Attention à tous (ou l'art de commencer une présentation par des mots qui annoncent l'apocalypse) ! Bon en fait j'voulais juste dire que quand j'étais petite, j'étais fan d'Albator. Et j'adore les sciences quand ça touche au monde de l'Espace 8D Mais en gros, je cherchais un scénario original, j'avais envie que ça ne soit pas du « déjà lu et relu » mais en même temps j'avais envie d'écrire quelque chose avec un peu d'aventure et de romance tout en sortant un peu des sentiers battus (mais pas trop, mais quand même). C'est juste pour vous prévenir O.o' Bon c'est farfelu et tout sort droit de mon cerveau donc si y'a des trucs pas logiques… Ben tant pis, parce que les créateurs d'Albator et de tous les autres mangas, et même J.K Rowling et l'auteur de Twilight, ils se font pas chier à être 100% terre à terre logiques de la mort. Pour l'intrigue, j'ai commencé à écrire à la one again mais les idées viennes d'elles-mêmes. J'préfère improviser 8D Mwaha mwaha mwahaha ! C'est en écrivant qu'on devient écriveron (oui oui). Ah, et j'aimerais bien avoir votre avis dessus, histoire de savoir s'il y a des trucs à modifier ou pas. J'ai tendance à être très peu émotive donc ça peut se ressentir dans l'écriture, même si j'essaie de mettre des sentiments et tout... C'est pareil, en vrai j'suis pas bavarde donc mes dialogues c'est pas génial génial. Mais c'est surtout histoire de m'occuper vu que je n'ai plus internet à ma maison T.T Sachez que j'ai horreur de me relire (ou alors faut que je le fasse une fois que j'ai oublié ce que je voulais dire et ce que j'avais raconté), donc si vous trouvez des fautes je m'en excuse, si c'est mal écrit, tant pis. J'suis pas une pro de toute façons. Mon domaine c'est plus le dessin que l'écriture ! (D'ailleurs, c'est dit sur mon profil et j'ai un blog et tout et un devian-tarte aussi !). Si je tenais tant à poster ce chapitre, c'était aussi pour voir ce que ça donnerait au niveau de la mise en page. Il est possible que l'histoire contienne des analogies (volontaires).

Disclaimer : Les persos sont à Himaruya, but the World is mine.

Couples prévus : … FrUK, NethxSpain (j'aime aussi le Spamano mais c'est pour varier un peu !) et le reste c'est la surprise on va dire… Ah oui, et aussi le Gerita, un classique, on s'en lasse pas hein ? Comme j'apprécie une quantité astronomique de pairings, j'ai dû faire un choix T.T Et j'espère vous faire apprécier le NethxSpain pour ceux qui connaissent pas !

Les persos en général : Ah bah y'en a beaucoup qui vont apparaître si je continue en tout cas. J'veux aussi foutre les Nordic 5 dans l'histoire, pour pimenter un peu 8D parce que j'adore les nordiques ! J'espère que je vais pas faire trop de OC… =w=

Rating : T on va dire. Pour l'instant !

PS avant l'histoire : J'ai un humour minable, et je le sais. Pardonnez-moi ! Ce site est trop compliqué ça m'énerve D8


Les alarmes qui rugissaient ébranlaient tout le vaisseau, des centaines de membres de l'équipage se ruaient à leur poste pour gagner la bataille qui s'annonçait. Déjà, avant même qu'elle ait commencé, ils sentaient qu'elle allait être rude et sans merci. Le vaisseau vainqueur éliminerait son adversaire le plus simplement du monde et récupèrerait les vestiges de l'engin détruit afin de rafistoler les dégâts faits au cours de la bataille. Un nœud au ventre, tous les humains au combat se battraient jusqu'au bout pour défendre leurs vies et celles de leurs camarades, mais aussi pour défendre l'avenir de leur planète. En effet, si de petites rivalités avaient fini par s'effacer entre les vaisseaux de différents pays d'une même planète, c'était parce que justement, les envahisseurs extra-terrestres attaquaient fréquemment afin de se procurer des biens manquants. Et donc, tous les bataillons d'un même monde se serraient les coudes afin de se protéger. Lorsqu'une difficile bataille était en jeu, les conséquences pouvaient être terribles pour les perdants. Alors, c'est en pensant à leurs familles, à leurs camarades, à leur vie et à leur planète entière que tous se livraient une guerre sans merci.

