Disclaimer: les personnages ne m'appartiennent pas

Note: Hey! Voici une nouvelle fic que je viens de commencer...Que je m'explique: depuis un moment, j'avais cette idée en tête, mais je ne savais pas si je devais concrétiser mon idée....Et Shakira m'a sauvé du doute 3 Je n'avais aucune idée du titre que je pouvais donner à cette FF, mais en entendant She Wolf de Shakira, j'ai trouvé le nom tout à fait approprié!

Dans cette FF, je vais utiliser les personnages principaux de l'univers Twilight, mais le contexte et l'histoire change...Les Quileutes néanmoins seront bien des loup-garous et les Cullen des vampires, contrairement à Loss and Departure.

Je me suis jetée dans mon idée sans savoir précisement ou tout ca va pouvoir me mener, et je suis incapable de prédire la longueur de cette histoire...XD

Sur ce, bonne lecture =)


Dans un océan de verdure qu'était l'immense forêt de Forks, la vie semblait comme coupée du monde extérieur. Personne ne visitait plus ces bois abandonnés depuis maintenant plus de 16 ans, et les rares personnes à s'y être encore aventurées avaient mis des jours à revenir, égarées dans l'immensité qu'était Bleak Wood. Ce nom sinistre avait été donné à la forêt environnante peu de temps après qu'un événement tragique s'y soit produit, affectant tout le petit village qu'était Forks ....

~oOo~

Bella s'éclipsa longtemps avant le réveil de ses amis, bien avant que les premiers rayons du soleil ne baignent leurs petit village perdu dans la forêt de sa chaude lumière, leur laissant un mot sur la table de bois de la cuisine. Sur la pointe des pieds – les Quileutes avaient l'ouïe plus fine que n'importe quelle autre créature de la forêt – elle se glissa à l'extérieur et s'éloigna aussi rapidement que lui permettait sa lenteur humaine, laissant derrière elle Green Glade et ses constructions de bois.

Elle avait décidé de s'éloigner de la vie qu'elle menait quotidiennement aux côtés des Quileutes pour passer deux ou trois journées un peu plus loin, seule. Depuis plusieurs semaines, une nouvelle envie lui était venue. Plus qu'une envie, c'était même devenue une obsession. Elle avait donc résolu d'aller explorer la forêt d'elle-même, loin, beaucoup plus loin qu'elle ne le faisait habituellement avec la meute, poussée par un drôle d'instinct qu'elle ne pouvait ignorer et qui la troublait de plus en plus.

Marchant à un rythme régulier, elle constata néanmoins rapidement que sans chevaucher l'un des gigantesques loups, sa progression était largement entravée. Elle regretta une fois de plus de ne pas posséder cette agilité gracieuse et surhumaine qu'avaient presque tous ses amis, ne cessant de trébucher contre les immenses racines et les troncs morts gisant sans vie au sol. Elle s'en irritait d'autant plus qu'elle était d'une maladresse assez affligeante qui était régulièrement au centre des blagues que faisaient ses amis Quileutes. Ils n'étaient jamais méchants, mais cela l'agaçait toujours un peu: cela accentuait seulement un peu plus son sentiment de différence au sein de la communauté.

Ce n'était un secret pour personne, Bella différait du reste de la tribu Quileute, et très vite, ces derniers avaient en effet dû expliquer qu'elle ne venait pas de leurs tribu. Elle avait été abandonnée alors qu'elle n'était qu'un bébé d'environ un an, et un tout jeune louveteau l'avait alors trouvé, seule, perdue au milieu d'un tapis de mousse, avant de la ramener au sein de sa meute. Meute qui l'avait rapidement adopté et aimé comme leur propre fille. Depuis, peut-être parce qu'il lui avait sauvé la vie, Bella adorait Jacob qui était devenu son meilleur ami.

