La maison était déserte. Wifi dormait sur un fauteuil dans la chambre de Mathieu et les seuls bruits étaient son ronronnement et des bruits de plancher. Marine était rentrée pour récupérer les affaires qu'elle avait prêtées au panda pour se déguiser. Une perruque, une moustache, et le tour était joué. Il voulait aller dans la rue tranquillement.

Soudain, un bruit de pas derrière elle. La porte qui claque. Une odeur de tabac et d'alcool empli la pièce. Marine se retourna. Elle ne savait pas quoi penser. LUI !

Cet homme sournois, celui qui la mettait mal à l'aise, il était devant elle. Saoul, il empestait le whisky. Il ricana, et son haleine fit tressaillir Marine. C'était un mélange de tabac froid et d'alcool, ce n'était pas le meilleur des cocktails d'odeurs, mais même longtemps après cette rencontre, elle ne pût l'oublier.

Elle regarda le patron, pendant qu'il la détaillait. Elle n'était pas particulièrement jolie. Elle faisait 1m60 et était un peu ronde. Châtain aux yeux marrons, elle était banale, mais avait un fort caractère, ce qui repoussait les hommes; et malgré ses 17 ans elle n'avait fait dans sa vie que très peu de conquêtes amoureuses, mais tout avait toujours fini à cause de sa jalousie.

Le patron eût un sourire pervers en dessinant les courbes de Marine du regard. Elle ne savait pas quoi faire, car il avait fermé la porte et elle ne pouvait pas le contourner. L'homme pervers s'approcha d'elle et lui passa la main autour de la taille, et dans un geste violent, il l'attira contre lui.

"On va s'amuser, gamine..." lâcha t'il dans un souffle.

Puis il abattit ses poings serrés sur Marine. Elle perdit connaissance.

Elle se réveilla à grands coups de gifles. Que se passait-il ? Où était-elle? Elle avait des souvenirs qui remontaient à la surface, provoquant des haut-le-cœur. Elle regarda devant elle, et elle vit un homme en costard. Mais oui ! C'était le patron !

"Alors gamine, enfin réveillée?"

Elle était attachée par des menottes roses, très solides, et reposait sur des cordes. ses pieds étaient tenus attachés également. Elle n'était pas nue, mais habillée comme les prostituées slaves que le patron chérissait tant. Sa bouche était fermée par un bâillon, elle se trouvait dans une cave.

Le patron s'approcha d'elle et lui griffa le dos. Le sang ne coulait pas, il recommença. Elle eut des grandes trainées rouges sur le dos en quelques minutes, mais ce n'était que le début de son supplice.

Le Patron alla chercher un fouet. Il commença à lui donner des grands coups sur tout le corps. Elle étouffait de douleur, mais étonnement, cela lui plaisait. Son corps se cambrait et se dressait, pour retomber ensuite sous l'impact du cuir, et recommençait ce manège sans qu'elle ne puisse le contrôler.

Il arrêta les coups, Marine voulait encore ressentir cette brûlure douloureuse mais envoutante, elle avait besoin que ça reprenne. Par un système de poulies, l'homme sournois fit écarter les jambes de Marine. Puis il sortit d'un placard un sextoy en cristal, très long et constitué de plusieurs "boules". Il l'approcha de la féminité de Marine. Puis d'un geste brusque, il la pénétra, boule par boule, cran par cran, il la regardait subir cette autre démoniaquerie. Elle souffrait, il en était certain, et cela l'excitait. Alors il sortit un sextoy vibrant et lui enfonça violemment dans son arrière. Puis il l'alluma à pleine puissance.

Marine n'avait jamais connu une baise pareille. Elle était au bord de l'évanouissement tellement la sensation était forte. Le premier sextoy avait été enfoncé au dernier cran, et le patron entreprit de lécher soigneusement le clitoris de Marine, qui gémissait avec force.

"Vas y petite, jouis, je n'attends que ça !"

Alors elle ne se retint plus et jouis. Le patron se positionna devant elle, tout en laissant les god à leur place dans Marine, et il ouvrit sa braguette.

"Lèche, aspire, suce maintenant gamine ! " ordonna t-il

Alors elle prit son imposant engin en bouche, et avala la semence. Le patron l'assoma de nouveau.

Quand elle se réveilla, elle était dans l'entrée de chez la famille de Mathieu, habillée, propre, les cheveux brossés, les affaires qu'elle venait chercher étaient à côté d'elle. Elle voulait penser que tout était un cauchemar mais une douleur tenace brulait son dos.

Elle s'enfuit de chez les Sommet et tacha de nne pas recroiser le Patron...

Mais où étais-tu, Panda ?