Les deux vaisseaux se visèrent, faisant mouvoir leurs canons l'un vers l'autre. Ça ressemblait un peu aux batailles que se livraient les pirates en mer, mais dans l'espace, au milieu de rien, et avec le handicap de se risquer à heurter un corps céleste. Des faisceaux lumineux jaillirent de parts et d'autres, et se rencontrèrent à mi-chemin, créant une vaste onde de choc qui fit trembler les monstres de métal. De petites navettes décollaient pour aller neutraliser les canons adverses. L'équipage du premier vaisseau trembla de tous ses membres : Ils ne faisaient pas le poids. Ils avaient déjà perdu la bataille mentalement, et ce n'était plus qu'une question de secondes avant que le vent tourne en leur défaveur. Ils allaient être rayés du cosmos, comme des milliers d'autres ont péri avant eux face à leur terrible adversaire : Le vaisseau de la Rose Noire. Ils n'avaient plus qu'à espérer que les leurs restés sur leur planète seraient suffisamment résistants pour ne pas devenir une des nouvelles colonies de l'ennemi.

La Rose Noire manœuvra habilement, visa le poste de commandement ennemi et tira. L'équipage eût simplement le temps de voir la coque fondre et l'espace les aspira, achevant le travail du terrible vaisseau.


- Nous allons prendre le contrôle de la planète Chrysen. Déclara fièrement le Capitaine du vaisseau de la Santa Maria. Ses cheveux étaient bruns avec quelques épis, ses yeux verts brillaient d'une soif ardente de conquête.

- Est-ce vraiment un choix judicieux ? Commenta son bras droit. Contrairement au Capitaine qui avait la peau mâte, lui avait la peau plus pâle, des cheveux blonds et ondulés bien coiffés. Son regard bleu insondable laissait penser qu'il était plus posé que son supérieur.

- Eh bien… A première vue, je dois t'avouer que j'ai hésité à cause de leur faiblesse. Une base établie là-bas aurait du mal à se défendre mais finalement, ils ont des terres fertiles et sont relativement discrets. Ils sont peu combatifs, je crois que nous pourrons nous y installer sans trop de mal et un point de repos dans cette partie de la galaxie serait un atout, non ? Répondit-il.

- Il n'y a pourtant pas de richesses là-bas.

- Justement, ça fait un prétexte de moins pour que des ennemis tentent de s'introduire notre base, si nous nous faisons suffisamment discrets !

Son interlocuteur eût un sourire amusé.

- C'est bien, tu deviens raisonnable avec l'expérience ! Déclara-t-il avec une pointe de moquerie dans la voix.

Le Capitaine allait lui répliquer qu'il n'était plus aussi naïf qu'avant et qu'il n'avait pas besoin de se le faire remarquer lorsque la porte coulissante s'ouvrit, laissant apparaître un albinos tout essoufflé, et visiblement très pressé de parler.

- Antonio… Cracha-t-il d'une voix rauque et gutturale, Antonio…

Il tentait vainement de reprendre son souffle, sous le regard interloqué de ses deux compères qui attendaient la suite de la phrase. L'albinos referma la porte et s'avachit complètement contre cette dernière, avec tout le manque d'élégance dont il eût pu faire preuve à ce moment là.

- Parle, on t'écoute Gilbert… Répondit le blond.

- Feliciano… Feliciano était dans une navette, en mission de reconnaissance avec la patrouille de l'Axis. Et… (il tentait encore de reprendre son souffle) et c'est alors que…

- … Et c'est alors qu'il a croisé la route d'effroyables poulpes à tentacules verts qui conduisaient un bateau de croisière intergalactique au détour de la constellation du Lion ? Compléta le sous Capitaine, le plus sérieusement possible.

- Arrête de raconter des conneries toi ! Et laisse-moi vous annoncer mon incroyable nouvelle !

- Tu viens toujours nous annoncer des trucs bizarres ! Remarqua joyeusement Antonio.

- C'est parce qu'il est lui-même bizarre. Approuva l'autre.

- Mais vos gueules à la fin ! C'est important ! Hurla Gilbert, très agacé par les remarques des deux autres qui le toisaient avec un air amusé. Puis il reprit en fronçant les sourcils : Feliciano aurait rencontré le vaisseau de la Rose Noire et il a envoyé un message de détresse à Ludwig et Kiku. Je crois qu'ils l'ont capturé, ces connards.