Au côté du jeune Quileute et de la tribu, elle menait une vie des plus normales que rien ne venait troubler, mais ces derniers temps, beaucoup de questions remontaient à la surface à travers ses rêves. Les Quileutes ne savaient pas d'où elle pouvait venir car ils lui avaient expliqué qu'au delà de la forêt, rien n'existait. Il n'y avait donc que les bois et les animaux les peuplant.

Bella ne remettait pas cette théorie en cause, mais de nouveaux cauchemars la hantait depuis quelques temps, l'attirant en dehors de la zone qu'elle connaissait, et elle devait absolument de voir de quoi il s'agissait. Elle rêvait souvent qu'elle marchait dans les bois sur des chemins inconnus à sa mémoire, attirée par de lointaines, très lointaines silhouettes floues se mouvant près d'une lumière vive et éblouissante qu'elle n'arrivait pas à identifier. Elle n'avait jamais vu de lumière si vive car sous le couvert des arbres, la lumière était toujours atténuée et prenait une douce teinte verte mordorée.

Elle avait bien essayé de parler de ses rêves aux anciens, sachant que ces derniers attachaient habituellement beaucoup d'importance à la signification des rêves et des traditions. Mais ils s'étaient pourtant contentés d'afficher un air neutre en haussant légèrement les épaules, lui disant de ne pas s'inquiéter, qu'il s'agissait sûrement d'une mauvaise période. Ils lui avaient préparé quelques herbes qu'ils avaient savamment mélangé à d'autres éléments afin de lui concocter un médicament supposé l'aider à retrouver le sommeil, mais rien n'y avait fait. Et elle avait finalement décidé de chercher d'elle-même ce que cela pouvait bien signifier.

Elle marcha toute la journée, s'éloignant toujours plus de sa tribu, s'enfonçant entre les grands arbres centenaires de la forêt malgré les nombreuses fois où elle buta et se rattrapa de justesse aux branches basses. Elle finit par sortir des chemins et lieux si souvent arpentés en compagnie de ses amis, et atteignit une partie inconnue de la forêt.

Sous le dôme de la protection des arbres immenses, la lumière diffusée semblait plus sombre que les zones qu'elle connaissait elle ne put retenir un frisson. Son imagination commença à dessiner des silhouettes menaçantes tapies dans l'ombre et elle s'exhorta à continuer sans y penser. Après tout, les loups étaient les seuls prédateurs inquiétants de cette forêt et elle ne craignait rien d'eux puisqu'elle était l'une des leurs. Son sentiment de confusion l'irrita: elle avait passé toute sa vie entourée d'arbres, que craignait-elle?

La fraîcheur agréable qui régnait dans la forêt se transforma soudain en un froid de plus en plus pénétrant, et Bella regretta de ne pas avoir pensé à prendre un vêtement plus chaud. L'idée que la température puisse l'atteindre ne l'avait pas vraiment effleuré puisque la chaleur si réconfortante que dégageait sa famille tenait toujours l'air glaciale des nuits à bonne distance. Elle se maudit de sa maladresse et alors qu'elle allait s'asseoir pour se reposer quelques instants, elle entendit des bruits qui l'inquiétèrent à nouveau. Elle décida de se remettre en route sans attendre, cueillant sur son passage quelques baies et fruits dont elle se nourrissait.

Que cherchait-elle au juste? Les limites de cette mer d'arbres? Des indices qui lui montreraient que peut-être, il existait des gens comme elle, qui ne se transformaient pas en loups à volonté?

Elle s'abîma dans ses réflexions sans plus prêter attention à ce qui l'entourait, marchant au hasard, luttant contre le froid qui la tenaillait.

Elle continua ainsi toute la nuit durant en perdant la notion du temps, et épuisée contre son combat permanent contre l'air réfrigérant, les ombres, sa peur et ses doutes, elle était sur le point de se laisser tomber au sol lorsque soudain, elle crut percevoir un éclat.

