Prologue
Qui n'a jamais rêvé d'une ile perdu, loin de toute civilisation et loi humaine ou tout est permis?
Cette ile existe, elle attire bon nombre de personne insouciante du danger (venu pour X raison). Son cotés paradisiaque est un bel appât qui cache un enfer bien réel et infernal à l'extrême de la folie. Son nom Rook Island.
Un soir, dans un sur l'ilot juste à l'Est de l'ile principale. Dont on peut distinguer un grand feu, qui est alimenté par de grande planche en bois mais mélanger à des cadavres. Autour de ce brasier, un attroupement de personne au tenu presque semblable (tous ont un haut rouge).
Ils regardent tous dans la même direction, comme s'il s'agissait d'un spectacle. Et les acteurs ne sont autres que deux personnes qui se font face. Un homme debout qui regarde une jeune femme a genoux à ces pieds, non pas pour le supplié mais par obligation car deux autres hommes non loin derrière la tienne enjoue.
- Alors, toi aussi... tu t'es... jouer de moi. Séniorita!
- OUI. dit-elle avec courage et satisfaction.
- TA GUEULE! Ce n'était pas une question, putain. Lève-toi. Hurle-t-il
Elle se lève en essayant de caché ces tremblement.
- Regarde-moi dans les yeux... assume ta connerie trainer.
Elle obéit et se met à rire. Tous surpris de son audasse, surtout face à lui. Sauf un, qui se met à hurler de plus belle.
- On peut savoir ce qui te fait rire! HEIN.
- Ta vraiment cru que quelqu'un...
Couper net par celui-ci qui l'étrangle d'une main, pour la faire taire sans la tuer bien entendu.
- Et tu croyais pouvoir me baiser... Pétasse! Tu n'es ni la première, ni la dernière à me faire ce coup là. N'es pas les gars?
Tous réponde un ouaih générale, car vous l'aurais compris c'est le chef. Et mieux vaut pas le contrarier même quand il est calme.
Il relâche son étreinte et l'empoigne par le bras.
- Et tu sais ce que je leur réserve à ces garces dans ton genre? Hein!
Il avance d'une démarche énergique, en ne lâchant pas sa proie.
Deux hommes près d'une table, attende l'arrivée de la belle en détresse. Pas pour la sauver, malheureusement. Le chef leur envoie la fille, ils la rattrapent malgré qu'elle se débatte avec l'énergie du désespoir.
Ils l'installent sur la table et la retienne allonger. Paniquer, elle fixe son bourreau qui sort son couteau de chasse.
- Je leur arrache le cœur!
Dit-il violemment avant de lui planter dans la poitrine, elle hurle a s'en casser les cordes vocales avant de succomber au bras de la mort. Mais il n'en reste pas là, car c'est le genre d'individus à faire ce qu'il dit à la lettre près. Il sort son cœur encore chaud de son corps mort et le montre à ces hommes.
- Donner la aux cochon... elle ne mérite pas le buché.
Sa colère est vite partie comme si rien ne s'était passé. Il fait signe a un chien de venir et lui donne le cœur.
- Bon chien... régale toi.
Il se place face au feu, allume son cigare qui vient de sortir de une de ces poche arrière et l'allume. Tout en contemplant les flammes. Soudain, une vibration provenant de ces poches le fit rire. IL sort son téléphone:
- Hoyt, que me vaut se plaisir?
- Alors vaas, j'espère qu'il te reste de la place dans tes camps d'esclaves car un bateau de croisière arrive vers ton ile.
- Évidemment, j'ai toujours de la place pour de nouveaux clients. Quand seront il a porté d'abordage? dit-il avec l'excitation infantile
- Du calme, dans quelques jours. Mais laisse-les venir eux même pour que l'accostage ne soit pas trop sanglant...
- Laisse-moi deviner, des gros friquer avec leurs gorilles dresser... Ok Hoyt ok.
