Bonsoir, après de longues réflexions, j'ai décidé de modifier cette fiction, car beaucoup de passages ne me plaisaient pas.
Je suis d'ailleurs en train d'écrire le nouveau chapitre.
Je vais transformer l'histoire de départ de cette fiction : celle-ci ne sera plus basée sur l'univers Twilight, mais sur la trilogie Fifty Shades.
Je posterai les chapitres au fur et à mesure qu'ils seront modifiés.
Bonne lecture :)
Point de vue d'Anna
J'étais suis une camée, ouais, une droguée... Et alors ? Moi, je n'avais aucun problème avec cela. Je vivais bien, même si parfois, j'étais en manque. Pour ainsi dire, souvent, mais alors ? Tant qu'il y avait de la baise, de la dope, le reste, je pouvais m'en passer. Certes, la bouffe manquait un peu, mais bon. J'avais appris à m'en passer.
Je n'étais pas jeune, ni vieille. Je n'avais que vingt-huit ans, mais j'avais déjà une vie bien remplie. Je vivais seule depuis des années, enfin, pas si seule. Je me prostituais pour obtenir ce dont j'avais besoin. Je ne dis pas que j'étais heureuse, mais... Bon, c'est vrai, j'ai toujours voulu vivre dans un monde sans aucun souci, où je n'avais pas besoin de cela, mais j'étais dépendante de cette saloperie. J'étais une droguée et je l'assume, au point d'en oublier ma fille de cinq ans. Et oui, lors d'une de mes nuits, j'ai eu le droit à un cadeau. Au début, je l'ai détestée, mais maintenant, je ne voyais plus ma vie sans elle. Je n'arrivais pas l'avouer.
Point de vue de Christian
Ma vie était déjà bien remplie. À seulement vingt-neuf ans, j'étais un médecin généraliste, spécialisé dans les addictions aux drogues, dans un centre de désintoxication pour toxicomane. Mon rôle était de les aider, de les suivre, tout au long de leur cure. Je leur prescrivais un traitement, les aidais dans les démarches... Bref, tout ce que faisait un médecin de cette catégorie. J'aurais dû me réjouir de ce poste et pourtant, quelque chose me disait que j'allais regretter d'y être arrivé. Vous me direz, pourquoi ne pas changer dans ce cas ? Il m'était tout simplement impossible de changer, car j'exerçais dans le cadre de ma première année et je me devais, à mes débuts, d'obéir aux lieux que l'on m'imposait. J'étais donc contraint de rester ici pendant douze mois, minimum.
Aujourd'hui, était un jour spécial. Je commençais ma première journée dans ce centre. J'étais déjà allé le visiter, mais cela n'était pas la même chose que d'y travailler. J'avais une appréhension telle, que je n'arrivais plus à dormir la nuit. Espérons que mon travail serait moins perturbant que mes nuits.
