ? »

L'autre ne put qu'être surpris par une telle question. Il ne répondit pas, se contentant de baisser les yeux et de se retourner vers le paysage paradisiaque.

Endlessly calms the sea

For you and me

Hiwatari semblait être pris de légers tremblotements. L'autre le remarqua assez vite et avec un sourire, déposa sa main sur celle du commandant, l'intimant à se calmer.

« Que fais-tu, Niwa-kun ? »

L'autre continua de sourire. Il ferma les yeux et se laissa tomber par en avant, puis se roula sur le côté pour être, au final, couché sur le dos. Le roux mit ses bras derrière sa tête comme un oreiller et regarda le ciel d'un air rêveur.

If you're so cold

If worlds just hold

If want to lean

I'm here for you

If you

Daisuké soupira et referma les yeux.

« Tu es si froid, Satoshi-kun… »

L'autre fût pris au dépourvu. Il avala difficilement.

« Que vient faire ma façon d'être dans cette conversation ? »

Le voleur sourit de nouveau. « Ce qu'il peut être naïf, parfois… » Il tourna la tête et regarda le commandant droit dans ses yeux de glace.

« Tu ne prends jamais appui sur les autres, et c'est ça qui te rends différent… » murmura Daisuké. Il reprit, plus fort cette fois. « Tu sais, tu peux tout me dire. Si tu… »

Il ne termina pas sa phrase.

Where does love

Create the worlds above our pain

Like if these tears were to rain

Endlessly for the sea

Still you and me

L'adolescent aux cheveux bleus s'était relevé, oubliant sa tablette de croquis et ses crayons. Daisuké leva son regard vers son visage, et constata plus de douleur que de réconfort. Les yeux glacés du commandant semblaient sur le point d'exploser de tristesse contenue. Il ouvrit la bouche pour dire quelque chose, mais il secoua la tête. Il se retourna.

« Ne prends pas cet air là avec moi, » dit-il à l'adresse du voleur aux cheveux roux.

Son regard se fît plus dur et se fît plus distant.

« Je n'ai pas besoin que l'on m'aide. »

Au moment où l'adolescent aux cheveux bleus s'apprêtait à partir, celui aux cheveux roux le rattrapa d'une main par le poignet. Satoshi se retourna, une lueur d'inquiétude dans le visage, tandis que Daisuké semblait relativement en colère. À moins que ce ne soit de la pitié que le commandant lisait sur son visage ?

« Satoshi-kun, je le sais bien que tu ne vas pas… »

Celui-ci secoua la tête d'un geste désinvolte.

« Laisses faire. Cela ne te concerne pas, de toute façon. »

Il se défit de son emprise, puis partit presque en courant du parc.

If you're so cold

If worlds just hold

If were to lean

I'm here for you

Daisuké regarda Hiwatari partir, soupira puis se rassit sous l'arbre. Il se passa les mains dans les cheveux, puis constatant que l'autre avait oublié sa tablette à dessins, il la prit dans ses mains. La curiosité étant l'un de ses principaux défauts, il décida d'y jeter un coup d'œil. Ce qu'il y vit l'estomaqua.

Ce n'était que des dessins du roux. Daisuké qui rêvait appuyé à une fenêtre, Daisuké qui souriait à côté d'un arbre, Daisuké qui bâillait en classe, et même un dessin de Daisuké qui semblait assez triste…

Daisuké partout.

So if you

Le roux continua de feuilleter la tablette.

« Tu penses qu'il aurait un faible pour toi, Dai ? » demanda Dark au fond de lui.

« Je ne sais pas. »

« Enfin, Dai, ceci est une preuve irréfutable ! » répliqua le voleur fantôme d'une voix à mi-chemin entre le sérieux et la moquerie.

« Bah, peut-être qu'il avait seulement besoin d'un modèle pour dessiner… » répondit l'autre d'une voix vague.