- Heee ? Vraiment ? S'étonna Antonio qui ne pouvait masquer une pointe d'inquiétude.

- As-tu une preuve qu'ils ne l'ont pas tout simplement descendu ? Demanda le blond.

- Ne dis pas de choses terribles comme ça, Francis… Lorsque nos navettes sont détruites, on en perd le signal sur le tableau de repérage. Or, le tableau indique que la navette existe toujours, donc il y a une chance pour qu'ils l'aient capturé.

- Euh… Ce n'était quand même pas plus simple pour eux de détruire le vaisseau ? S'ils ne l'ont pas fait c'est qu'il y a certainement une raison non ? Constata-t-il.

- Il leur est peut-être arrivé quelque chose de fâcheux qu'ils ne veulent pas montrer à tout le monde… Comme un accident de leur appareil ? Les radars indiquaient une présence anormale de carburant en liberté dans l'espace, ils pourraient avoir détruit des ennemis et avoir encaissé de sérieux dégâts. Auquel cas ils se font discrets pour ne pas être repérés…

- Sans doute. Bon alors on fait quoi ? On lui porte secours ou il se débrouille tout seul ? S'interrogea Gilbert.

- N'oublie pas de qui tu parles, Gilbert. Fit une voix grave derrière lui.

Le trio sursauta en voyant Kiku refermer la porte et Ludwig qui se tenait raide et droit comme un i devant eux, inébranlable et strict. Pourtant, on lisait également dans ses yeux de l'inquiétude. Derrière lui, Kiku gardait les sourcils froncés mais n'exprimait rien du tout, en bonne personne réservée qui se respecte.

- West ! Brailla joyeusement Gilbert, se jetant littéralement au cou du nouveau venu, qui le repoussa d'un air passablement écoeuré.

- Arrête ça, tu es censé être mon supérieur techniquement, ton comportement n'est pas correct !

- C'est toi qui es incorrect avec moi ! T'es mon petit frère, c'est normal que je veuille te câliner non ?

Ludwig eût une fois de plus l'air gêné, et son visage affichait clairement ses intentions meurtrières vis-à-vis de son aîné, mais il préféra se contenir car ce n'était pas le moment. A l'instant même, derrière eux, Kiku paniquait pour une raison inconnue à cause des élans d'affection de l'albinos, et ça, ça le traumatisait gravement !

- J'ai du mal à croire que tu puisses être à la tête des troupes du vaisseau…

- BWAHAHAHAHA ! C'est parce que je suis atrocement génial et que tout le monde admire mon poussin de l'espace ! Se vanta-t-il, brandissant avec conviction son super poussin, Gilbird premier du nom, qu'il avait appelé ainsi parce que c'était affreusement classe !

- Piii ! Piiiii. (Trad : Et c'est quoi le rapport avec ton grade ? J'vois pas.)

- C'est vrai que Ludwig était hautement plus qualifié pour ce poste que toi. Remarqua le Capitaine.

- Mais on ne pouvait pas le mettre chez les soldats, il est tellement pressé d'aller se battre qu'il se serait fait viander à la première occasion. Renchérit Francis.

- Traîtres ! Dites que je suis nul aussi !

Silence.

- … J'ai compris le message, je vous renie.

- Bon je perds mon temps ici. Marmonna Ludwig, de toute sa hauteur de grand homme baraqué.

- On ne fait rien pour Feliciano ? S'enquit Francis, ignorant les protestations de son ami albinos.

- A quoi bon ? Vous savez bien comment il est : C'est une mauviette pour se battre, mais quand il s'agit de sauver sa peau, il est très doué. Dommage que ce soit la seule chose qu'il sache faire, mais d'un certain côté ce n'est pas plus mal.

- Et s'il ne s'échappe pas ? Questionna Kiku, qui parlait pour la première fois depuis le début de la conversation.

- Bah, ils finiront bien par nous le renvoyer quand ils en auront marre…

Il haussa les épaules et sortit, le petit brun sur ses talons, laissant le trio à ses questions existentielles.


Dans l'un des couloirs du vaisseau de la Rose Noire, deux personnes marchaient d'un pas raide et rapide, lancées dans un débat animé. Ils se dirigeaient vers les cellules de leur abri.

- Tu sais ce qui m'a toujours étonné et énervé avec ce vaisseau d'imbéciles ? Maugréa Arthur Kirkland, capitaine du vaisseau.

