Chapitre Un: Un monstre...
«La mutation: c'est la clé de notre évolution. C'est elle qui nous a mené de l'état de simple cellule à l'espèce dominante sur notre planète. Le processus est long et remonte à la nuit des temps. Mais tous les deux ou trois cent mille ans, l'Evolution fait un bond en avant»
Professeur Charles Xavier
Un hopital, une petite ville, la neige tombant sur le sol de la nuit, une naissance a lieu, la naissance d'un monstre...
Ça se passe dans la ville de St-Graham, petite ville d'Angleterre connut surtout pour son révolutionnaire orphenilat-pensionnat, le School Orphelan Pentional of St-Graham.
Dans le petit hopitat surgi un cris horrible, le cris d'une infermière a la vue d'un monstre, suivi de celui de sa mère.
Le père ne sachant que faire de cette horreur empoigna le bébé en disant qu'il allait le noyer dans la rivière, personne ne prostesta, le médecin n'aurait qu'a dire qu'il était mort né.
Le père sortit dans la froideur de l'hiver afin d'accomplir sa funeste tâche, il se dirigea vers la rivière et regarda une dernière fois le monstre avant de le jeter dans la rivière.
«Stop!!!» Hurla une voix surgit de nul part, le père retint son geste et fit face au jeune moine récament arriver a la ville.
«Cette chose est le démon en personne mon frère, elle ne doit pas vivre» Expliqua le père.
«Cette chose est une créature de dieux comme vous et moi, ce serait un crime odieux que de la jeter dans la rivière, je vous en prie, épargner la vie de cet enfant, regarder autour de vous, dieu vous regarde!»
Le père remarqua alors qu'il était devant l'église de style gothique de la ville et constata avec fureur le regard des statues divines braquer sur lui, comme dans un regard désaprobateur.
«Que doit-je faire?»
«Garder cet enfant et l'éveler comme n'importe qu'elle autre enfant»
«Non je ne peut, je ne peut pas garder ce monstre ou l'éveler»
«Alors laisser le au pensionnat, ce serait contre la loi s'il le refusait, c'est toujours mieux que de le tuer»
«Oui d'accord, je vait l'abandonner, nous n'entendront plus jamais parler de lui»
Le père marcha jusqu'au pensionnat, cogna a la porte, laissa le bébé sur le pallier et disparut dans la nuit.
La femme qui vint répondre un eut un cri d'effroi en voyant la creature, mais elle était orpheline, ce fut avec dégoût qu'elle prit la chose et rentra a l'orphelinat, il n'avait plus qu'a esperer qu'elle soit le plus rapidement possible adopter par un autre couple de monstre.
L'enfant se vit donner le prénom de Maïwenn et dans sa fiche la directrice écrit «Mutante».
