L'institut des lobotomisées du cervelet gauche est fier de vous présenter :
The Power of Love !
Auteur : une jeune fille délurée ! (nda : applause !)
Genre : humour / parodie / amour / paroudie…
Personnages : ceux de FMA ne m'appartiennent pas (pas encore), je ne possède que les PDG du ciel (je peux faire un échange ? Non ? Spagenti !)
Rating : K, L, M, N, O, P, Q… je sais plus sféchier !
Couples : pleins, du yaoi du payaoi, du être humain/être humain, être humain/homonculus, du être humain/quadrupède mammifère et même du vieux/jeune ( par contre je ne fais pas du vanille/chocolat faudra voir avec la direction, troisième couloir à gauche mercibien).
Chapitre 1 : Cupidon est dans la mouise coulante !
On pourrait dire qu'on était dans une journée plutôt éprouvante. Oui, on pourrait. Tenez, même on va le faire : c'était une journée plutôt éprouvante. (nda : comment meubler deux lignes avec trois fois rien !). Cupidon flânait dans les dédales de l'olympe en sifflotant (Cupidon : et gnégnégné…) et en sautillant gaiement. Le soleil brillait, un petit vent fais pas désagréable soufflait dans les branches des pommiers où nichaient des petits oiseaux bleus et des insectes dorés. Seulement voilà tout ça c'est pas très réaliste alors on rembobine, on écrase son chouingôme et on avale sa cigarette. Cupidon traînait des pieds sur le macadam céleste (nda : que c'est bô !) tenant mollement son arc qui raclait le sol. Le soleil brillait dans sa figure et il n'avait pas mis sa casquette ni de crème solaire. D'un air maussade il se dirigea vers les bureaux des saints et sonna :
- DRINE !
- (voix grésillante) : identifiez vous !
- Je suis petit, grassouillet, ailé, blond, j'ai perdu cinq ou six fois le nord, une seule fois ma virginité et quelques occasions de me taire…
- (voix grésillante) : menteur ! vous n'avez jamais perdu votre virginité !
- Bon vous m'ouvrez oui ou merde !
- ça va … attention à l'ouverture automatique des portes !
Il entra en trombe et percuta un garde habillé en costar :
- Il veut quoi le Men in Black ?
- Vous devez passer dans le détecteur de métaux avant de continuer plus loin, s'il vous plait
- Mais à quoi ça sert ? Je suis A POIL, pas de poches, je n'ai rien à cacher dans mes bourrelets !
- Veuillez laisser votre armement à l'accueil S.V.P.
Il lui balança son arc et son carquois et pris l'ascenseur jusqu'au troisième. Dans le couloir il tomba sur Saint Marc, un vieux pote avec qui il avait fait son service militaire :
- Alors mon vieux ? Encore collé ?
- M'en parle pas… ce crétin de Poséidon m'a renvoyé paske je tripotait mon gras de bide au lieu d'écouter son cours !
- Pas cool …
- Et puis c'est marrant quand je touche mon ventre ça fait chbouin chbouing… regarde…
- …
- Ouais ok, ça a l'air de te trouer un deuxième anus, on dirait…
- Nan mais spa ça, j'ai des soucis avec la concurrence : Monsieur Propre reprend le dessus et c'est mauvais pour ma gamme Saint-Marc… bon je te laisse, biz mon chou !
Minute ! Je vois à vos regards perplexes et vides d'intelligence que vous vous demandez : non mais attend un peu, c'est quoi le rapport avec FMA ? Et là, je vous répond : c'est une excellente question, bravo, vous avez gagné votre poids en coton-tiges ! Patience les FMA viendrons…bientôt, si je ne les oublie pas. Bref, fin de l'intermède.
Cupidon entra sans frapper dans le bureau de Saint Pierre sur la porte duquel était marqué « frappez avant d'entrer ! » (Cupidon : oups j'ai confondu avec la porte du dentiste). Du haut de ses 1m20, Cupidon avait vue sur les genoux de son supérieur. Mais comme il est drôlement malcommode de regarder quelqu'un droit dans les genoux (nda : j'ai essayé, c'était très endurant), il grimpa sur la chaise et pu parler à son chef les yeux dans la barbe (nda : je sais, je suis tordue, c'est de naissance).
- Brrmm, Brrmm ! Fit Saint-Pierre en se voulant imposant
- Ouiiiiiiiiiiiiii ?
- Cupidon, je ne suis pas fier de toi !
- Oh oui vous avez raison, je suis méchanvilain bouhouhouhou…
- Je ne parle pas de Poséidon, mais d'un problème bien plus grave !
