Préface
Bonjour, vous lirez ici ma deuxième fan-fictions sur Naruto, la première était tellement nulle que j'ai pas voulu la continuer, celle ci est un peu plus travaillée, finie en soit, enfin finie, ce n'est que le premier chapitre. Bref, toujours est-il que j'espère qu'elle vous plairas, en tous cas, j'en suis déjà plus content que la premières. Surtout ne lésinez pas sur les Reviews, il n'y a qu'avec des critiques qu'on évolue ^^. Enfin voilà, bonne lecture
Gothic Writter
ps: Désolé pour les fautes d'orthographe ou de frappes qui ont pu se glisser dans le texte, j'ai relu mais il est fort probable que certaines choses m'aient échappées.
Prologue
La nuit ouvrait doucement ses pétales dans le jour agonisant. Comme une de ces fleurs qui suivent la course du soleil, elle s'ouvrirait et suivrait celle de la lune pour mourir au matin, dans les lueurs de l'aurore chaste, elle s'ouvrirait, dévastatrice, et mourrais pour renaître, éphémère immortelle. La nuit dans la lune, la lune dans la nuit, la case noire de l'échiquier vitale. Dans l'ombre de son regard, son regard astrale et divin. Dans son ombre naissent le secret.
Il venait d'avoir 16 ans, mais déjà il avait trop vécu, déjà il était trop vieux, à l'intérieur, son âme, comme son corps le serait plus tard, était vielle, dévastée. Son regard aussi, ce regard plissé à l'intérieur, morne et terne, trop pâle, trop vide, trop froid pour un garçon de son âge. Ce regard de la solitude, un jeu d'ombre dans un iris, un fractale de glace, un soupir. Ce regard qu'il ne devrait pas porter, ce regard blasé, fatigué, bien de trop vieux. Troublant de maturité sur un visage si juvénile. C'est le regard de la fatigue. Fatigué par un monde anémique, fatigué par les fanatismes des politiques, ceux des gens qui croient être alors qu'ils ne font qu'exister, qui croient vivre alors qu'ils ne font que survivre. Blasé par ces peuplades endémiques, larvaires, si pressées de tous faire qu'ils en gâchent la moitié. Il était blasé par ces gens à qui il ressemblât, mais auquel il ne ressemble plus. C'est un regard vieux, mature. Le regard de celui qui a trop vécu, de celui a qui il reste trop à vivre, c'est un regard qui raconte une histoire, cette histoire.
Ça parle d'une nuit, comme tant d'autre, dans les faubourgs d'une ville, une nuit chaude, saturée, sous la lune sale, sous les néons sales, une nuit dans les rues en labyrinthe, comme des rides sur la terre, comme des chemins de soie, des chemins du temps. Ça parle d'une nuit ou le garçon qui plus tard auras ce regard-histoire est assis, adossé au mur, ses cheveux blonds épars sur ses épaules, les yeux dans le vague, ses pupilles trop grosses, ses gestes trop lents, il est là, amorphe contre ce mur. Ses sentiments et ses sensations décantés, il est dans le vent contre le mur les yeux à peine éclairé de vie, comme un mourant, s'inquiétant du sors de sa salive, déconnecté des autres. Il y a la fille aux cheveux rose, allongée sur ses cuisses, un doigt passé autour du lacet d'une des baskets du blond, elle chantonne doucement. Et puis il y a le troisième, brun et pâle sous la lune acerbe, le joint se consumant entre ses doigts, les autres mourants à ses pieds, il regarde le blond, doucement,sécrétant en lui ces sentiments qui l'excitent depuis bien de trop longtemps. Il pourrait l'avoir, ce serais si facile,quelques joints suffisent et... Il le regard, sa mâchoire carrée, son visage de miel, ses yeux de renard, bleus, enfin habituellement, noirs tout de suite, puis ses mains, le brun aurait aimé être ces mains, ou être cette peau, pouvoir toucher, caresser sentir et protéger. Un soupir dans la nuit.
Le silence fait rage. Ils ne sont pas de ces gens qui parlent tout le temps, inutiles, enfin Naruto si, mais pas quand il est défoncé. Sakura le regarde, un regard dégradé, rédhibitoire, un regard qui dit « je veux que tu me baises, encore, comme la dernière fois ». Dans leur groupe d'amis, leurs sexes courent de bouches en bouches au même titre que les joints. Mais Naruto est nouveau ici, et Sasuke aime la nouveauté. Il tire une nouvelle latte sur le joint.
-Nan Sakura, j'ai pas envie de soir.
Lee se tourna vers eux, ses yeux trop gros rougis par la drogue, ça fait longtemps qu'il n'a rien fait avec Sakura, Sa petite rose à lui. Ca fait quelques années déjà qu'il la connais et tous le groupe est au courant des sentiments qu'il lui porte, sauf lui peut-être. La tête sur les cuisses de Gaara, il dit :
-Moi par contre Saku', si t'as envie...
-Va t'faire foutre Lee.
