Salut tout le monde ! Me voici de retour pour une fiction qui elle comportera un début et une fin vous trouvez pas ça merveilleux ?
Plus sérieusement, cette fiction représente beaucoup pour moi parce que c'est la première fois que :
-Je travaille sur autant de personnages à la fois.
-J'écris à partir d'un point de vue externe. (Oh et en passant dîtes moi vous preferiez que j'écrive en pov externe ou interne ?)
-Et aussi pour un troisième point sur lequel je m'exprimerai le moment venu, mais en attendant je garde le suspense ^^
En ce qui concerne le rythme des parutions vous commencez à connaitre la chanson, mais je tâcherai dorénavant d'écrire entre 2000 et 3000 mots sur chaque chapitre, ils arriveront donc plus tard que d'habitude ^^
Pour cette fiction, je me suis pas mal inspirée de films et de bouquins policiers dont les Agatha Christie mais je tiens à prévenir d'avance que cette fiction ne serait pas une fiction policière.
Je pense avoir dit tout ce qui avait été à dire, j'espère sincèrement que ça vous plaira et j'vous dis bonne lecture !
Ally.
01: Sept vies entremêlées.
Appuyée sur le bord de la fenêtre Nami Kinjishi, jeune mariée, dégustait de fraîches mandarines tout en arpentant les pages d'un journal national avec préoccupation. Cela faisait exactement 1 mois jour pour jour, qu'avait eu une série d'attentats dans la ville voisine. Plus d'une centaine de morts, sans parler des blessés ainsi que des dommages matériels. Par chance, elle n'avait pas été touchée de près ou de loin par cette tragédie, mais cela n'en restait pas moins désolant. Combien de vies brisées ? Combien de familles marquées à tout jamais ? Néanmoins, ces événements étaient l'affirmation même que la mort pouvait accoster à n'importe quel moment, et surtout lorsqu'on s'y attendait le moins.
Elle devait se ressaisir, le mal n'était pas partout voyons. Elle devait calmer ses angoisses et profiter, après tout ce n'est pas tout les jours qu'on gagne une semaine de rêve dans une île exotique tout frais payé !
Elle posa son journal et regarda par la fenêtre : La vue était incontestablement magnifique. Le ciel était dégagé, la mer brillait d'un bleu cristallin et la météo prévoyait du soleil malgré le fait qu'ils étaient déjà en Novembre: une belle journée était en perspective !
Mentalement, elle ressassa tout ce qui avait été dit sur l'île de la Désolation, sa prochaine destination, nom relativement lugubre certes. De nombreux ragots circulaient à propos de cette île. Certains disaient qu'elle servait de camp de concentration nazi lors de la 2eme guerre mondiale et qu'elle avait mystérieusement disparu on ne sait comment du centre de la terre pendant des décennies avant de réapparaître inexplicablement, d'autres qu'elle avait été le théâtre de nombreuses messes sataniques qui impliquaient par ailleurs le sacrifice de jeunes vierges ainsi que la consommation de fœtus humains. La jeune femme n'avait jamais cru à ces balivernes, ce n'était bien évidemment que des histoires à dormir debout.
Elle chassa ces pensées douteuses, et se mit à planifier ses activités une fois sur île. Elle avait déjà une image en tête de l'endroit ou elle allait loger, surement un beau manoir moderne rénové depuis peu, des domestiques tout à sa disposition –ainsi que celle des autres occupants- et une plage à en faire rêver plus d'un parait-il ! Elle passerait son temps à bronzer tranquillement sous le soleil tropical en sirotant un savoureux cocktail à base de noix de coco tandis que le doux son des vagues la bercerait et qui sait cette fois pourra-t-elle faire la rencontre d'un jeune homme qui lui ferait tourner la tête ? Manifestement, ce voyage risquait d'être inoubliable.
