Aujourd'hui, c'était le fin du lycée et le début des grandes vacances, ce qui rendait les étudiants heureux, excepté moi. Normalement, les vacances ont été passées aux familles des passants. J'aurais pu partager le même raisonnement, si je vivais avec les parents ordinaires. Hélas n'était pas le cas, l'alcoolisme de mon père rendait notre cohabitation invivable avec ma mère. Evidemment mon père n'est pas devenu alcoolique en un jour. Mes neuf ans, je serais marqué par un nouveau membre dans notre famille, un petit frère. Ma mère en était à son cinquième mois de grossesse alors qu'elle était fausse couche. Mon père n'a pas été soutenu dans cette tragédie, il a été soutenu dans l'alcool. Ce fut un feu pour envoyer le nom de Hanson. Au départ, il commence par quelques verres jusqu'à ce que ils sont remplacés en grande partie. À mesure que son alcoolisme s'est amélioré, à la faute de la mère, mais d'avantage sur moi. Cet échec m'était rappelé sans cesse par la haine de ses paroles et qu'il était utilisé chaque soir comme défouloir. Mes ecchymoses étaient cachées grâce à ma mère aux yeux des habitants pour sauvegarder notre réputation et démentir les calomnies. était rappelé sans cesse par la haine de ses paroles et qu'il m'utilisait chaque soir comme défouloir. Mes ecchymoses étaient cachées grâce à ma mère aux yeux des habitants pour sauvegarder notre réputation et démentir les calomnies. était rappelé sans cesse par la haine de ses paroles et qu'il m'utilisait chaque soir comme défouloir.
Malgré les efforts, sa violence et son problème d'alcool lui ont porté préjudice à son travail. Il travaillait autant que mécanicien au garage US Auto. Un véhicule a été transporté avec 1,5 g / L d'alcool dans le sang et qu'il a arrêté le shérif à bord du véhicule. Le patron à une licencié le temps d'un problème d'alcoolisme. C'était il y a trois ans, alors il ne l'a jamais réglé. J'allais me diriger vers les portes de l'enfer depuis le compte de mon père sous l'emprise de l'alcool comme Satan, lorsque Casper m'interpella. Il s'appelait en réalité Oliver, je le surnommais. Nous nous connaissions depuis qu'il avait emménagé chez moi il y a 10 ans. Il était mon confident même si je détestais lui parler de mes problèmes familiaux. Il était au courant de ce que je subissais tous les soirs dans les rues, il me disait qu'il fallait être sourd, soit insensible pour ne pas les entendre; je lui faisais promettre de ne pas intervenir. Ses caractères protecteurs et bienveillant ont sans doute douté me proposer de venir passer du temps chez lui, ce jour-là.
Dix-huit heures passées, nous devions échanger notre conversation à risque d'attiser la colère de Satan plaisantai-je avec lui. Arrivée chez moi, mes parents sont disputés dans le salon à propos de mon absence à cette heure. Ma mère s'inquiétait que quelque chose m'a choisi soit arrivée, soit accidentellement, soit pas un problème. Quant à mon père sa colère était que j'allais passer une vente quart-heure s'il me voyait rentrer. J'essayai de passer discrètement quand mon père s'est précipité en m'agrippant violement le poignet. Il criait «Où étais-tu, hein? Tu trainais encore petite pute…? »Alors que je tentais de me libérer de son prix, il me traîna jusqu'à ma chambre à l'étage, je me sentais chaque fois que je me promenais cogné contre mon dos. Je passe à exploser les poumons, ses ongles sur mon poignet entraient dans ma chaise. Il m'a jetée dans mon lit alors que je tentais de me lever, il m'a giflée. «Tu sortiras de ta chambre à manger», m'a-t-il dit. Complètement sonnée par le gifle, j'ai seulement entendu dire que je continuais à pleurer en continuant à pleurer des milliers de piqueur sur ma joue. La fugue d'être l'unique solution pour moi.
