Le Blabla de Lily Jolie : Surprise!! Voici une nouvelle fic que je vais tenté d'écrire en même temps que When my heart stop beating! C'est une idée qui me trottait dans la tête depuis un bon moment! Pour ce qui est des couples, évidemment il y aura Jasper et Bella mais en second plan puisque mon personnage principal ce n'est pas eux. il y aura d'autres changements dans les couples présents mais je vous garde la surprise. Familia sera un peu différente de mes deux autres fics de Twilight puisque je retombe dans mes vieilles habitudes. Enfin, j'espère que cette fic vous plaira. Pour ce qui est des maj, même si je vais tenté de l'écrire en même temps que When my heart stop beating, c'est cette dernière qui aura priorité! Enfin Enjoy and REview!
Familia
Chapitre Un : Forks
Forks. Quel nom stupide pour une ville. Enfin, peu importe le niveau de l'intellect du fondateur de cette ville puisque c'est là que je vais m'installé. Pluvieuse et nuageuse à souhait, Forks est une petite ville où une vampire dans mon genre pourra très bien s'intégrer. Je soupire, moi qui détestait la pluie étant vivante, cela fait près de cent ans que je ne peux plus profiter du soleil comme j'en ai envie. C'est pas étonnant que les vampires soient si pâles.
Je finis par entrer dans la ville. Elle est petite, mais finalement je l'aime bien. Je suis née à Chicago, mais je n'aime pas les grandes villes. Surtout celles du XX1e siècle, elles sont trop bruyante et exubérante. Je fais un petit saut à la petite maison que j'ai louée à l'entré de la ville, un peu en retrait des autres, et je me dirige vers le lycée où je dois rencontrer le principal à 9h00. J'ai fais plusieurs choses dans ma longue vie de vampire qui m'ont endurcies, qui m'ont changés et j'ai parfois oubliée de m'amuser un peu, de décompresser. C'est ce que j'ai décidé de faire ici. Je vais aller au lycée et m'amuser à jouer les étudiantes normales, enfin aussi normale que je peux avoir l'air pour les mortels.
Une rencontre barbante avec le principal plus tard, j'entre à la cafétéria de l'établissement. Moi qui voulais me faire relativement discrète, c'est totalement raté puisque la pièce est bondée. Je soupire et me jette dans la fausse aux lions. Je me met en file et en attendant mon repas, je m'amuse à me regarder à travers les yeux des mortels. Je suis télépathe alors je peux lire les pensées de quelqu'un et lui parler avec les miennes. Je m'amuse souvent à me voir à travers les yeux mortels, sa me fascine.
Je repère un jeune homme blond. Mike Newton d'après ce que je vois dans sa tête. Il est limite sur le point de baver alors je suppose que la vision doit en valoir la peine. Il voit une jeune femme aux magnifiques et longs cheveux cuivres et à la peau opaline. Elle a un visage fin et des trait parfaits, des lèvres ni trop pleine ni trop invisible, un nez fin, des joues avec de jolies fossettes et des superbes yeux émeraudes en amande. Elle est grande et mince. Elle porte un jeans bleu taille basse qui souligne parfaitement ses hanches, une chemise blanche moulante dont les manches s'évase en dentelle souple juste avant les coudes et qui lui descend jusqu'aux poignet, un petit débardeur noir par dessus la chemise tout aussi moulant que cette dernière, des souliers à talon haut noir vernis ouvert au bout. Une comparaison rapide à une déesse grecque dont il a déjà oublié le nom passe dans sa tête.
Je me sors de sa tête d'adolescent bourré d'hormones quand arrive mon tour. Je prend un steak bien saignant à la limite du pas cuit du tout et je me dirige vers un bout de table où il n'y a personne. Je rigole doucement au souvenir de la description que j'ai vue dans la tête de Newton. Même si je sais que je suis belle, je me suis toujours trouvée un peu quelconque, même depuis que je suis vampire. Mais je suppose que c'est à peu près le cas de toutes les filles. Je m'attaque à mon steak. J'ai déjà mangé une semelle de botte avec plus de goût, mais la dose de sang à l'intérieur me rassasie suffisamment pour faire face avec patience au reste de la journée. Je dois être la seule vampire de ce monde à manger encore de la nourriture humaine. Je mange deux repas par jour constituer de viande saignante et je chasse les animaux une fois par semaine, parfois aux deux semaines. J'ai déjà tenue deux mois entiers en mangeant mes deux repas humains par jours. La plus part des vampires sont rebuter par le goût des aliments normaux, mais selon mes théories, c'est seulement parce que les vampires ne sont plus habitués à ces aliments. Parce que moi, j'en mange depuis soixante-quinze ans déjà et j'adore. Les aliments ont rapidement retrouvés leurs goûts d'antan et sont même meilleurs. Même si je ne ressens pas une faim de mortel pour ces aliments, ils me soutiennent et m'aident à ne pas chasser. C'est d'ailleurs pour cela que mes yeux sont verts. Je sais que les vampires végétariens comme les sœur de Denali ont les yeux dorés et que les vampires qui boivent le sang humain ont les yeux rouges, ceux qui ont mon régime ont les yeux verts. Cependant, je crois bien être la seule à avoir un tel régime.