« Je ne crois pas. Sinon il n'aurait pas caché la tablette dès le début pour t'empêcher de voir les dessins. »

« Peut-être qu'il avait l'intention de me les montrer à la fin ? »

« Mais ce que tu peux être bête ! Je te dis qu'il se languit d'amour pour toi ! » s'exaspéra l'autre.

« Dark… Je ne crois pas qu'il soit vraiment amoureux de moi. Et puis, qu'est-ce qui te fais dire que c'est réciproque ? Et de toute manière, toi tu n'approuves pas, » continua d'argumenter Daisuké.

« Dai, Dai, Dai… J'ai deux preuves incontestables me permettant de jurer que c'est réciproque. »

« Et lesquelles, s'il te plaît ? »

« Premièrement, » commença Dark d'une voix solennelle, « je partage non seulement ton corps, mais ton esprit aussi. Alors je peux savoir absolument tout ce que tu penses, des problèmes mathématiques que tu dois résoudre pour un examen – en passant, tu avais fait deux fautes à l'examen de la semaine passée… »

« Dark. »

« Oui, oui, je continue. »

« Bon. »

« Donc, je peux savoir tout ce que tu penses, des problèmes mathématiques aux pensées les plus perverses que tu pourrais avoir. »

« Hey ! »

« Ne t'en fais pas, je n'irais pas raconter les trucs que tu imagines avec Hiwatari… »

« DARK ! »

Un rire taquin lui répondit. Daisuké soupira, de plus qu'un rouge qui s'harmonisait très bien avec ses cheveux lui montait aux joues. Il tenta de se calmer, puis il ordonna littéralement à Dark de poursuivre.

« Peuh ! T'avais rien qu'à t'en rendre compte, hein ! T'es assez grand pour ça, après tout… »

« Dark. Je pourrais aller dire à Riku que t'es un pervers fini. »

« Naaaaaaaan ! Tout mais pas ça ! Ah et puis, fais comme tu veux. De toute manière, j'aime pas sa coupe de cheveux. »

« Daaaark… » fit Daisuké d'une voix implorante.

« Oui, oui, je continue. Donc. 'Va falloir que j'y aille de manière subtile. »

« Et pourquoi ? »

« Parce que môsieur est vraiment trop bête. »

« Hum. »

Ne prêtant pas attention à Daisuké, Dark continua.

« Tu te souviens toujours que tu peintures, nan ? »

« Je ne suis pas si imbécile que ça, tout de même. Je peinture à tous les soirs. »

« Et sur quelle peinture tu travailles le plus, en ce moment ? »

« Heu… »

Daisuké se perdit momentanément dans ses pensées. Il travaillait sur une peinture, un portrait en fait, d'une personne à qui il n'arrêtait pas de penser. Des traits assez fins, des cheveux pâles, qui semblaient doux comme de la soie, et des yeux bleus envoûtants, ressemblant à de la glace incassable…

« Hiwatari… »

« Gagné. Bon, maintenant que môsieur le bébête s'est réveillé, moi je vais dormir. »

« Dark… »

« Nan. »

« Merci. »

Bien qu'il n'obtint aucune réponse, Daisuké entendit tout de même le 'de rien, môsieur le bébête' de Dark.

Daisuké se leva, emporta la tablette à dessins et les crayons avec lui et se dirigea vers la cabine téléphonique la plus proche. Il appela sa mère pour lui dire qu'il devait faire un travail avec un ami pour le lendemain, ce qui n'était pas tout à fait vrai, ni tout à fait faux.

D'un pas rapide, il se dirigea vers l'appartement de celui qui hantait à présent ses pensées.

Il arriva à destination à peine quelques minutes plus tard et grimpa les escaliers quatre à quatre. Avec un sourire énigmatique, il déposa la tablette et les crayons un peu après la cage d'escalier, soit à mi-chemin entre elle et l'appartement d'Hiwatari. Il toqua à la porte de celui-ci et partit se cacher dans un placard. Il vît le commandant ouvrir la porte, apercevoir la tablette et partir les chercher, puis il se faufila à l'intérieur de l'appartement en s'assurant qu'Hiwatari ne l'avait pas vu.

