Marqué à jamais

Mot de l'auteur : soyez indulgents, c'est ma 1ere fic. Sinon je remercie ma sœur Morganne (qui est aussi ma béta). Ps : elle cherche des fics à corriger donc si ça vous intéresse.

Ps : les personnages ne sont pas à moi, bouuuu.

I. Problème de marquage

Ce jour là, Hiei, 10 ans, s'entraînait dans une clairière (et oui, déjà à cet âge, il voulait devenir le plus puissant démon) quand survint un yoko. Cet être d'une grande beauté était surtout connu pour être un grand voleur. Après avoir repris son souffle, il leva la tête et regarda les environs jusqu'à tomber sur le petit garçon, les cheveux noirs en pétard avec quelques mèches blanches mais se qui retint son attention fut son regard, semblable à un brasier ardent. Alors, poussé par son instinct, il s'approcha du petit démon tout en souriant. Hiei, ayant un mauvais pressentiment, décida de partir mais alors qu'il allait se tourner pour fuir, le yoko le prit de vitesse et se retrouva devant lui.

-Quel est ton nom, petit ?

-Pourquoi je vous le dirais ? Répondit Hiei avec méfiance.

-Tant pis, moi je m'appelle Kurama

Et dans un dernier sourire, il le mordit à la jugulaire.

-Sache qu'à partir de cet instant, tu m'appartiens. Quand tu seras prêt, je reviendrais.

Et sur ces dernières paroles, Kurama partit, laissant derrière lui Hiei qui tomba dans les vapes pour se réveiller 2 jours plus tard. Il posa sa main avec crainte sur son cou où il sentit encore 2 petits trous, signes que ce qui s'était passé était bien réel. Alors, il décida de retourner à son entraînement pour peu à peu oublier cette rencontre plus que désagréable.

Même clairière, 100 ans plus tard

La dernière mission reçue était de rattraper des monstres qui avaient volé des objets de grandes valeurs. Après une longue poursuite, l'équipe d'Urameshi réussit à les bloquer dans ladite clairière et le combat commença. Soudain, se sentant mal, Hiei décida d'en finir en appelant le dragon noir. Une fois le carnage terminé et les ennemis morts, il tomba face contre terre, montrant ainsi un magnifique tatouage, une rose, partant de la nuque jusqu'au bas du dos. Voyant cette marque, Kurama reprit, sans le vouloir, sa forme de yoko et, avec un sourire qualifié de louche, ramassa Hiei. Yusuke, tout comme Kuwabara, restèrent figés, les yeux grands ouverts devant le spectacle surréaliste d'un Hiei porté comme une princesse par un yoko souriant comme s'il venait de trouver la 8eme merveille du monde.

-Heuuuuuu, Kurama, tu nous expliques ? Demanda un Urameshi toujours choqué par se qu'il voyait.

-Plus tard. En attendant rentrons au palais.

Et sans plus attendre, il partit avant d'être rattrapé par les 2 autres. Une fois arrivé à destination, dans le bureau d'Emma Junior, Kurama déposa délicatement son fardeau au sol, sous les regards interrogateurs de Goemma et Botan.

-Bon, pour être sur que vous comprendrez tout, je vais vous expliquer quelques notions sur les yokos en commençant par le choix du compagnon. Pour résumer, tout est une question d'hormones, c'est comme un coup de foudre mais en plus puissant pour le yoko. Cela ne lui arrive qu'une seule fois dans sa vie, aussi longue soit-elle, et pour être sur de ne pas perdre son futur compagnon, et aussi prévenir les autres monstres qu'il est déjà prit, et bien, on le mord et ainsi, lorsque la personne choisie est prête à donner une descendance au yoko, apparaît une marque plus ou moins grande sur le dos, selon la puissance du yoko. Cette marque sert aussi à assurer la fidélité des 2 partenaires : le yoko, s'il lui venait l'envie d'aller voir ailleurs, ce qui est très rare, eh bien il en mourrait, tout simplement ; en se qui concerne le compagnon, il faudrait déjà qu'un autre démon ose s'approcher sachant que le yoko sera de toute façon au courant, et donc qu'il risque la mort.

-Et tu sais qui lui a fait cette marque ? Demanda Yusuke.

-Bien sur, c'est moi, mais ça fait un petit bout de temps, en fait ça fait tellement longtemps que je m'en rappelais plus, mais je vous avouerai que je ne pensais pas l'avoir fait sur Hiei. Tout se dont je me rappelle, c'est d'avoir mordu un petit garçon dans une clairière, surtout qu'il ne m'avais pas donné son nom. Tout se que j'ai à dire, c'est que je suis content de l'avoir mordu quand il était jeune car maintenant ça aurait été un peu plus difficile.

-Quel dommage, j'en aurais bien fait mon 4 heure.

-Mon cher Yusuke, si tu tiens à la vie, ferme là et ne parle plus jamais de lui de cette façon en ma présence car je suis TRES possessif.

-C'est bon, je rigole, t'excites pas, je vais pas te le voler, ton Hiei.

-Maintenant que tout est dit, je pars et j'amène Hiei avec moi.

Et sur ces paroles, Kurama sortit de la salle, portant notre petit démon du feu comme une princesse. Une fois arrivé à son appartement, il déposa Hiei sur son lit puis alla se doucher en attendant que notre belle aux bois dormant se réveille. Il se passa encore une heure avant qu'enfin Hiei se réveille.

-Je suis où ?

-Tu es chez moi, ne t'inquiètes pas. Bon, je crois qu'il faut qu'on parle alors tu vas m'écouter sans t'enfuir, pour une fois. D'accord ?

-C'est bon, vas-y, je t'écoute.

Alors Kurama expliqua à notre cher Hiei la même chose qu'aux autres (auteur : je suis pas motivée pour tout réécrire). Au fur et à mesure que Kurama parlait, le visage de Hiei palissait jusqu'à atteindre un magnifique blanc cassé arrivé au passage de la descendance. Une fois le récit finit, Kurama le regarda droit dans les yeux et commença à rire.

-Qu'est-ce qui te fait marrer ? Demanda un Hiei sur le bord de la crise de nerf.

-J'étais en train de t'imaginer portant un mini Kurama/Hiei.

Poussé par son instinct de conservation, notre petit démon fit la chose la plus stupide et en même temps la plus normale, il s'enfuit par la fenêtre. Notre yoko, remarquant enfin son absence, se remit à rire, sans savoir pourquoi. Une fois calmé, il partit enfin à la recherche de son Hiei, ses instincts de chasseur reprenant peu à peu le dessus. La chasse est ouverte.

A suivre.

Auteur : reviews, pour savoir si ça vous à plu ou si je dois arrêter ma courte carrière d'écrivain. A vous de me le dire.