Son téléphone sonna, assurément son mari était déterminé à ne pas la lâcher. "Vivement que ce vieux croulant aille déguster les pissenlits par la racine, ça me fera des vacances" grommela-t-elle entre deux injures avant de raccrocher l'appareil..
Au restaurant du Yacht, Eustass Kid était affalé sur une chaise tout en observant une jeune femme installée quelques tables plus loin d'un air dépité. Elle semblait consommer toutes sortes de plats à une vitesse hallucinante, rectification elle dévorait toutes sortes de plats à une vitesse hallucinante, une vraie morfale. Il prit le temps de la détailler de haut en bas.
Ses cheveux étaient teints d'un rose délavé tandis que sa racine noire s'était déjà mise à pousser, elle aurait probablement du se rendre chez le coiffeur depuis un bon bout de temps, mais faute de temps –ou de moyen- Elle n'y était pas allé. Le noir sous ses yeux avait coulé et avait ainsi accentué ses cernes déjà présentes, son chandail était dépareillé et son short plus court que jamais sans pour autant oublier le fait qu'elle était entrain d'engloutir son repas avec aussi peu de tenue ne faisait que déformer encore plus ses traits et par ailleurs faire ressortir sa minable apparence.
Elle était peut-être infirmière, ou serveuse dans un bar ça lui irait plutôt bien tient ! Or, lorsqu'il avait croisé son regard pour la première fois, il avait trouvé qu'elle avait un charme inconnu. Elle n'était pas belle non, c'était trop d'honneur. Peut-être que c'était son regard un peu trop téméraire ou ses lèvres un peu trop pulpeuses mais elle semblait avoir un de ces charme animal, de ceux qui transpiraient la sauvagerie et l'ardeur de la passion. Il aurait bien voulu l'aborder, apprendre à la connaitre, et peut-être coucher avec elle une fois arrivé sur l'île aussi mais il était évident que ce n'était pas le bon moment, enfin pas encore.
Dans quoi s'était-il embarqué ? Cela semblait être trop beau pour être vrai. Et dire qu'à la base il était parti se soûler jusqu'au coma éthylique dans un bar perdu, juste pour oublier sa haine et sa peine. Oui il s'était un peu trop énervé contre un putain de suspect et oui il avait eu recoure à ses poings cet enfoiré l'avait bien mérité, mais Kid lui, il ne méritait pas d'être foutu à la porte pour si peu, après tout ce n'était que quelques bleus et un peu de sang, trois fois rien en sommes. Ils lui avaient même pris son badge et son arme de service ils avaient peur de quoi ? Qu'il déglingue le premier venu ? Il fallait croire que finalement ce n'était pas son jour.
Après s'être enfilé toutes sortes d'alcool –et accessoirement vidé son porte monnaie- Il avait décidé de jouer au Loto pour voir jusqu'où pouvait aller sa malchance, qui sait il aurait peut-être à payer une taxe à cause de telle ou telle connerie ou que ses clefs de voiture disparaissent malencontreusement qu'en savait-il ? Au moment où il s'y attendait le moins, pendant qu'il jurait avec un camarade de misère, la présentatrice de la télé crasseuse en face s'était mise à énoncer les numéros un par un, il n'y revenait toujours pas. Il avait gagné le Jackpot : une semaine dans une île de rêve ainsi que l'équivalent de 1000 Dollars offert. ça ne pouvait pas être vrai. Et si pour une fois dans sa misérable vie il était chanceux ? Et si un dieu, une déesse, une énergie vital, un esprit, un saint, peu importait son nom avait décidé d'être de lui accorder ses bonnes grâces cette fois-ci ?
