Bon, désolées, mais c'est un peu court, mais, comprenez-nous, on ne peut pas écrire une longue fanfic' en un peu moins d'une heure !

Sur ce, bonne lecture :)

Et postez des reviews, s'il vous plaît ! C'est la première fanfiction que je poste, j'ai donc besoin d'avis…

Ils étaient tous morts. Eragon déglutit avec difficulté. Son papa. Son faux papa. Sa maman. Sa fausse maman. Non, ça, il n'en avait pas. On supprime. L'autre, là… le chef des Vardens, il ne se souvenait plus vraiment de son prénom, mais ce n'est pas grave. Murtagh, aussi, mais finalement non, il est en vie. Zut. Le Roi Nain, lui non plus il ne savait plus son nom. Et son hamster ! Il s'appelait Frank. Oromis aussi, il a failli l'oublier. Puis son dragon, là… Glaedr. Quoi qu'il n'est pas tout à fait mort, hum. A moitié, on va dire. Un peu mort, voilà c'est ça. Il est un peu mort, mais pas beaucoup. Il est sympa, d'ailleurs, sauf qu'il a refusé de couch… se reproduire avec Saphira. Le jeune dragonnier pleura doucement… et se demanda soudainement qui était le prochain sur la liste ? Saphira ? Non, impossible. Nasuada ? Non plus. Son frère ? Non, pas tant qu'il ne lui aura pas rendu son ours en peluche favori. D'ailleurs, c'est son demi-frère, pas son frère. Par tous les dieux, comme si lui, Eragon, pouvait être le fils de Morzan ! N'importe quoi. Et si le prochain sur la liste était…Arya ? Il sursauta, pensa à sa tendre et douce, se releva et couru la rejoindre.

- Arya ! Ne meurs pas ! s'exclama t-il.

- Hein bronbron bas ? répondit-elle, en train de se brosser les dents avec un bébé hérisson en guise de brosse à dent.

- Arya, non ! Ne te brosse pas les dents ! hurla Eragon. Tu ne comprends pas, c'est dangereux ! Imagine, tu dérapes, l'hérisson te coupe la langue, tu hurles, ça fait peur à un oiseau qui se met à t'attaquer, il te crève un œil, tu hurles, ça attire un renard, il te mange et puis… t'es morte.

- Non mais, tu n'en fais pas un peu trop, là ? L'hérisson ne peut pas me couper la langue… me la piquer, à la limite, ouais. L'oiseau, j'en fais une brochette pour ton quatre-heure et le renard, je l'envoie rouler… comme un ballon.

- De toute façon, s'il te pique la langue, tu hurles quand même, et ça attire l'oiseau et… oh, non ! Tu pourrais te blesser en me préparant cette brochette ! Tu ne te rends pas compte du danger que tu endures ? Avec la brochette, tu peux te crever un œil ! Et le renard, tu pourrais te briser la cheville en mettant un coup de pied dedans ! Arya !

- OHHH ! Hého, c'est bon, là, arrêtes de me couver comme ça ! J'en ai marre de toi, Eragon, espèce de petit dragonnier insignifiant qui me pourrit la vie à vouloir coucher avec moi ! hurla l'elfe en montrant ses crocs encore pleine de dentifrice.

Le dragonnier, visiblement vexé, s'était brusquement retourné, avait fait un pas, s'était prit un arbre qui l'avait à moitié assommé, le faisant ainsi tomber par terre, pour ensuite rouler jusqu'à un fossé où était posé un caillou très pointu, qu'il se prit dans la nuque, le tuant sur le coup. Zut.