Les mots que je ne te dirais jamais.

Voila, j'avais dit que je ferais une Ed/Roy triste… J'ai trouvé, après une journée de merde ou j'avais le moral à zéro, la motivation pour m'y mettre. Sur fond de Bo de Noir, je sais pas vous, mais personnellement c'est très efficace avec moi…[ Si vous voulez vous mettre dans la même ambiance que moi, allez donc l'écouter sur que je conseille par ailleurs. Rien de tel qu'une bonne immersion dans la déprime pour se vider un peu… En tout cas, l'écriture de ces textes m'a fait du bien. Leur publication, quand à elle, relève du sadisme le plus éhonté. Enfin, tant pis.

C'est ici une série de lettres « à thème » écrites par Ed, qui peuvent se lire indépendamment comme des one shot, mais aussi en tant que chapitres d'histoire. Comme vous voulez. Toutefois, comme je ne suis pas sûre de suivre l'ordre chronologique, ça risque surtout d'être un gros bordel… Mais c'est aussi l'intérêt, n'est-ce pas ?

Si vous avez le courage (ou le masochisme) de suivre cette fic en entier, je ne peux pas du tout vous dire combien de temps elle durera, étant donné qu'elle dépend totalement de mon inspiration et de mon état d'esprit.

Je pense que j'en écrirais deux ou trois chapitres à chaque fois que je serais déprimée, donc ce sera sûrement très irrégulier… mais abondant. En attendant la lecture elle-même, voici le contexte dans lequel on trouve les fameux textes.


Après la disparition du Fullmetal Alchemist, les quelques affaires qui on été laissées derrière lui ont été fouillées dans l'espoir d'indices pouvant le mener là ou il était partit. L'amnésie de son jeune frère empêchait l'armée d'en savoir plus.

Mais en vidant les quelques tiroirs à moitié vides de son bureau, ils ne s'attendaient pas à tomber sur un paquet de feuillets attachés d'une vulgaire ficelle. Ils étaient adressé à Roy Mustang.

Lettres sans en être, plus proches d'une sorte de journal intime peut-être, elle retraçaient une relation bien plus profonde que ce qu'aurait pu soupçonner leurs collèges… Mais manifestement, Edward Elric n'avait pas écrit ces textes dans l'intention de les remettre à son supérieur. Aussi ne sont-ils pas arrivés entre ses mains, telles que semblaient être les dernières volontés de leur auteur…