Trafalgar Law sorti de la salle réservée au personnel du bateau tout en remontant sa braguette un sourire en coin. Derrière lui, se trouvait une jeune employée qui réajustait difficilement sa tenue tout en tentant désespérément de calmer ses rougeurs, il n'y était pas allé de main morte. La demoiselle tenta de bafouiller quelque chose d'inaudible mais il la coupa dans son élan d'un regard sec. Elle sembla tout d'abord surprise, mais au fur et à mesure qu'il s'éloignait elle comprenait. Elle n'était qu'un coup pour lui comme tant d'autres, tout ce qu'il voulait c'était se vider en elle, c'était évident depuis le début. Elle retourna travailler les larmes aux yeux. Law lui, semblait ennuyé. Qu'est ce qui lui avait pris d'aller à ce satané voyage? Il aurait très bien pu offrir ce billet à un de ses amis ou de ses confrères mais non il avait fallu que ça tombe pile le jour de sa semaine de congé et que Sachi et les autres le forcent à y aller au nom de la solidarité masculine. D'après eux il aurait fallu qu'il sorte voir le monde, qu'il devait commencer à avoir une vie sociale et toutes ses conneries là. Foutaises.
Pendant les jours de semaines, Trafalgar Law était reconnu de tous pour être un des chirurgiens les plus réputés de la région, ses journées étaient constamment chargées, il aurait fallu mettre des mains et des pieds pour avoir ne serait-ce qu'une consultation avec lui. Bien évidemment, son succès n'était pas survenu seul, il avait grimpé les échelons avec acharnement et persévérance transformant toute réflexion infructueuse en durs labeurs, et aujourd'hui il récoltait le fruit de ses efforts. Aux yeux de tous, Trafalgar D Water Law était un homme exemplaire malgré un caractère quelque peu lunatique. Or ce qu'ils percevaient la n'était que la partie cachée de l'iceberg.
Une fois le weekend venu, le masque du chirurgien irréprochable tombait et un tout nouvel homme renaissait : Il avait l'habitude de se rendre dans un de ces clubs échangistes ou le champagne coule à flot et ou les fouets sont à l'honneur. Il était tantôt dominant, tantôt soumis, Il n'arrivait pas à décider de ce qu'il préférait entre avoir mal et faire du mal. Pour sur, si on l'avait appris, ça réputation aurait été ruinée mais il fallait savoir que dans ces clubs là, la clientèle était strictement triée, et assez distinguée aussi : il lui arrivait souvent de croiser des patrons de grandes entreprises, des sportifs, des top-modèles et même des hommes politiques ! Certaines soirées, il pouvait débourser jusqu'à des centaines d'euros. Ah bon sang, maintenant qu'il était loin de tout ça, il réalisait à quel point il était dépendant de ces bonnes vielles soirées libertines. Et Monet, Ah Monet ! Dieu seul sait à quel point elle lui manquait, elle était sa préférée de tous, la seule qui le faisait jouir sous les coups et les injures et il n'avait même pas besoin de la prendre pour cela ! Il aimait le sexe, c'était un fait. Il avait surement essayé toutes les positions et les orientations les plus saugrenus, excepté avec les animaux, ils étaient d'un répugnant exécrable. Il était allé voir des escortes chez qui on pouvait payer jusqu'à une centaine d'euros l'heure, des prostituées bon marché, il avait couché avec des patientes d'innombrables fois et il s'était même fait un mineur une fois, bon d'accord il n'était peut-être pas totalement consentant mais ce n'était pas si grave que ça non ? Ah le bon vieux temps, maintenant, il était coincé dans un coin perdu pour toute une semaine à regarder les pigeons voler et le soleil briller. Qu'est ce qu'il avait bien pu passer dans sa tête pour accepter une telle connerie ?