Et recommence l'éternelle chamaillerie accentuée d'un énième soupir sasukien, d'une imploration de Gaara pour qu'ils cessent et d'une supplique nouvelle, un « vos gueules » grogné par le nouveau. Il était tous amis depuis l'enfance, avait grandis ensemble (sauf pour Naruto), Dans la routine de Konoa, ils s'étaient vite sentis seuls, dans ce village, soit tu es studieux, soit manant, soit inexistant, un paria, c'est comme si trois clans c'étaient créés entre les jeunes avec le temps, des clans en éternel conflits. Les Pro, ceux qui bossent, courbent l'échine, s'aplatissent, les Mi, le serpent, ce groupe là, le groupe de Sasuke, ces adolescents perdus, trouvant dans la drogue et le sexe un peu d'amusement dans la monotonie de cet ancien village de guerrier devenue un villaged'anciens guerriers. Et il y a les Paria, ceux qu'on ne connaît pas mais qu'on voit tous les jours, ceux qui ne parlent pas, c'est comme s'ils ne vivaient pas. Les choses avaient été simples au début, chacun son clan, chacunsa voie. Puis Naruto est arrivé, une nouveauté dans un village mourant, chacun le voulait, c'est comme s'il eût été un de ces vêtements soldés que tout le monde veut, qu'on s'arrache. Mais le blond avait été explicite, il était plus attiré par le chanvre, le pavot et la vaseline que l'encre et le papier, ou alors la solitude aliénante. Ce fut vers les Serpents qu'il se tourna. On apprit vite qu'il vivait seul, cela le rendait encore plus original et unique, mais en plus de tout ça, il était beau, indéniablement beau. Tous ces points mêlés nous amène aux réflexions de Sasuke. Le désir qu'il a de posséder cet être. Mais, même si dans leur groupe la bisexualité est à la mode, il ne savait si Naruto en était. Naruto était une sorte de mystère, personne ne savait rien de son passé, de son futur, on connaissait juste son présent, jeune homme blond, arriviste et drogué, sympathique et drôle, sombre aussi, glaciale parfois, dangereux surtout, dangereux mais séducteurs, comme cette flamme qu'on ne peut s'empêcher de toucher du bout des doigts, même en étant conscient qu'on s'y brûlera.
Pour s'approcher du blond, sasuke abandonna les dernières lattes de son joint et s'approcha de Naruto, glissant la tête allumée du cône dans sa bouche, le carton à la sortie, il approcha ses lèvres de celle de Naruto et poussa, la fumée sortit de l'extrémité cartonnée du cône tandis que la braise rougeoyait derrière ses lèvres fermées, la fumée ainsi exhalée, fut recueillie par le souffle avide de Naruto, qui était troublé par la proximité des lèvres du brun. Car, bien qu'aucun des deux ne le sache, le désir qui les agite chacun par rapport à l'autre est réciproque. La noirceur de Sasuke, sa grâce indolente et glacée, sa voix d'ombre, ses yeux froid et sombre, tout en lui attire Naruto.
Le groupe marginale était donc là cette nuit, là première nuit, contre ce mur, enfumé sous la lune, il était là la première fois, la première fois que la lune saigna et que le ciel pleura.
Chapitre 1 : Quand la nuit meurt.
Il y a un moment dans notre vie à tous, ou l'ont comprend face aux choses, que quoi que l'on fasse, quelles que soient nos raisons de le faire, ce n'est pas justifié ni justifiable, que chacun de nos actes, malgré tous ce que l'on peut dire ne sont motivés que par une chose, la peur de la mort, ou celle de l'inconnu que représente la mort.
Les adolescent étaient là, seuls, anges de la nuit au relent d'opium, seuls dans un amas d'alcool de drogue et d'hormones, seuls dans leur multitude, seul dans leur ubiquité interne, telle une armée de mandrill au visage de porcelaine craquelée. Ils étaient là, horde sombre de la jeunesse décadente, de ce qu'il y a en dessous, de ce que peut produire l'ennui et le temps. Ils étaient là, une Sakura dans les bras d'un Lee sous les lèvres de Gaara, et Naruto et Sasuke, l'un avec l'autre, sous la lune, dans les fumées. Ils avaient pénétrés dans cet immeuble vides dont-ils avaient fait leurs sanctuaires, Oroshimaru, le célèbre Yakuzas y aurait séjournés. Cette légende à elle seule suffisait d'exciter l'imagination des adolescents au points d'occupé chaque parcelles des murs du rez de chaussé de l'édifice en ruine. Sasuke était timide, ses doigts d'opale fragile osaient à peine caresser la main de Naruto. Sasuke, l'enfant de la nuit par excellence, la représentation la plus splendide de ces hordes héroïnomane anémique et larvaire, dans l'ombre, cheveux noir, maigreur et cynisme cinglant, Sasuke rendu timide par le blond. Naruto sourit devant l'intervention tactile du brun, lui confirmant ce qu'il pensait déjà, à savoir qu'il perdrait sa virginité dans la nuit. A côté d'eux, Sakura se voyait théâtre d'un ballet de lèvres, sa peau, son corps étaient comme un scènes ou des bouches danseuses pouvait onduler, soupirer, murmurer, et elle soufflait dans la nuit, à demi dénudée par ces lèvres, imaginant que chacune d'elle était Sasuke, hélas, ce n'était pas le cas. Tout était si normal, si semblable à d'habitude, rien ne changeais, pourtant...