Daisuké se cala contre un mur, attendant que l'autre arrive pour qu'il puisse le surprendre.

Quelques minutes plus tard, Satoshi arriva, la tablette et les crayons à la main. Il passa droit devant le voleur sans le voir. Daisuké arriva à pas de loup derrière de commandant et passa ses bras autour de la taille de celui-ci, l'attirant un peu plus contre lui.

« Ni… Niwa ? »

Le roux semblait totalement enivré par l'odeur de l'autre.

« Hmmmm ? »

Surpris par la réponse du voleur, Satoshi bégaya.

« Que… mais que… pour… pourquoi… je ne com… comprends pas… »

Daisuké passa devant le garçon aux cheveux bleus et appuya un doigt sur les lèvres de celui-ci, l'intimant au silence.

« Chhhh… »

« Niwa ? À quoi joues-tu ? »

« À rien, voyons, » fit Daisuké d'une voix mystérieuse.

Close the door

Cause those rooms won't need us anymore

Holding your words just fill those books

Le roux attrapa le cahier de dessins et l'ouvrit. Au fur et à mesure que les dessins passaient, Hiwatari rougissait. Daisuké sourit en voyant le rouge des joues de Satoshi s'accentuer de plus en plus.

« Tu peux peut-être me l'expliquer ? On dit que je suis trop bête pour comprendre certaines choses… »

« Comment te l'expliquer ? Je ne vois pas… » fit Hiwatari d'une voix un peu surprise.

« Montres-moi. »

Deux mots.

Seulement deux.

Qui avaient pleins de significations.

Satoshi prit celle qui lui vint à la tête.

Il déposa ses lèvres sur celles du rouquin, qui lui répondit intensément. Ses mains glissaient du cou du commandant pour aller défaire les boutons de la chemise, tandis que celles de Satoshi jouaient dans les cheveux et dans le dos de l'autre. Puis, il entreprit de soulever le chandail de Daisuké qui le gênait. Il goûta la peau douce du rouquin, qui laissa échapper un gémissement.

« A…attends, » dit-il.

« Quoi ? » répondit Hiwatari d'une voix assez frustrée de s'être fait dérangé.

« Pas ici… j'ai une poignée dans le dos… »

« La chambre, alors ? »

Daisuké lui répondit dans un baiser passionné.

« Je prends ça pour un oui ? »

Un autre baiser.

« Je prends ça pour un oui. »

Le garçon aux cheveux bleus amena le roux dans sa chambre et le coucha sur le lit, l'embrassant partout où il subsistait des parcelles de peau. Daisuké haletait, tant que de recevoir ces baisers semblaient le rendre fou.

Sometimes love looks

Like if love has gone

De son côté, Hiwatari ne semblait pas en mener large. Ses gestes étaient maladroits, quelques fois brusques, mais se faisaient doux et sensuels la plupart du temps. Les deux avaient envoyer balader leurs vêtements depuis longtemps, se fiant sur la chaleur fiévreuse du corps de l'autre pour se réchauffer.

« Daisuké? »

« Oui… oui ? » fit l'autre, le souffle court.

Hiwatari lui caressa la joue d'une main douce et apaisante.

« Je t'aime. »

« Moi aussi, Satoshi. »

Ils s'embrassèrent à nouveau, leur langue commençant une danse véhémente qui ne paraissait pas avoir de fin.

Ils passèrent tout ce qu'ils éprouvaient dans ce baiser, tous leurs sentiments, toute leur énergie, tout.

Bien qu'après, ils ne purent que s'étendre dans le lit, une couverture les recouvrant et enlacés chacun dans les bras de l'autre.

So I won't cry

Now I know our love will never die

If I understand the reason why

« Satoshi ? »

« Oui ? »

« Tu aimes dessiner ? »

Comme beaucoup d'autres questions dans la journée, Satoshi parût surpris à celle-ci.

« Oui pourquoi ? »

« Tu dessines trop bien. »

Le garçon aux cheveux bleus sourit.