La lumière qu'elle crut percevoir l'intrigua et lui redonna un peu d'énergie, suffisamment pour qu'elle lutte encore un peu contre sa fatigue et avance vers cette source d'espoir.

Une barrière de fougères se dressait devant elle et de ses mains, elle les écarta afin de pouvoir progresser. Elle se débattit pendant de longues minutes puis quand elle eu passé le tapis de fougères, elle s'arrêta, émerveillée par la vision paradisiaque qui s'offrait à elle.

Devant elle se tenait une petite clairière circulaire, tapissée de petites fleurs violettes, jaunes et blanches. Un mince filet d'eau ruisselait en cascade d'une paroi rocheuse avant de rejoindre un petit ruisseau et l'herbe étincelait d'un éclat singulier sous la lumière dorée qui éclairait les lieux.

Impressionnée, et intimidée par la beauté de cet endroit, elle s'avança lentement dans la petite clairière, abandonnant l'ombre se trouvant derrière elle. Elle réalisa soudain qu'elle avait soif et elle se dirigea vers le petit point d'eau sous lequel elle mit ses mains en coupe afin de recevoir un peu du précieux liquide. L'eau était cristalline et pure, et Bella se sentit légèrement rassérénée une fois sa soif épanchée. Elle en profita pour se laver et l'eau fraîche roulant sur sa peau la fit frissonner de bonheur. Elle alla ensuite au centre de la clairière, s'y tint un long moment debout, présentant son visage au soleil avant de se rouler en boule sur le sol et de s'endormir en quelques minutes....Son épuisement avait finalement eut raison d'elle et l'air tiède réchauffa son corps engourdit par le froid, la plongeant dans un profond sommeil....

~oOo~

Edward's point of view

Aujourd'hui, tout m'agaçait. Pour une raison ou pour une autre, je n'avais pas l'esprit tranquille et restais en permanence sur le qui-vive. Je n'avais pourtant rien à craindre, moi, le prédateur le plus redoutable du monde.

Je tournais en rond dans la maison, sortant de ma chambre, me dirigeant vers celle de ma soeur, faisant demi-tour, descendant finalement au salon où se trouvaient ma mère et mes frères.

En entrant dans la pièce, ma mère adoptive, Esmée, releva son regard aimant sur moi et m'enveloppa de son amour afin de me réconforter, sachant très bien que je n'étais pas dans mon état normal. Emmett rigola en me voyant ainsi perturbé et lança:

« Tu gigotes comme un humain Edward, tu me donnes le tournis!

J'émis un léger feulement pour marquer son mécontentement, mais alors que je m'apprêtais à envoyer une réponse cinglante à mon frère, une onde de paix toucha ma conscience. Je grondai, menaçant:

-Je n'ai pas besoin d'aide Japser!

-Tu parles, le railla Emmett dans un sourire moqueur.

-Emmett, Jasper, laissez-le tranquille », intervint Esmée en réprimandant doucement ses deux autres fils, mes frères. Elle s'abstint de tout autre commentaire, ayant sentit que rien de ce qu'elle ne dirait ou ferait ne pourrait m'aider et avait décidé de me le laisser me calmer de moi-même. Malgré mon irritation, je lui en fus reconnaissant.

Excédé, je remontai dans ma chambre avant de lancer un de mes nombreux disques dans ma platine, me jetant contre le sofa de cuir. Je restai immobile et crispé quelques secondes avant de décider de partir chasser, désespéré.

Aujourd'hui, tout semblait me peser. Cette comédie que ma famille et moi jouions depuis plusieurs dizaines d'années, ma solitude, la lenteur des humains, le comportement de mes pairs, ma condition d'immortel....Tout.

J'ouvris la baie vitrée de la pièce et immédiatement, l'air frais et humide qui caractérisait Forks me fit du bien. Je respirai profondément avant de sauter d'un bond souple et de courir en direction de la forêt. J'avais à présent une vague idée de ce que j'allais faire: chasser quelques cerfs ou lions des montagnes si j'en trouvais, puis je me rendrai ensuite dans l'un des seuls endroits inconnus de ma famille...