- Quoi ? j'ai oublié de faire mon lit ?
- Faites le malin et je vous colle deux heures avec hermaphrodite !
- Ah non, pas lui euh elle enfin beurk non jamais, je me tais.
- D'après les sondages…
- … du magazine 60 millions de consommateurs
- Cupidon !
- …( mime une fermeture éclaire qu'il ferme devant sa bouche)
- Il parait donc qu'en bas (nda : c'est nous !) on ait oublié ce que signifiait le plus beau sentiment que Dieu ait créé : l'Amour !
- Oui, et bien je vois pas pourquoi ce serait de ma faute, tout ça.
- C'est à VOUS (pointe son doigt sur l'un des multiples bourrelets de l'angelot) de faire en sorte que ce sentiment perdure au fil du temps !
- Mon bourrelet ?
- Mais nan, vous, Cupidon !
- Pas le temps, je suis collé, vous l'aviez oublié peut-être…hin hin
- Justement, ce sera ça votre colle !
- Weuah ! Mais c'est quoi ce système pourri ? Police partout, justice nulle part !
- On ne discute pas les ordres !
- Et l'autre là haut, il a fait quoi après ses 7 journées ? La sieste ?
- Hermaphrodiiiiiiiiiiiiiiiite !
- Nan c'est bon je plaisante !
- Bien et maintenant, votre mission si vous l'acceptez : faire renaître l'Amour dans les cœurs humains !
Il prit Cupidon par les ailes, lui accrocha un arc et un carquois tout neuf et l'expédia de l'Olympe par un magistral coup de pied au postérieur.
- Hey, la dernière fois je l'avais lancé plus loin que ça !
Pendant ce temps Cupidon chutait à s'en déplumer les ailes et atterrit dans un immense désert, Pouf !
- gnaurait gna peau ! Cria-t-il la tête dans le sable brûlant, puis se rendit compte que crier dans le sable n'était pas une très bonne idée, à moins de vouloir se faire un gommage des amygdales.
Il dégagea sa tête du sable telle l'autruche ayant senti le danger passer (Cupidon : t'avais pas pire comme comparaison, des fois ?) et cracha un peu, histoire d'enlever les quelques grains coincés entre ses dents.
- Déjà que j'ai horreur de la plage… bon, c'est pas tout ça mais, faut se mettre au boulot ! Fit-il en retroussant ses manches… enfin, plutôt ses bourrelets de poignets.
Il déploya ses ailes (nda : minuscules) et parcourut le désert, vide.
- Bon, y'a personne… a moins que ce ne soit à chaque grain de sable qu'il va falloir faire redécouvrir l'Amûûûr… attend ? C'est pas ça, hein ? (nda : mais non t'inquiète… c'est dix fois pire).
Il fouilla dans son carquois et en sortit une carte qu'il déplia…
- Alors, le Dron est là, le Dus ici… ? (nda : euh… ahem…ta carte est à l'envers)
- Je sais merci ! (nda : ah non non non tu devais répondre entre parenthèse paske c'est à moi que tu t'adresses !)
- Tu me fais chier avec tes parenthèses , là ! Et puis tiens les voilà tes parenthèses : ((((((())))))) et débrouille toi avec ! Alors (retourne sa carte pendant que l'auteuse se fait attaquer par un troupeau de parenthèses) , le Nord est là, le Sud ici… la ville la plus proche est à l'Est, ça me fait 23 km, je retiens 2 moins l'âge du capitaine… Allez hop va pour Central !
Quelques tempêtes de sables et troupeaux de vautours dans la tronche plus tard, Cupidon en avait déjà ras la frange, mais arriva à Central juste avant la diffusion des épisodes de la croisière s'amuse. Il s'assit sur un banc public, essoufflé (nda : c'est Cupidon et pas le banc qui est essoufflé, le banc il est juste public) et observa la populace.
- Bon sang mais j'aurais jamais assez de flèches pour tout ce monde là ! (nda : moins fort ! Cupidon : mé nan, ils peuvent pas m'entendre ! nda : oui mais moi si !). Va falloir choisir, pas évident… heureusement j'ai une méthode infaillible (nda : un détecteur de cœurs en détresse ?) : Amstramgram pic et pic et collégram… (nda : ah ben non) oh et puis ce soleil, pas moyens d'avoir des lunettes, et pourtant il en a lui là ! Fit-il en désignant un homme qui en portait. Je vais le suivre peut-être qu'il pourra me guider jusqu'à un opticien…
Greed marchait d'un pas nonchalant vers le Devil Nest en faisant gaffe tout de même à ne pas trop se faire repérer, car depuis un moment il lui semblait que quelqu'un le suivait (nda : hé Cupidon, ça marche pas trop ta technique de camouflage ! Cupidon : mais si, c'est juste une impression qu'il a ) pour lui voler ses lunettes (Cupidon : hahaha c'est malin t'as fait exprès chuis sûr !). Puis il se flanqua une baffe mental pour avoir pensé à un truc aussi sot. Mais il mettra quand même un antivol à ses lunettes on sait jamais. Il poussa la porte du bar et salua l'assistance :
- Yo !