« Et toi, tu dessines ? »

« Non, je peinture. »

« Tu me montreras, un jour ? »

Daisuké l'embrassa.

« J'espère qu'elle va te plaire. »

« Comment ça ? »

Ce fût au tour de Daisuké de sourire. Il leva une main et la porta au visage d'Hiwatari, redessinant chaque traits, chaque ligne de la mâchoire, en passant par les lèvres, les yeux, le nez, puis finit au menton.

« Tu savais que tu avais un réel visage d'ange ? »

Hiwatari cligna des yeux et fût prit d'un petit rire.

« Quoi ? »fit le rouquin, faussement vexé.

« Tu es drôle, c'est tout. »

Un silence bizarre accueillit cette phrase.

When you… if I and you…

« Hiwatari ? »

« Oui ? »

« Je crois vraiment que ça existe. »

« Quoi donc ? »

Know that love is true

« Ça. »

Daisuké passa à califourchon sur Hiwatari, l'embrassant partout.

« Ça. »

« L'amour, tu veux dire ? »


Cocbys : Et voilà! Ce premier chapitre vous a plu ? Il va en avoir un deuxième, et ça va être un Dark/Krad. Bonne chlecture !

Dark : Comment peux-tu espérer recevoir des reviews avec un truc pareil ?

Cocbys : J'peux toujours espérer, que je sache ?

Dark : …

Cocbys : Tsé vous savez le truc que si on retrouve une mèche brune dans les cheveux d'une blonde, c'est une lueur d'espoir… Ben moi, je dis que je suis l'espoir incarné, car autrement je serais née blonde ! J'ai les cheveux châtains en passant…

Dark : Cruche.

Cocbys : Merchi beaucoup ! Tu savais que tu as le truc avec les filles ?

Dark : Les traiter de cruches ? Nan, j'fais juste ça avec toi.

Cocbys : Nan mais j'ai le droit à l'exclusivité! WOW ! Chuis vraiment veinaaaardeuh !

Dark : Tuez-la quelqu'un…

Krad : J'peux m'en charger…

Cocbys : (voyant Krad arriver) NAN NAN NAN ! T'es supposé arriver dans le chapitre 2, pas dans le premier ! Fous le camps !

Dark : Ne l'écoutes pas, tu sais, moi ça ne me déranges pas que tu restes… on pourrait s'occuper en attendant…

Cocbys : PERVERS !

Dark : Oui et fier de l'être !

Cocbys : S'il ne s'en va pas, t'aura pas ton tango horizontal avec lui dans le chap.2 !

Dark : Tango horizontal ?

Cocbys : Laisses… C'est une inside entre moi et Ami-chan…

Dark : (méfiant) dekosséquetuparles ?

Cocbys :RIEN JE T'AI DIT ! KRAD, TU T'TCHOW !

Krad : … (se tchow)

Cocbys : Bon, Satoshi-kuuuuuuuuuun ?

(lointain bruit assez étrange qui semble vouloir dire 'Je suis occupé!')

Cocbys : Mais tu viens d'avoir ta scène avec Dai-kun ! Comment peux-tu être en pleine forme tout de suite après ça ?

Daisuké : C'est un pays libre, que je sache !

Cocbys : Bon, faites vos trucs… moi j'vais aller écrire le chap.2 parce que je sens que Darkichoupinet vas me trucider…

Dark : C'EST DARK ! PAS DARKINOUPINET !

Cocbys : Mais je n'ai pas dit ça, non plus. J'ai dis Darkichoupinet.

Dark : Même affaire.

Cocbys : Nan. Y'a une différence entre le 'n' et le 'ch'.

Dark : Pitiééééééé… Va taper ton chapitre 2 et lâches-nouuuus !

Cocbys : … peut-être une bonne idée… Bon, puis-je toujours espérer quelques magnanimes reviews, siouplaîîîîîîîîîîît ?

Dark : Faites-le au plus vite, parce que là c'est moi qui va me faire trucider