Oh lala... Quelle catastrophe je suis... Si je pars de ce site plus de trois mois, je suis une catastrophe...

Bon, bref ! Me revoila, et rencore une fois avec mon blondinet preferé. Mais il me fait la gueule la, il n'a pas aimé la fin de l'Enfer d'une destinée...

Donc voila, le debut des Ailes de la Liberté, et j'avoue que vu comment l'histoire a commencé, ca me plait. Oui, j'aimais pas tellement la courtesse du prologue de l'Enfer d'une Destinée !

Bon Chapitre !


« -Hyrule… J'avoue ne pas connaitre cette Terre… tout ce que je sais, c'est qu'il y a très longtemps, des Célestines ont essayés de se révolter face a la Déesse Hylia. Elle a bien essayé de les calmer, mais ils se sont joués d'elle, afin de lui subtiliser trois fragments de ses pouvoirs, qu'ils utilisèrent pour créer la terre que tu appelles Hyrule. Ce que la Déesse Hylia ignora c'est que dans leurs créations, les Célestines ont créé des êtres comme nous, mais incapable de voler, puis se sont sacrées Déesses. Depuis ce jour, Notre Dame Hylia n'a jamais plus revu ces trois Célestines, mais elle a juré de ne plus se présenter physiquement a nous. Les Anciens créèrent des statues afin de la vénérée, et les humains sur terre ignorent tout de notre présence.

-Je serais le premier à entrer en contact avec eux ! s'écria un jeune enfant aux yeux blonds, aux yeux bleus, et aux petites ailes blanches par endroit déplumées.

-Ahahaha. Non Link. Les Humains ne doivent pas savoir que nous existons, car si nous vivons ici en paix, les hommes d'en bas sont vil et mauvais. Ils ne doivent en aucun cas t'apercevoir, et toi tu ne dois en aucun cas entrer en contact avec eux, d'accord ?

-Mais pourquoi Papy ? S'ils descendent des Célestins, ils ne peuvent qu'être très gentils !

-Tu comprendras quand tu grandiras Link. Pour l'instant, tu as école, il me semble non ? »

Link soupira : il ne comprenait toujours pas… Le jeune homme bailla, et manqua de chuter du haut de sa branche. Il avait fait l'école buissonnière aujourd'hui : il en avait marre d'apprendre à voler : cela faisait longtemps qu'il avait quitté le sol, et il n'avait plus besoin d'apprendre à voler plus vite, plus longtemps ou plus haut… Du coup, comme il ne devait pas se faire attraper par son Papy, qui était le doyen du village, il s'était réfugié dans son arbre favori, qu'il avait nommé Mojo. Son épais feuillage le protégeait du soleil violant de cette après midi d'été, et lui apportait de la fraicheur. De plus, du haut de son perchoir, il pouvait voir le monde, sans que le monde ne le voie.

En effet, une foule de gens passa sous ses pieds, mais aucun d'entre eux ne leva les yeux vers eux. Il soupira, et sans s'en rendre compte, se remémora le statut que chaque couleur d'ailes donnait : Blanc, le porteur avait le droit de devenir le doyen du village lors de la mort de celui-ci, ou bien de devenir le directeur de l'école. Bleu, c'était des prêtres, rouge les soldats, vert les villageois. Avec, il y avait quelques couleurs autres, comme magenta ou turquoise, qui correspondait des statuts bien spécifiques, comme chaman ou pharmacien. Soudain, au milieu des ailes multicolores, des ailes noires sortirent, entourés d'ailes rouges.

Link soupira : encore. Il sauta au sol, épousseta ses épaules, ainsi que son pantalon. Il se regarda l'espace d'un instant : il était torse nu, sa peau moulant finement ses muscles. Son pantalon d'un bleu roi en haut, avait un joli dégradé à mesure qu'il descendait, pour être bleu ciel en bas au niveau de ses mollets. Autour de son mollet droit, il y avait un bracelet de plume, que tout les Célestin portaient depuis leurs naissances. C'était une sorte de reconnaissance. Il réajusta ses mitaines. Elles étaient un peu plus lourdes que la moyenne, car s'était un moyen pour lui de se faire de la force. Et en plus, cela lui permettait de cacher sa tache de naissance qu'il avait sur la main gauche. Il fourra ses mains dans ses poches et se dirigea vers le cercle ou les ailes noires essayaient de se défendre face aux sept autres rouges. Une fois arrivé à proximité, Link écouta un instant :

« -Ahaha ! Espèce de maudit ! Tu devrais aller voir les humains, tu es de la même souche qu'eux, de toute façon !

-Vous n'êtes qu'une bande de jaloux ! Jaloux d'avoir les mêmes plumes que tout le monde !

-Ahahaha ! Tu es maudit, acceptes-le !

