Coucou tout le monde, après de nombreuse années à rester dans l'ombre à lire des fanfictions. Je me lance enfin : je vous présente ma toute première fanfiction sur l'univers du hobbit (qui appartient exclusivement à Tolkien).
Cette histoire met en scène un personnage de ma création, qui se joins à la compagnie : pour le meilleur et surtout pour le pire. je développe principalement le côté aventure et amitié pour le moment, une romance n'étant pas encore prévue (qui sait?). De plus, je m'inspire exclusivement des films.
Je suis preneuse de toutes les remarques qui m'aideront, je suis sûre à amélioré mon écriture. Je souhaite également m'excuser d'avance pour ma bête noir: les fautes d'orthographes, qui j'espère ne vous ferons pas trop mal aux yeux.
Maintenant je vous laisse découvrir le prologue et bonne lecture. N'oubliez pas de laisser une petite review.
Le Hobbit : Intervention Elfique
Prologue
Une brise ébouriffa les cheveux roux d'une elfe de l'armée du seigneur Thrandill, apportant avec elle : les odeurs de cendres, de chaires brulées. Un dragon venait de détruire en quelques battements d'ailes et à coup de jet de flamme la ville de Dale connu comme le centre du commerce au nord-est de la terre du milieu Néanmoins cette ville n'est guère qu'un jeu dans la quête de destruction de Smaug, ce dernier venait de viré en plein vol. Il fila à toute allure vers le plus grand de tous les royaumes, Erebor, promesse des richesses les plus importantes des nains. Il apporta dans son sillage maintes promesses de mort et de destruction, laissant derrière lui les bâtiments en flammes et les hommes fuyant, vulgaires insectes face au déchainement du dragon. L'idée que peu importe le nombre, la bravoure ou le peuple : homme, nain, orque, gobelin ou elfe, ce retrouvant devant la bête, tous soit comparable à de simple fourmi traversa l'esprit de la jeune femme. Frissonnante, elle réajusta sur son épaule son arc, taillé dans un arbre près de sa cité et posa son regard sur son père, le noble Illyan, conseiller du roi, placé à l'avant des lignes. Le dos de celui-ci droit, silencieux et toute son attention tournée vers la montagne où la créature volante vient de s'engouffrer.
Toute l'armée étaient dans l'attente des ordres qui ne viennent pas, tandis que les premiers cris et bruits de lutte ce font entendre depuis les grandes portes gardés par de phénoménales statues de nains guerriers. Bientôt, on voit des flammes traversé les multiples ouvertures, les portes et les grandes fenêtres, puis des malheureux en feu, victimes de Smaug, ce jetait dans le vide emporté par la panique et l'incompréhension. Les nains tombèrent les uns après les autres semblables à des torches. L'attente des ordres ce fit de plus en plus attendre chez Erilys, plus vite ils interviendront plus de vie seront sauve. Mais son roi ne sembla pas décider et observa de son regard froid les premiers nains fuir leur foyer pour éviter le massacre. La lutte n'a pas était long entre le dragon et les nains pourtant réputer comme un peuple guerrier aguerris.
Grâce à sa condition d'elfe, elle vit malgré la distance les visages en pleures des femmes et des enfants, les corps brulés et couvert de cendres courir aussi vite que leur permet leur blessure. Quelques-uns lèvent leurs visages suppliant vers nous mais le roi sylvestre ne sembla pas les prendre en pitié. Parmi eux, elle repéra un nain brun légèrement plus grand que les autres, il cri des ordres et dirige de replie, ces épaules musclés sembles plier sous le poids de responsabilités trop brutalement arrivé. Lui aussi fini par regarde en direction des armées elfiques, en attente d'une aide secourable. Le regard d'un nain croisa rapidement, le regard d'Erilys, simplement pour quelque fraction de seconde. Des yeux d'un vert nuancé se plongèrent dans ceux bleu profond de son vis-à-vis, laissant la jeune femme bouleversé par un flot de sentiments qui la submerge. L'échange bref mais puissamment marquant, restera dans la mémoire de l'elfe immortelle.
Tranduil brandit le bras, poing fermé, signe de la retraite. Alors que les troupes obéissent à l'ordre, la jeune femme se précipita vers son père qui lui-même c'est tourné vers son seigneur, une lueur de révolte sur son visage normalement impassible. Il se fraya un passage parmi la garde rapprochée du roi mais des lames et des flèches le tiennent à respect. Sa fille se glissa auprès de lui, resserrant sa prise sur son arc. Cependant, Erylis sait qu'elle n'aura pas le temps d'encocher un flèche avant qu'elle ne se fasse elle-même abattre. Thranduil tourna son visage vers son père, c'est l'un de ces conseillés qui contrairement aux autres prône la discussion et l'ouverture avec les autres peuples de la terre du milieu. Il fait un signe à ces soldats et l'homme peut enfin s'avancer vers lui. Son conseiller courba la tête comme le veut l'étiquette et s'exclama :
« - Nous ne pouvons pas les laissez ainsi votre majesté, il est de notre devoir de venir en aide à ces malheureux !