Alors que je me concentre pour ne pas perdre patience après ma semelle de botte, je sens l'odeur caractéristique d'un vampire dans la pièce. Je lève la tête et ce que je vois confirme se que j'ai sentis. Cinq vampires entre dans la pièce. La première est grande et à de longs cheveux blonds. D'après ce que je vois dans les esprits, elle s'appelle Rosalie Hale. Le beau gosse aux cheveux bruns à ses côtés se nomme Emmett et est son fiancé. Dommage, j'en aurais bien croquer un morceau. Aux côtés d'Emmett se trouve une autre fille. Plus petite que Rosalie, celle qui s'appelle Alice ressemble à un petit lutin. C'est la sœur d'Emmett d'après ce que je comprend. À ses côtés, le frère de Rosalie et son copain, Jasper Hale. Un beau blond sombre, ténébreux et tourmenté. Lui aussi je l'aurais bien croquer. Je pose mon regard sur le dernier garçon et j'en laisse tomber ma fourchette. Grand, mince mais musclé, visage anguleux aux pommettes hautes, mâchoire forte, nez droit et lèvres pleines. Cheveux en bataille d'un roux cuivre identique au mien. Bien qu'il ai les yeux dorés, je me l'imagine avec des yeux verts. Edward Cullen. Avec son nom que je pige je ne sais où, je n'ai plus aucun doute. Il lui ressemble beaucoup trop pour que ce ne soit pas lui ! Si mon cœur battait encore, il se serait arrêter net.
Je ferme les yeux un instant pour calmer ma respiration qui c'est emballée. Foutu réflexe mortel! C'est impossible, ce ne peut pas être lui. Il ne peut pas s'agir de mon frère, de mon Eddie. En même temps, je ne l'ai pas vue mourir puisque j'ai été déclarée morte avant lui, mais quand même de combien sont les chances pour que je le retrouve dans cette bourgades cent ans plus tard? Bien trop infimes. Finalement, je n'ai plus faim. Tans pis s'ils sont encore dans l'entré, moi il faut que je sorte. Je jette rapidement le contenu de mon plateau dans la poubelle et me dirige vers la sortie. Dans le cadre de la porte, je passe à côté de lui et attrape un peu de son parfum. Une de mes mains se crispe sur le médaillon que je porte au cou. Ce parfum, c'Est le sien, je le reconnaîtrait n'importe où. Je sens son regard et celui de ses amis se poser sur moi, mais je ne me retourne pas.
Je me dirige vers le stationnement à une vitesse limite pour un mortel tant je suis presser de m'éloigner d'eux. J'ai presque atteint ma 911 turbo bleu quand je sens qu'ils sont derrières moi. Je ne leur prête pas attention et pose une main sur la poignée que je tente de déverrouiller avec le démarreur à distance. C'est au moment où la porte se déverrouille qu'il s'adresse à moi.
- Qu'avons-nous de si effrayant pour que tu veuilles te sauver à une telle vitesse? Demande Edward.
- Effrayant? Dis-je toujours de dos. Pas grand chose. Seulement, je ne crois pas pouvoir supporter ta présence pour le moment.
- Pourquoi donc? Dit-il, étonné. Je ne pense pas te connaître pourtant.
- Moi je te connais. Répondis-je, obstinée à rester de dos. Et probablement mieux que ceux que tu appelles tes frères et sœurs et c'est ça qui me pousse à partir.
- Comment cela serait-il possible? Dit-il.
- À ce que je vois, dis-je avec un sourire en coin qu'il ne peut voir, tu n'as pas perdu le langage de l'époque où tu es né.
- Comment sais-tu cela? Dit-il.
Je ne répond rien. J'inspire profondément, même si c'est inutile, range mes clefs dans mes poches, baisse la tête, me retourne et marche vers eux. À un maître de distance, face à Edward, je relève la tête. Emmett et Jasper ce mettent instinctivement en position de défense.
- Du calme, vous deux. Dis-je en rigolant. Je n'ai pas l'intention d'attaquer. ET toi, ajoutais-je en fixant mon regard dans celui d'Edward, je sais que tu parlais ainsi parce que, comme je te l'ai dit plus tôt, je te connais.