- Foutez-lui la paix. »

Le silence tomba, avant que tous les yeux ne se tournent vers lui. Link rendit le regard un instant, avant d'écraser son poing dans le nez du premier garçon a sa gauche. Oui, il venait de profiter de l'effet de surprise. Toujours dans le silence, il entra dans le cercle et s'approcha du jeune homme recroquevillé au sol. Ses ailes jouaient en sa faveur, et c'était bien la seule chose qu'il aimait. Il redressa le jeune homme, et le cacha derrière son dos, avant de se dresser droit face au chef de la bande :

« -Je pensais que tu allais comprendre la dernière fois. Visiblement tu aimes bien aller rendre visite au médecin. Y aurait-il quelque chose de plus… intime entre lui et toi ? Ahaha.

-Espèce de salaud ! »

IL n'en fallait pas beaucoup pour énerver le chef : homophobe il était, et sa proie préféré était Shadow, caché derrière le dos de Link. Sans se dégonfler, Link répondit aux attaques du chef, alors que Shadow, réconforté par la présence de son meilleur ami, répondit de son coté aux attaques des six autres grosses brutes. A deux ils parvinrent à les faire déguerpir, et Link se tourna vers l'ange aux ailes noires, et l'attrapa par les épaules :

« -Toujours la même chose hein ?

-C'est ta faute. Si tu n'avais pas sécher l'école, je n'aurais pas du venir te chercher.

-Désolé. Tu es blessé, Dark Link ?

-Non… Mais ne m'appelle pas comme ca, tu le sais… J'ai ce que tu voulais. Mais je maintiens que c'est une mauvaise idée. Si moi je suis maudit avec mes ailes noires, toi tu n'as rien à faire le bas en bas.

-Tu n'es pas maudit. Mais moi je veux savoir. Ca m'intrigue. »

Le jeune brun aux yeux rouge soupira, et tendit un pendentif au blond aux yeux bleus, qui le prit. Link fut surprit de voir, dans le regard de Shadow de la colère, puis l'être aux ailes noires se tourna, et s'en alla. Quelque part, Link fut blessé de voir a quel point son meilleur ami s'opposait a ce voyage… Il soupira, et attacha ce pendentif autour de sa nuque. Il retomba sur son torse, et Link se dirigea vers le bord de l'île. Après quelques minutes, il regarda autour de lui, et sauta dans le vide. Il se laissa chuter de plusieurs mètres, avant de déployer ses ailes, et de remonter. Il vola de manière à s'écarter de l'île, et se retourna. Célesta flottait entourée de plutôt autres petites iles, d'où il y avait constamment des allés et venues.

Il soupira, et fit le geste que firent tout les Célestin lorsqu'ils quittait son île natale, il prit sa plus belle plume, qu'il arracha de son plumage, et tendit la main devant lui. L'air déplacé par ses ailes provoqua juste ce qu'il fallait d'air pour la faire se soulever, et elle s'envola, haut dans le ciel, pour se perdre dans l'immensité des cieux. Ceci fait, il replia ses ailes, et se laissa tomber, al tête la première en direction de la Frontière Nuageuse. Il prit de plus en plus de vitesse : il en fallait, pour échapper a la surveillance du gardien, et ouvrit les yeux, pour guetter son arrivée : il allait se faire passer un saxon, s'il se faisait attraper… Non, par de gardien a l'horizon.

La main gauche de Link vint se saisir du pendentif autour de sa nuque, et il murmura, alors que les premiers nuages effleuraient sa peau :

« -Adieu Dark Link. J'espère que tu sauras te débrouiller sans moi. »

Dark Link, ou Shadow, était son meilleur ami. Leurs ressemblances singulières les avaient rapprochés, depuis tout petit déjà. Les ailes blanches de Link obnubilaient Dark Link, et vice versa pour Link. Les deux compères, n'aimant pas porter les mêmes prénoms, ils ont très vite troqués « Dark Link » pour « Shadow » qui, aux yeux du concerné, faisait trois fois mieux. Après quelques minutes, où il n'y eut plus de bruit autre que celui de son pantalon qui fouettait l'air à cause de la vitesse, Link entendit : le bruit de la terre du dessous. Un bruit énorme, qui agressait les tympans. Un bruit sourd, puissant, un bruit d'explosion.

Il baissa le regard, étant la tête en bas, et vit qu'il y avait sous lui la Terre. Il tacha alors de se redresser, et de se remettre la tête en haut, et regarda autour de lui. Le bruit venait d'au delà des collines la bas. Il ne voulait pas savoir ce que s'était, il se tourna alors, et partit dans une direction totalement autre. Il découvrit avec plaisir cette terre immense : enfin, il n'avait plus à se limiter à une certaine zone. Enfin, il était libre de découvrir de nouvelles terres. Il était libre de connaitre ceux qu'on lui avait toujours décrits comme d'effroyables monstres. Il vola un peu, histoire de découvrir les alentours de sa zone d'atterrissage. Il découvrit avec joie le contact entre le sol et lui, il gouta a des saveurs jusque la méconnues. C'était tellement bien. Et ce soleil, qui ne ressemblait en rien au leur ! Il caressait sa peau nue comme le linge le plus doux qu'il existe.