Rapidement, je repérai de quoi me nourrir et abattis un grand cerf qui ne me résista pas longtemps. Mais après tout, qui le pouvait?

Délaissant l'animal à d'autres prédateurs qui ne manqueraient pas de venir se nourrir eux aussi, je me mis à courir à une allure régulière, qui aurait parut impossible pour un humain. Nos capacités étaient évidemment sur-développées et la vitesse était notamment l'un de nos traits communs. Je possédais néanmoins un don dont très peu d'entre nous disposait: je lisais dans les pensées. Même en n'étant pas attentif à ce qui m'entourait, des bribes de pensées tournoyaient plus ou moins toujours autour de moi, effleurant mon esprit sensible. C'était probablement la raison pour laquelle j'aimais la forêt et le silence qu'elle m'offrait. Je pouvais retrouver un semblant de paix ne serait-ce que pour quelques heures. C'était toujours ça de pris.

L'endroit où je me rendais était assez éloigné des environs et j'accélérai encore un peu afin de m'y retrouver au plut tôt. Pourtant, alors j'atteignis le lieu désiré, une chose habituelle me pris au dépourvu. Je ralentis et humai l'air environnat: une délicieuse odeur de freezia flottait dans l'air et instinctivement, ma gorge commença à me brûler. Je venais d'assouvir ma soif en tuant ce cerf et ce parfum réussissait à réveiller mes instincts de chasseur? Que se passait-il?

Déstabilisé, je ralentis encore, soudain pris de frayeur. Je devais faire demi-tour tout de suite. Je le devais absolument. Mais je ne fus pas assez fort pour lutter et méfiant, je repris ma course avec une lenteur délibérée. Je craignais de voir à quoi ou à qui appartenait cette odeur qui me prenait à la gorge et faisait couler le venin dans ma bouche. Venin que je ne retenais qu'à force d'une grande expérience et d'un contrôle aigu de moi-même. Malheureusement pour moi, mon instinct, lui ne m'obéissait pas et me poussait en avant.

Sautant soudain au sommet de la paroi rocheuse qui bordait mon secret, j'avais désormais sous les yeux ma clairière....Avec en son centre, une petite silhouette informe roulée en boule.

Le parfum de cet être m'envahissait en permanence sous formes de puissantes vagues qui se heurtaient, implacables, à ma raison et à ma sagesse.

J'observais ce qui était pour moi une proie avec curiosité, constatant qu'il s'agissait d'un être humain. Etrange. Plus aucun homme n'osait s'aventurer dans la forêt, encore moins aussi loin! C'était également la raison pour laquelle nous autres vampires pouvions y chasser sans aucune crainte.

De plus, je ne captais aucune pensée, pas même une bribe. Ma surprise s'accrut et je me demandais quelle en était la raison. Je pouvais toujours lire les pensées des autres! Même dans leur sommeil, les humains rêvaient et même si cela devenait plus flou et vague pour moi, je pouvais entendre en me concentrant. Mais en cet instant présent, j'étais plongé dans un silence inhabituel en présence d'un humain qui m'inquiéta, silence seulement troublé par sa respiration.

Je m'accroupis d'un geste souple et regardais la silhouette respirer à intervalle régulier. Chaque seconde passée à l'observer était douloureuse pour moi, je luttais de tout mon être pour ne pas planter mes crocs dans la chair fraîche de l'humain se trouvant devant moi. Jamais un tel arôme de m'avait fait cet effet, et la peur me tenaillait. Allais-je commettre l'irréparable? Allais-je redevenir le monstre que j'avais été par le passé?

Sans m'en apercevoir, je me tendais en avant et détaillais avec plus d'attention les contours de ce qui serait peut-être ma victime.

