Bonjour ! Bonjour tout le monde !

Voici ma toute première fan fic sur le site ! Elle comportera plusieurs chapitres, sans doute trois + deux prologues. J'espère qu'elle vous plaira !

Excuser moi d'avance pour les fautes d'orthographes !

Note : J'ai emprunté les personnage de maître Katsura Hoshino que j'admire beaucoup. Pardonnez-moi petits kawaii de vous faire tant souffrir...
La fic se passe dans le présent, de plus les personnages ont dit adieu à leurs innocences, leurs cicatrices, leur cache-oeil, etc...etc...

Bonne lecture !

Pleaze review !

( :


Prologue : Le « paquet »

- Mettez le avec les autres pour l'instant, Cross-sama viendra les choisir dans l'après-midi.

Un homme en uniforme noir pris le dit « paquet » inconscient sur ses épaules, « paquet » qui était en réalité un jeune homme de moins de 20 ans, aux cheveux blanc tombant en désordre sur sa nuque. Il avait comme seul habit une longue chemise délavée et déchirée qui cachait mal sa peau très pâle et parsemée ça et là d'égratignures.

Après avoir traversé un long couloir et descendu plusieurs escaliers, l'homme arriva dans ce qui ressemblait à une ancienne cave humide et sale. Des murmures se firent entendre. Puis deux autres hommes apparurent devant lui.

- Oh ! un nouvel arrivant ? lui demanda l'un d'eux

- Ouai.

- Bon je t'ouvre, lui répondit le second.

Après ces mots le deuxième garde se retourna et avança dans le long couloir. En marchant ils passèrent devant plusieurs salles qui ressemblaient à des cellules, elles étaient remplies de jeunes hommes de tout âges. Le garde s'arrêta devant l'une d'elle, et déverrouilla la vieille grille à l'aide d'une clé rouillée.

- Il reste encore de la place dans celle-là.

Dans la cellule, six jeunes hommes, vêtus exactement comme le jeune blondin étaient attachés aux niveaux des poignées par de longues chaînes reliées aux murs. Lorsqu'ils virent les deux gardes approcher, ils se reculèrent le plus loin possible d'eux dans un coin sombre de la pièce sans dire un mot. Le garde ouvrit la porte et entra avec son « paquet », il se dirigea vers un mur du fond, où deux chaînes étaient libres, il jeta violemment le jeune blond par terre, lui attacha les deux poignets et partis en riant.

- mon dieu ! de vrai lopettes ces mômes !

Il referma la grille derrière lui, et s'éloigna dans le long couloir avec ses deux compères en discutant. Laissant dans l'attente tout les pensionnaires.

Qui étaient ces enfants ? Que faisaient-ils là ? Et surtout, qu'allaient-ils leur arriver ?...