Tellement plongé dans ses découverte, et aussi persuadé que personne ne vivait ici, il ne fit pas attention aux quatre humains qui venaient par derrière lui. Il ne sentit qu'une vive douleur a sa nuque, avant que le sol ne devienne soudainement noir, et qu'il ne se dérobe sous ses pieds. Quand il s'éveilla, sa première sensation était un violent mal de tête. Qui s'amusait a picoré son cerveau ? Pourquoi souffrait-il autant ? Et ensuite, à mesure que ses sens s'éveillaient, il se rendit compte que tout son corps était courbaturé. Dans un grognement, il ouvrit les yeux, et tacha de se gratter la tête mais… Il ne comprit pas pourquoi soudainement le soleil s'était éteint, pourquoi ses mains étaient entravées, pourquoi un tel poids tombait sur ses frêles ailes. Il essaya de parler, mais un vil serpent s'était glissé entre ses lèvres, l'empêchant de dire un seul mot. Il chercha à se débattre, mais il ne parvint plus à bouger, et il avait l'impression que plus il remuait, plus le piège se fermait autour de lui.

Des hommes parlèrent tout autour de lui, mais en une langue que Link ne comprenait pas, lui parlaient-ils, il n'en savait rien, lui demandaient-ils quelque chose, il ne su le dire. Il écouta les autres bruits autour de lui, essayant de comprendre ce qu'il se passait. Son père l'avait-il suivit, et l'avait-il ramené de force ? Dans ces cas la, pourquoi ne comprenait-il pas un traitre mot de ce qu'il se passait autour ? Pourquoi les gens semblaient se presser autour de lui ? Pourquoi il avait l'impression que la terreur et la tristesse se glissait doucement entre ses jambes ?... Il écouta encore un peu les voix. Au plus près de lui, il y avait quelque chose qui grattait le sol, ainsi que le bruit de chaine. La chose semblait lutter contre des liens plus puissants que lui, parce que sa respiration était bousculée, et des grognements s'échappaient de l'être.

Il y avait aussi des sanglots. Mais si discret, que Link ne l'avait pas remarqué de prime abord. Quelqu'un pleurait… Un enfant. Un jeune enfant. Mais que faisait-il ici ? Normalement, et a la voix, il ne devait pas avoir plus de cinq ans, et normalement a cet âge, ils n'ont pas le droit de côtoyer les adultes… Ils doivent normalement apprendre à vivre sur une île loin de la Capitale… Comment se faisait-il qu'il soit a coté d'un enfant ? Il grogna, et la bête à coté de lui sembla s'arrêter, puis reprit peut de temps après. Il essaya alors de comprendre ce que l'homme qui hurlait le plus prêt de lui disait :

« -Oyez Oyez ! Approchez Monsieur Dames, approchez ! Venez voir la plus belle collection de monstre de tout Hyrule ! Vous cherchez un Hippogriffe ? Une sirène ? Un Homme oiseau ? Vous trouverez votre bonheur ici ! Approchez ! Notre premier lot est cette magnifique créature, une sirène mâle, capturée ce matin ! Nous allons commencer à un prix de 15 000 Rubis. Qui dit mieux ? »

A partir de la, tout en tas d'homme et de femme s'étaient mis à hurler, couvrant les pleurs de l'enfant. Tout ce que Link avait compris, c'est qu'ils parlaient d'Hyrule… Mais ca il le savait déjà, ce n'était pas une nouveauté… Le bruit lui donnait mal a la tête, il avait l'impression de se perdre dans son enfer de noir, et ses cris ne l'aidait pas. Il commençait à regretter son Ciel si calme et si grand… Le monde du dessous était si bruyant… Il grogna de nouveau, et essaya d'écarter les jambes, mais il n'y parvint pas, une fois de plus… Il avait l'impression d'être un saucisson prêt à être vendu… Au bout d'un moment, les voix se turent une a une, et l'homme reprit la parole, parla a quatre reprise, puis la porte grinça de nouveau.

Il comprit ce qu'il devait faire : il devait se lever, et il le comprit quand on tira ses cheveux en vers le haut. IL essaya d'ouvrir ses ailes, mais il n'y parvint pas, ni même a les étendre vers l'arrière. Il était bien et bien prisonnier. Quelque chose de froid se glisser autour de sa nuque, puis serrer d'un coup, pour ne lui laisser qu'à peine la place pour respirer. Maintenant debout, il fut poussé en avant : ou allaient-ils ? Que lui voulaient-ils ? Il chercha à refuser d'avancer, mais ils tirèrent sur ses ailes, ce qui coupa toute ses envies de rébellion. Le monstre qui grattait le sol s'éloigna légèrement, et le sol sous ses pieds, qui était de la terre jusque la devint du bois. Il écouta de nouveau l'homme, comme s'il allait comprendre quelque chose :

« -Quel magnifique bestiole capturée ce midi ! Un homme oiseau encore capable de voler ! De toute beauté, de magnifiques yeux bleus, et des lèvres a tombé ! Il reviendra au plus généreux d'entre vous ! Nous commençons avec 80 000 rubis pour Monsieur ! »


Et vous ? Si vous étiez milliardaire, combien achetiez vous le Linky ?

(Mes fans, c'est à vous ! ^^)

Ah, et désolée pour les fautes, j'avais totalement la flemme de corriger parfaitement.