- Non, mais j'imagine que vous allez me l'expliquer. Lui répondit son allié d'une voix tout à fait neutre et élégante.

- C'est que ce sont de parfaits crétins, bloody Hell ! Des crétins et le pire, c'est qu'on n'est jamais arrivé à les écraser ces minables. Bon on n'a jamais perdu contre eux non plus, mais c'est rageant qu'avec des idiots pareils aux commandes, un tel vaisseau arrive à acquérir une certaine notoriété. Et ça, ça m'énerve !

L'autre haussa les sourcils, indifférent à la frustration qui animait son Capitaine. Il préféra changer directement de sujet.

- Qu'allons-nous faire du prisonnier ?

Le blond sembla se calmer un peu, ses imposants sourcils avaient cessé de frétiller comme des anguilles sur son front.

- First, on va lui poser des questions. Ensuite, s'il ne répond pas, on le bouscule un peu. Et en cas de non-coopération totale et d'insoumission, on l'élimine. Mais je n'aimerais pas en arriver là trop vite, il peut nous être très utile face au vaisseau de la Chimère…

Il se frotta les mains en ricanant, retrouvant petit à petit une certaine bonne humeur en perspective de ses prévisions de victoire contre ses rivaux de toujours. Ils arrivèrent enfin devant la cellule.

- Roderich, rentre en premier s'il te plait et essaie de le faire parler. Tu es plus doué que moi quand il s'agit de faire parler les autres.

L'interpellé s'inclina légèrement, tout en lâchant un « Très bien. » et il se retourna pour ouvrir la porte et entrer.

La pièce était de forme circulaire, et tout était blanc du sol au plafond. Cela avait des allures d'hôpital psychiatrique, remarqua Roderich. Mais il ne fit aucun commentaire. Le prisonnier lui tournait le dos, il était menotté et pourtant il chantait allègrement une chanson qu'il ne connaissait pas.

- Marukaite chikyuu ! Marukaite chikyuu !

- Hum ! Hum ! Toussa Roderich, pour se faire remarquer.

- Wha ! Hoqueta le prisonnier, de surprise. Et il se retourna brusquement.

Ses cheveux étaient courts, d'un brun-roux, et il avait une boucle qui partait dans une direction étrange. Sous la surprise, ses yeux étaient grand ouverts et dévoilaient deux iris noisette… Qui furent soudain masqué par le tsunami de larmes que le jeune garçon déversait maintenant aux pieds de Roderich.

- S'il vous plaiiiiiit ! Ne me tuez paaaas ! Je ne veux pas mourir ! Je suis trop jeune pour mourir ! Je vous cuisinerai plein de pastas si vous n'avez rien à manger, je suis utile vous voyez ! Oui, je peux cuisiner pour vous, alors épargnez-moi ! Épargnez ma vie parce que je ne vous ferai rien de mal ! Je suis juste un bon garçon un peu idiot qui aime les pastas !

Devant ce flot de paroles, Roderich ne sut d'abord pas vraiment comment réagir. Il ne s'était pas du tout attendu à une tirade humide et paniquée de la part du prisonnier, il s'était plutôt attendu à, comme très souvent, un silence pesant, ou à une flopée d'insultes destinées à le déstabiliser. Ça, il savait gérer. Mais comment aurait-il pu prévoir qu'une réaction aussi simplette pourrait le court-circuiter ?

Il était presque pris de pitié vis-à-vis de la chose qui se lamentait en face de lui, mais il préféra attendre que ce dernier se calme de lui-même. Enfin, au bout de quelques pénibles minutes, le jeune garçon cessa de pleurer et ne baragouinait plus que quelques « pasta » de temps à autre. Roderich s'agenouilla en face de lui.

- C'est fini ?

L'autre sursauta, surpris par le ton calme de son ennemi.

- Vee ?

- Tout d'abord, je voudrais que vous sachiez qu'aucun mal ne vous sera fait si vous coopérez complètement.

- Veeee ?

Roderich soupira, le prisonnier employait un langage inconnu.

- Vous êtes notre otage. Nous savons d'où vous venez, et c'est pour ça qu'on ne vous laissera pas repartir de si tôt !

L'autre continua de le fixer en clignant des yeux bêtement. Roderich se demandait même s'il s'était fait comprendre. C'est alors que la porte de la cellule s'ouvrit brusquement, et Arthur entra, la mine contrariée et le regard mauvais.