- Et moi, je te demande à nouveau comment cela est-il possible? Dit-il, sur le point de perdre patience.
- Toujours aussi patient, Eddie? Dis-je avec un sourire en coin si semblable au sien. Je sais que tu t'appelais Edward Anthony Masen, que tu es né le 20 juin 1901 à Chicago et mort en 1918 pour la simple et bonne raison qu'a peu de chose près, je suis dans le même cas que toi.
- Que veux-tu dire par là? Dit-il, surpris.
- Ta mémoire te fait défaut où les devinettes ne sont toujours pas ton fort? Dis-je, toujours avec un sourire en coin. Enfin, je vais me présenter. Je m'appelle Lucy Anne Masen. Je suis née le 29 juin 1901 à Chicago et morte en 1918 peu de temps avant toi.
- Lucy! Murmure-t-il, les yeux grands ouverts. C'est bien toi?
- C'est ce que j'essaie de te faire comprendre depuis bientôt dix minutes, Edward.
- Mais…Mais pourquoi voulais-tu me fuir alors? Demande-t-il, blessé.
- Ce n'est pas de ta faute, Eddie. Dis-je en soupirant et en m'approchant de lui. C'est le choc. Je te croyais mort, comme maman et papa. Je ne m'attendais pas à te retrouver dans cette ville, cent ans plus tard!
- Oh, Lucy! S'exclame-t-il en me prenant dans ses bras. Tu m'as tellement manquée!
- Tu m'as manqué aussi, tu sais! Soupirais-je en me laissant aller dans ses bras.
- Euh…Quelqu'un pourrait m'expliquer? Demande une voix de femme qui n'appartiens sûrement pas à Rosalie ou Alice.
En entendant la voix, Edward se sépare vivement de moi. Je lève les yeux au ciel avant de les posés sur la propriétaire de la voix. Je m'approche doucement de la jeune femme. Je sens Edward et les autres se tendrent, près à la défendre. Je souris encore plus et je m'arrête tout près d'elle. Petite, mince, peau pâle, visage délicat, lèvres pleines et yeux bruns en amandes, cheveux longs, noirs et soyeux. Les joues rouges à cause de mon examen et un cœur qui bas. Une mortelle. D'après ce que je vois dans son esprit, elle s'appelle Isabella Swan et est la copine d'Edward. C'est la première fois qu'elle voit Edward avoir une telle marque de familiarité avec quelqu'un d'autre que sa mère adoptive. Même elle, il ne la prend pas aussi longtemps dans ses bras. Une pointe de jalousie transperce tout ça. Je rigole en me reculant et décide de la rassurée.
- Ne t'inquiète pas, Bella! Dis-je en souriant. Je ne joue pas dans tes plates bandes, Edward est mon frère jumeau.
- Ton quoi!?! Dit-elle surpris
- Mon jumeau! Dis-je en souriant. Une mortelle, Edward? Tu as le don de les choisir afin de briser les règles!
- Si tu pouvais éviter certaines allusions, je te serais gré! Dit-il
- Non mais quand vas-tu apprendre à parler comme quelqu'un de normal? Demandais-je en riant.
- Quand les poules auront des dents sans doute!dit-il avec son sourire en coin qui m'avait tant manqué.
- Bon, c'est pas tout, mais je dois manger quelque chose si je veux aller en cour cet après-midi! Dis-je
- Tu allais aller en cours sans avoir chasser? S'exclama-t-il
- Voyons, Edward! Répondis-je sur le même ton. Tu me connais mieux que cela et, à ce que je sache, je n'ai pas parler de chasse!
- Mais, alors, qu'est-ce que tu mange? Dit-il, perplexe.
- Au cas où tu n'aurais pas remarquer, mes yeux sont toujours verts! Dis-je. Cependant, je n'ai pas le temps de t'expliquer maintenant. Si tu veux, on peu se voir après les cours?
- J'en serais ravis! Dit-il. Nous avons beaucoup à nous raconter. Je t'attend ici après les cours et je t'amène à la maison, okay?
- Sans problème! Répondis-je en souriant. A plus tout le monde!
Sans un mot de plus, je me détourne et monte dans ma voiture. Moi qui avait paniquée en le voyant, je suis contente que tout ce soit bien passer. En fait, je ne sais pas de quoi j'ai réellement eu peur, mais tout semble bien aller. Après avoir démarrer le moteur, je les salut de la main et quitte en trombe le stationnement direction le seul restaurant de la ville. En espérant que la semelle de botte serait meilleure!