Avant de s'installer dans son canapé avec poupées gonflables intégrées et d'allumer la télé pour regarder un épisode de FMA… euh non, de la croisière s'amuse ?
- Mais pourquoi je zappe sur l'aquarium, moi ? Et depuis quand on a une télécommande ici ? demanda l'homonculus.
Martel haussa les épaules et lui apporta son repas. (nda : hé Cupidon, c'est à toi, là ! Cupidon : quoi ? Nda : bah regarde : Greed est un mec Martel est une fille et elle l'aime, enfin je crois. Cupidon : nt nt trop classique, faut du sensationnel !).
Soudain, Kimblee entra comme ça sans préviendre. (Kimblee : je suis pas du genre à entrer quelque part en hurlant « C'eeeeeest moiiiiiii ! », vois-tu).
- Alors comment va le Roi et sa Basse-cour ?
Martel s'avança menaçante :
- La ferme !
- Ah bon, tu préfère la ferme à la basse-cour ?
- Hé Kim, lâche-là un peu !
- Vous faites peine à voir tous autant que vous êtes, j'me casse au premier.
- grrrrrrr ! Comment vous pouvez faire confiance à cette ordure, Monsieur Greed ?
Celui-ci haussa des épaules, alors que la chimère continua :
- J'ai pas confiance il est capable de nous faire un coup en traître rien que pour le plaisir !
- Bon, je vais lui parler si ça peu te rassurer…
Il se leva et monta au premier, Cupidon sur ses talons mais qui peinait un peu à cause d'une crise d'asthme après avoir survolé la troisième marche en raz motte. Cupidon refouilla dans son carquois :
- Merdeuuuh où j'ai mis la ventoline ! Rhaa y'en a pas!
Il dut se résoudre à monter l'escalier en rampant.
- Si avec ça personne ne me lance une pièce ou une moitié de cheesburger, c'est que je ne sais plus apitoyer les foules !
Greed entra dans la piaule de l'alchimiste écarlate qui constituait un « no man's land » de quelques mètres carrés tout rikiki. Au sol, traînaient 3 cadavres de danettes light.
- Merde, Kim t'as encore tout pris pour toi, tu pousses le bouchon un peu trop loin !
- Dégage de ma chambre !
- D'abord, faut qu'on parle.
- De quoi ? La clique s'est encore plainte à papa Greed ?
- Tu nous emmerde !
- Fallait pas me chercher, aussi
- Pourquoi tant de colère ?
- Et pourquoi pas, hein ?
- Ton sarcasme file comme un pet sur une toile cirée.
Pendant ce temps Cupidon s'était immobilisé sur le plancher à deux pas de la porte :
- Oui, j'étudiais la sédimentation de la poussière…
Il se releva péniblement, et dégaina son arc et une flèche. (nda : tu va la balancer sur qui ? Cupidon : sur Greed, quand Martel va arriver, elle est en train de monter les escaliers… Nda : alors pas de « sensationnel » ? Cupidon : nan, chuis fatigué, là). En effet, Martel inquiétée par l'engueulade des deux énergumènes montait les escaliers en vitesse de peur d'arriver trop tard et de devoir nettoyer les tâches de sang (nda : comment ça stro affreux, mais fallait pas viendre ). Sous la colère Greed ouvrit la porte :
- T'as raison t'as qu'à partir !
Bon, c'est le moment pensa Cupidon, il visa l'homoculus mal luné et… trébucha sur un bourrelet mal rangé.
- Eh merd…Boum !
Il s'étala comme une crêpe sur le plancher alors que sa flèche partit tout azimute pour ricocher sur le mur se cogner contre le miroir et se planter dans la porte (nda : voilàààà maintenant le miroir est amoureux de la porte !). Ah oui, au passage elle traversa Kimblee et Greed, mais c'est d'importance secondaire tout ça, non ?
Et là, c'est le drame pensa notre angelot acrobate.
A suivre …
L'auteuse : hin hin hin
Cupidon : pourquoi tu ricanes ?
L'auteuse : je ricane parce que je suis un être foncièrement méchant.