Tandis que la douce brise de l'après midi le caressait tendrement, Marco Newgate rêvassait paisiblement sur le pont du bateau. Ayant hérité de l'immense fortune de son défunt père Edward Newgate, il était désormais le PDG d'une des plus grandes industries du moment. Il n'avait pas fait de grandes études, s'étant limité aux communes années secondaires obligatoires. Maintenant qu'il y pensait, il réalisait qu'il n'avait jamais réellement travaillé de sa vie, il n'était pas fourbe et encore moins sournois mais toute la fortune qui gisait autour de lui était uniquement du à un ensemble de coïncidence complétés aux efforts de son père bien entendu, lui n'en avait contribué en rien. Se connaissant, dans une vie antérieur sans sa fortune il aurait très bien pu devenir charbonnier ou éboueur qui sait ou peut-être même pirate on sait jamais. Il appréciait la douceur de la mer, les tendres chants des goélands, la brise faisant voler délicatement ses cheveux au vent mais ce qu'il appréciait par-dessus tout c'était cette irrésistible sensation de liberté, n'avoir ni chaîne ni attache pour l'entraver une sorte de paix antérieur si on voulait. Il n'avait même pas besoin d'employer plus de mots pour exprimer ce qu'il éprouvait parce que de toute façon même ceux qui ne comprenaient rien à ses mots savaient ce que cela voulait dire, ce genre de choses se ressentait. Sur cette dernière pensée, Marco s'endormit le sourire aux lèvres.
«- Mais monsieur il est formellement interdit de consommer de tels substances ici!»
Oh que si il pouvait. Le ticket de Loto n'avait mentionné nulle part qu'il était interdit de se rouler des joints à ce qu'il sache ! Alors ce n'était pas une petite pisseuse* qui allait lui dicter ces faits et gestes à lui Donquichotte Doflamingo voyons !
« -Excusez-moi monsieur mais je vais devoir en informer mon supérieur pour pouvoir prendre des mesure adéquates ! »
Bon dieu, quand est-ce que la pisseuse se décidera à arrêter de brailler ? Oh et puis merde alors. Il sortit quelques billets de 100 et les lui balança à la figure accompagné d'un vaste signe de main, la demoiselle rougit, balbutia quelques conneries, déroba les billets et s'en alla l'air de rien, oust et bon débarra ! On a rien sans rien, c'est comme ça que ça marche dans ce monde. Derrière cet égocentrique défoncé se cachait-il un homme désillusionné avant l'âge ? Probablement. Donquichotte Doflamingo avait assisté dès son plus jeune âge à l'effondrement de ce qu'avait construit son père. Sa famille avait supportés le reniement de ceux qu'ils aimaient définir jadis leurs amis et les humiliations de ceux qui naguère s'agenouillaient à leurs pieds, ils avaient connus la peur le froid et la faim. Mais Doffy lui, avait appris une toute autre chose : la jalousie. Pourquoi avait-il fallu qu'il naisse dans une famille aussi minable ? Qu'avait-il de moins que tous ces gosses de bourges pleins aux aces ? Des fois, ses parents allaient jusqu'à faire la manche et les poubelles pour les nourrir, quelles honte ! Tout ça était la faute de son incapable père mais personne n'avait les couilles de le lui reprocher c'en était ridicule ! Qu'il crève ! Qu'ils crèvent tous autant qu'ils sont ! Un jour, oui un jour quand il sera grand et doué il se vengera. Il leur fera regretter à tous de l'avoir méprisé, ils viendront lui bouffer dans la main comme de vulgaires pigeons et là il leurs brisera tendrement la nuque à ses misérables déchets.
Et comme il l'avait prédit, le grand jour advint. Il avait petit à petit bâtît son empire.
A sa majorité, il se rendit à la capitale et s'était serré la ceinture pendant plusieurs mois en dealant à droite et à gauche tout en amassant un nombre considérable de contacts dans le monde de la drogue. Au bout d'un an, il avait réussi à se faire un nom dans le milieu, mais cela ne suffisait pas il fallait plus, beaucoup plus. Il avait donc rassemblé un groupe de personnes dévouées et efficaces, et décidé que leurs base secrète se situerait au sous-sol d'une usine désaffectée, c'est là que son ascension au succès et à la réussite à débuté : De nouveaux trafiquants se joignait à eux, il achetait de plus en plus de terrain pour les revendre sans parler de sa renommé et de ses revenus qui eux, grimpait en flèche. A partir de rien il s'est hissé au sommet. Il avait réussi.