- Je suis le capitaine de ce vaisseau.

Il s'avança d'un pas lourd vers son prisonnier qui tressaillit et se recroquevilla devant l'allure impressionnante du blond qui fit claquer sa langue :

- Ton nom.

- F-Feliciano ? Vee ! Ne me faites pas de mal !

- J'ai du mal à croire que l'équipage du vaisseau de la Santa Maria comporte de pareilles mauviettes en son sein.

Il sortit une longue épée de son fourreau et la pointa sous la gorge de Feliciano qui gémit.

- Où se trouve leur vaisseau ? Ils t'ont ordonné de nous chercher ?

- Pas du tout ! Veee ! Je ne savais même pas que vous étiez là, je suis tombé sur vous par hasard ! Je veux rentrer et manger plein de pastas, laissez-moi partir s'il vous plait !

- No way ! Vociféra le capitaine, impitoyable. Puis, devant l'air de plus en plus terrorisé de son frêle prisonnier, il prit une voix plus douce : Je veux dire… Nous te laisserons partir une fois que nous en aurons fini avec toi.

Un sourire mauvais s'esquissa au fond de lui, après tout il comptait bien tenir sa promesse. Mais il avait toujours le choix des conditions qu'il lui imposerait. S'il voulait obtenir quelque chose de cet idiot, il fallait le ménager. Et il savait que Roderich pourrait très bien s'occuper de son cas, c'était un allié de taille. Arthur jeta un œil à la pièce : Il n'y avait aucun objet, les murs étaient blancs et le seul détail qui se détachait un tant soi peu du reste, c'était la porte sécurisée. La plupart de ses prisonniers finissaient rapidement par perdre la tête dans ce genre d'endroits : Aucune notion du temps qui s'écoule, pas le moindre élément qui puisse les distraire… Tous craquaient et finalement, les manipuler s'avérait être un jeu d'enfant. Ce serait sûrement beaucoup plus rapide avec un idiot pareil.

- Vee… Pendant que je serai à bord, vous pourrez quand même me nourrir avec des pastas ? Demanda Feliciano, en toute innocence.

Arthur lui fit un sourire mielleux :

- Bien entendu…

Puis il sortit de la cellule, Roderich sur ses talons. Restait un autre problème : L'équipage d'Antonio avait déjà dû s'apercevoir de la disparition d'un des leurs, la question était de savoir s'ils allaient vouloir sauver ce membre ou pas. Si « oui » en était la réponse, nul doute qu'une bataille pouvait avoir lieu, ou que des intrus pourraient s'introduire sur leur vaisseau qui n'était pas encore tout à fait en état pour un nouvel affrontement. Il faudrait donc se faire très discret, et même essayer de changer de cachette si possible. Il fallait qu'il LE voie d'urgence, afin de lui demander de renforcer la sécurité.


Fin du chapitre.

Mwaaais. Y'a encore du boulot hein ? J'aimerais une petite review quand même ! Et est-ce qu'un quelconque quelqu'un connaîtrait une quelconque manière plus efficace que la mienne pour séparer les parties ? Parce que je poste ça sans même savoir si la séparation va être visible. ¬.¬'

Bref, une review ou tché tché ! û.û HONHONHONHON 8D

en passant, je voudrais juste passer un petit mot à tous les auteurs que j'ai lus et à qui j'ai pas pu laisser de review depuis ce début Octobre, faute d'avoir internet ;_;

A ceux dont les noms apparaissent et à ceux que j'ai oublié de citer (oups ! UxU), félicitations pour vos conneries, et jsuis ravie d'avoir pu vous lire (et j'espère pouvoir continuer à vous lire) :

Anyway I'm dead, Zephy, Celle que personne ne connait mais que tout le monde connait parce qu'elle s'est faite connaître mais qu'on sait toujours pas c'est qui, Dragonna, Saemi67, Prusse (qui fait un boulot énorme en traduction, pis ça m'fait chier de plus pouvoir te raconter des conneries), et je ne sais plus qui encore.

PS : Peut-être que certains d'entre vous me connaissent sous le nom d'Axispowerisme. C'est ma première fic sur Hetalia donc soyez pas méchants please !

Qui sait si ils liront ça.. Allez, ciao, je ferai des blablas moins longs la prochaine fois !