- Nous n'avons aucun devoir envers eux, répond le seigneur. Il énonça cette phrase tel une vérité incontestable, il commence à faire retourner sa monture. La discussion est close.
- Ne voudrions- nous par être aidé si d'aventure nous sommes dans le besoin ? s'exclama Erilys, passant devant son père, après un silence elle reprend. Nous devons leur venir en aide, parce que si nous ne faisons rien ce dragon détruira dans le futur plus de vie qu'il ne prend aujourd'hui. Où irons-nous chercher refuge lorsque que sa colère et ses flammes toucheront les bois de Mirkwood ?! Lorsque le mal progressera jusqu'à nos frontières, nous ne pourrons combattre seul des forces qui nous dépasses.»
Un silence suit sa déclaration, le roi tourna légèrement la tête portant un regard hautin vers la jeune femme. Cette dernière se sent détailler malgré un regard qui se veut suffisant, Erilys soutient son regard, fière et rebelle. Elle fulmina intérieurement car elle savait que sa seigneurie ne changera pas d'avis. Alors son père posa une main sur l'épaule témoignant ainsi son soutient puis la fait passer derrière lui. Son père voudrait continuer à parler mais le roi Thranduil ne lui laisse pas le temps, il tourne le dos et rejoint son armé qui rentre chez eux.
La jeune elfe regarda son père qui comme elle, retient sa colère. Bien que ce soit son roi, il n'est guère en accord avec la plupart des décisions du monarque. Leur point de vue diverge, lorsque lui pense qu'il faut s'ouvrir aux autres peuples et qu'ils peuvent nous apportaient beaucoup. Thranduil pensent que les autres peuples ne valent rien et il préfère développer une politique fermer. Le roi garde Illyan comme conseiller car s'était l'un des plus proches amis de sa défunte épouse. Et Illyan, ne peut se résoudre à quitter la cours du roi Thranduil malgré leurs opinions divergentes, ne pouvant se convaincre d'abandonné une situation à la cours qu'il a pris longtemps à acquérir.
Erylis observa la prince Legolas qui marche dans la suite de son père, il a environ son âge, et ils étaient de bon amis enfant. Elle repensa à leurs enfances joyeuses et aux bêtises qui fessait tourné en bourrique leur nourrice commune. Cependant, la mère de son ami et reine de Mirkwood était morte attaqué par des orques. Depuis lors, les deux amis pourtant inséparables se sont peu à peu éloignés lui devenant le prince que son père attendais et elle devant ce plier au uses et coutumes de la cour. Elle garda néanmoins une âme rebelle qui la poussât à devenir soldat au lieu de travailler la couture et à se trouver un mari comme la plupart de ces amies à la cour. D'ailleurs, avant de s'engager, Erilys avait été plusieurs fois courtisé de par son statut de fille d'un conseiller mais elle avait pris un malin plaisir à faire espérer ses prétendants avant de casser brutalement leurs espoirs.
Cette époque étant révolue, elle fessait maintenant partie d'un des meilleurs bataillons des armées elfes qui la plupart du temps patrouillé aux frontières de Vert-bois. Au matin, elle avait été appelé avec son bataillon pour participer au déplacement jusqu'à la montagne solitaire. La jeune elfe avait revu son père après depuis de longue semaine de séparation, ils s'étaient alors serrée dans les bras l'un de l'autre, faisant passé ainsi tous leurs sentiments. Sa famille lui tenait à cœur, sa mère et son très jeune frère lui manquer mais ces devoirs dans la garde ne lui permettaient pas de passer beaucoup de temps auprès d'eux.
« - Je vais parler avec notre roi lorsque que nous serons rentré, j'espère lui faire changer d'avis. Ne t'inquiète pas, dit son père la sortant de ces rêveries.
- Bien père. Sourit-elle »
Certes, il n'avait pu convaincre le monarque d'agir aujourd'hui mais il savait maintenant que toutes ces convictions devaient être entendues, et il était prêt à tout faire pour changer l'opinion de Thranduil sur les autres peuples de la terre du milieu. Ils se séparèrent ainsi, lui suivant la route emprunter plutôt par le roi et elle retournant auprès de ses compagnons d'armes, malgré toutes les épreuves vécus ensemble, elle ne retrouva aucun soutient et se fit sévèrement réprimander pour son impudence.
Les armées elfiques de Vert-bois quittèrent les lieux laissant derrière eux des centaines de nains et d'hommes abandonnaient à leur sort et exilé de chez eux, perdant leurs familles et foyer. Parmi eux, un nain plus grand que la moyenne portât son regard haineux vers les elfes et se promis de ne jamais oublier, ni pardonner.