Mais d'où j'étais, et malgré ma vue perçante, je ne pouvais pas voir grand chose. L'humain était roulé en boule sur le sol, me cachant ainsi son visage pelotonné contre sa poitrine.

Sans plus réfléchir, je me laissais tomber de l'autre côté de la paroi rocheuse et me retrouvai dans ma clairière, m'approchant dangereusement de la forme. Je commençai à décrire de large cercles autour de la personne, et un détail me frappa: il ne s'agissait pas d'un humain mais d'une humaine, probablement une jeune femme.

La soif m'envahit de nouveau, à laquelle s'ajouta un nouveau sentiment: la colère. Que faisait-elle ici? Elle était sur mon territoire, et nul autre que moi ne devait connaître cet endroit. Je commençais à gronder sourdement, retroussant mes lèvres sur mes dents, menaçant quand brusquement, je me figeai: un long et déchirant hurlement venait de troubler la tranquillité et le silence de la forêt. Ce son me provoqua un long frisson et seul mon instinct me prévint du mouvement de la silhouette jusqu'ici immobile. Avec la rapidité et la souplesse d'un félin, je bondis en arrière, me dissimulant dans les fougères avant de décrire à nouveau un large cercle et de revenir près de la paroi rocheuse d'où coulait la petite source d'eau, ne quittant pas un seul instant des yeux la jeune fille.

Elle venait de se réveiller et s'était légèrement redressée avant de se figer et d'écouter un nouveau hurlement.

Je me doutais de ce dont il s'agissait, de la provenance de ces bruits désagréables, même si je ne comprenais pas comment cela se pouvait, et j'étais à présent certain qu'elle devait être terrifiée. Je ne pouvais néanmoins pas m'aider de ses pensées pour lire en elle puisque je n'entendais toujours rien. La seule chose que je savais était que n'importe quel humain aurait été effrayé avec ses longues plaintes donnant la chair de poule.

Elle semblait bien sur le vif et alarmée, les joues rosies, mais étrangement, la terreur ne se peignait pas sur son visage. Son silence me frustra et je l'observais en plissant les yeux, un instant fasciné par cette étrange humaine: elle était agenouillée au milieu des fleurs, le visage tourné vers les ombres de la forêt, ses longs cheveux bruns ondulant librement dans son dos, sa poitrine se soulevant au rythme régulier de sa poitrine. Elle possédait de grands yeux chocolats et se mordillait la lèvre inférieure, probablement dans un moment de réflexion intense. Elle murmura ce qui aurait été inaudible pour un humain mais qui l'était pour un vampire, et je l'entendis dire: Jacob.

Y avait-il un autre humain dans les parages? J'écarquillai les yeux en la voyant se relever et se diriger vers la source de ces hurlements en courant. Tout humain normalement constitué aurait fui dans la direction opposé comme l'exigeait l'instinct de survie, mais elle se précipitait droit vers ce que je savais être....Les loups.

Ma conscience me tortura un long moment alors que je me demandais ce que je devais faire: la poursuivre et essayer de la sauver au risque de la tuer, ou la laisser se débrouiller seule? Je compris que quel que soit la décision, le choix serait dur, et après être resté un long moment immobile, je sautais sur le rocher avant de m'éloigner aussi rapidement que possible.

Je n'aurais probablement pas d'autre chance de lui résister si je m'approchais encore d'elle pour la sauver, et je savais pertinemment que je pouvais la tuer, la briser aussi facilement qu'un foetus de paille. Je ne voulais pas redevenir un monstre.

Torturé, l'air plus sinistre que jamais, je mis le plus de distance possible entre elle et moi...


Je voulais préciser que dans cette FF, je vais probablement utiliser 2 méthodes de point de vue: celle d'un narrateur omniprésent, et celle plus personnelle de chaque personne. Quand il s'agira d'un point de vue personnel, ce sera précisé, comme dans ce premier chapitre avec Edward =)

Je continue bien sûr en parallèle Loss and Departure ^^

Twilight-drop