Harry Potter refait sa septième année avec tout les gens de son âge qui étaient à Poudlard. Voldemort n'est plus, annéantit par Harry. Les relations inter-maisons se sont arrangées, en un soutient pour toutes les victimes de la guerre. Les élèves s'en remettent petit à petit, les fêtes de noël sont passés dans la nostalgie et la tristesse. On est au mois de Janvier, et alors qu'Harry est installé dans sa salle commune avec ses amis, un hibou grand duc vint lui apporter une lettre. Il sait à qui il appartient alors, d'un air interrogateur, il se dépêche d'ouvrir la lettre qu'il crut d'abord voir vierge. Une belle écriture penchée apparait lorsqu'il l'ouvre.
Cher Harry,
Oui, Harry, et non Potter. Tu dois te demander pourquoi je t'écris, et surtout de cette manière. Ce n'est ni pour t'insulter, ni pour te faire des menaces. Tu vois bien, j'ai arrêté cela. Mais alors, pourquoi t'écrirais-je? (Surtout que je m'embrouille). C'est à cause de mes sentiments. La douce passion chaude de l'amour se prend dans mon ventre. Quand je te vois dans les couloirs, je me souviens de nuits où mes pensées étaient sans dessus dessous. À cause de mes sentiments. Alors, tu dois te demander pourquoi toi, pourquoi maintenant. Cela doit bien faire un moment que mes sentiments sont là, mais je ne me les suis avoué que depuis peu. C'est sur cette table un peu spéciale, à la matière quelconque, qui n'a jamais servit à écrit de lettre avant ça que je t'avoue tout à toi. Je ferais sûrement de cette table un autel pour Merlin, signe de l'amour dévorant, de la passion ardente. Tu ne ressens sûrement que la froide tranquilité, la simplicité de l'âme, le supplice de la mort des sentiments... Pourquoi ressentirais-tu cela, dis-tu toi. Parce que aucune passion ardante ne te dévores de l'interieur, vient emmêler tes sens et monopolyser tes gestes. Il se fait tard à l'heure où j'écris cette lettre et sûrement serais-je obligé de m'interrompre avant de la finir. Donc... Tu dois te demander comment puis-je ressentir cela? On ne peut pas expliquer cette chaleure. Je ressens juste des sentiments exceptionnels. J'aimerais que tu ressentes pareil...
Je reviens à toi, mon brun. Venant t'expliquer un peu plus mes sentiments. Je jouis d'amour, dans le désordre qu'est mon esprit. Peut-être devrais-je arrêter le carnage qu'est cette lettre? C'est ce que je vais faire. Donc je te laisse dans la pâle vie qu'est l'absence de sentiments, et je me laisse dans les feux ardents du lit de l'amour.
En espérant recevoir ton amour en retour,
D.M.