Donquichotte Doflamingo rejeta la fumée avec amertume et se leva.
Même si elle n'en avait pas l'air, Jewelery Bonney était amatrice de bonne lecture. Quoi qu'elle avait une légère préférence pour la littérature française Hugo, Camus, Voltaire, Proust. Elle avait grandit avec ses bouquins là, pour sur avec la rengaine qu'elle se trimbalait n'importe qui aurait cru à une blague de mauvais gout mais elle les adorait, c'était même devenue une partie intégrale d'elle-même, un peu comme le pied gauche ou l'oreille droite vous comprenez ? Bon, je ne vous cacherai pas que si elle avait eu à choisir entre sa gourmandise et son amour des livres elle aurait sans hésité sa gourmandise. Bonney n'était pas très riche, il lui arrivait de dormir sous les ponts et avait à peine de quoi se nourrir. Ou peut-être qu'elle gaspillait tout son argent dans la nourriture, tout dépendait du point de vue ou on se plaçait. C'était une fille désintéressée au fond. Elle n'aimait pas les hommes, ni les femmes d'ailleurs. Ça lui arrivait de temps à autre d'assouvir certaines pulsions le temps d'une soirée, on lui avait dit des « je t'aime » et des « t'es bonne » mais ça ne lui avait jamais fait d'effets. Elle n'avait jamais connu le grand amour, elle n'avait jamais connu grand-chose d'ailleurs. Elle ne savait même pas ce qu'elle faisait dans ce bateau à la con à jouer les faux-semblants. Bonney c'était le genre de nana qui se mourrait de jour en jour et ce, sans s'en rendre compte.
« - Il est probablement entrain de faire un arrêt cardiaque mon dieu !
- Dites, vous croyez qu'il est mort ?
-Ne dites pas de bêtises bande d'abrutis et appelez un médecin au plus vite !»
Du bruit, trop de bruit, beaucoup trop de bruit. N'allaient-ils pas se décider à la fermer un jour ?
« -On ne pourrait pas pioncer tranquille dans ce foutu bateau ? »
Ce fut ainsi que Portgas D Ace fit son entrée en scène ma foi fracassante, les hôtesses autour de lui étaient ébahies, le capitaine du bateau lui semblait apaisé, il fallait croire qu'aujourd'hui personne n'allait claquer dans son packbot de friqués, juste à côté se trouvait un homme avec des lunettes bizarre qui lui semblait lancer les paris et enfin l'homme qui lui tenait son pouls le regardait comme s'il voyait ce genre d'événement tout les jours, 200 dollars que c'était lui le toubib hein ? Il avait une belle gueule d'emmerdeur comme il ne les supportait pas tss oh et voilà qu'il ouvrait ça gueule maintenant.
« - Narcoleptique je présume ?
-Ace. Portgas D Ace. Tout le plaisir est pour moi »
L'homme le regarda comme s'il avait été le plus grand abrutit de l'histoire de la terre, mais voyons c'est lui qui était débile à en oublier les bonnes manières ! Il alla lui répondre quand le capitaine du bateau les interrompu.
Comme il s'était endormi Ace n'eu pas l'occasion d'apercevoir l'île de loin mais il pouvait la voir de près, de très près d'ailleurs. L'eau était tellement transparente qu'on pouvait voir les poissons nager, le sable était frémissant, et au troisième plan il voyait des cocotiers et un début de forêt accompagné de quelques pigeons qui faisait la bronzette : Cette île était magnifique.
« Jeunes gens c'est ici que cette croisière prend fin. Nous reviendrons vous chercher dans une semaine, en attendant portez-vous bien. »
*: Me demandez pas le pourquoi du comment mais je vois trèès bien Doflamingo insulter les gamines de cette façon, mais j'avoue que j'en ai eu un fou rire !