Les premiers gestes tatônaient, hésitants, pâles, la suite avait commencer à prendre formes, les effleurement s'étaient mués en véritable caresse et les lèvres s'étaient logées dans le cou. Sasuke embrassait le cou de Naruto. Un Naruto dominant habituellement rendus passif par la drogue. Les trois autres étaient monté à l'étage, dans les lits tandis que la nuit avançait. Le temps avait couler en une brûlure de silence acide. Une bruine s'était déclencher dehors, le froid avait ramener les deux jeunes hommes à se rapprocher l'un de l'autre. Les peau s'était toucher, timides. La langue prends le relais sur les lèvres, caressant la peau douce, gouttant la peau douce, un saveur fruité, doucement acide, une saveur d'agrume, Naruto a un goût d'orange.
Naruto soupira d'aise, les yeux fermer, le désir se raffermis autour de ses hanches, une sorte de goule griffait ses entrailles. La tête relevée le yeux fermée, il s'enivrait de ces lèvres qui le dévorait, de ces dents qui le mordillaient en la partie la plus tendre de son coup. « Sasuke est un vampire » se dit-il, « mon vampire ». Les lèvres du brun avaient investis la machoire du blond tandis que ses mais l'avait doucement poussé sur le sol. La bouche remonte jusqu'au coin de celle de Naruto qui gémis doucement sous la mains qui se lovait entre ses jambes. En enfin les lèvres amerrirent les unes sur les autres, entrouvertes, timides. Le baiser chastes qui se meut, la langue du blond se fraye un chemin entre les parois de nacre qui protège la bouche de Sasuke. Naruto prend les devant en montant sur Sasuke tout en continuant de l'embrasser, leurs langues valsant à un rythme lent, leur sensations sublimé par la drogues, rendant chaque contact encore plus puissant qu'il ne l'était déjà .
La main du blond passé sous le top du brun caresse ses formes trop maigre, son torse, pinçant durement les mamelons de chairs durcis, arrachant a Sasuke un petit cris de plaisir. La main continue son œuvre, les long des abdominaux, dans le nombril, dangereuse elle s'immisce aux prémices du pubis. Caressant doucement tandis que le sexe du brun enfle. La fermeture s'ouvre le calçon se baisse, le sexe est a nue, splendide dans son auréole de pilosité fine et noire. Les lèvres suivent la course des mains, s'attardant elles aussi sur le tétons du brun, marquant son ventre d'un lourd suçon. Naruto se droguait de Sasuke, son corps aurait du mal à être plus patient, il voulait le prendre, là, tout de suite, sans le préparé, il voulait le faire crier, se lover dans son antre chaude, sentir ses chairs se contracter autour de son sexe, il voulait lui faire l'amour aussi fort que possible, mais les regles l'en empèche, il faut prendre son temps, tout doucement.
Alors ses lèvres continuent leur course folle, elles glissent, comme un larme le long du corps du brun, ne s'arrettant pas sur le sexe, descendant jusqu'aux cuisses, rieuses devant le grognement de frustration émis par le brun, puis remontant. Malgré sa virginité, le blond se débrouillait bien, il vendait du rêve avec ses lèvres, aurait dit Sasuke, il était habile, dirons nous simplement.
Tout d'abord, du bout des lèvres il commença a taquiner le gland du brun, puis du bout de le langue, timide, doucement, a petit coup, petite dose, faisant gémir Sasuke d'envie. Il ouvrit sa chemise à son tour puis plongea d'un coup, violemment, sans prévenir sur le sexe de Sasuke, l'enfonçant au plus profond de sa gorge, retenant les hauts le cœurs, enroulant sa langue autour du pénis du brun, le faisant crier doucement. Ses doigts s'amusant avec le poil pubien tandis que sa tête entamait seul les vas et viens féroce, avalant la verge du brun. Sasuke se tendait, se cambrait, n'ayant plus aucun contrôle sur lui même, ses mains s'accouplant telles des araignées sur la tête de son amant. Il gémissait plaintif, grognait râlait tandis que Naruto le suçait comme jamais personne ne l'avais sucé, même Gaara n'était pas aussi bon. Mais au moment ou il allait jouir, la porte s'ouvrit dans un fracas, celle cabossé de l'entrée, elle était normalement fermée a clé, pour rentrer, eux, ils avait dû passer par un fenêtre. Pourtant elle s'ouvrit...sur Itachi, le frère de Sasuke, il faisait parti de propos et haïssait son consanguin autant que possible. Il ne savait même pas que Sasuke était là, il était juste venu pour se cacher, pour se protéger de l'homme au sabre. Il s'arretta brusquement à la vue de son frère nu en train de ce faire sucer pour le nouveau. Ses yeux apeuré à l'origine devinrent rageux, il oublia qu'il était poursuivis et voulu se ruer sur eux, mais il n'en eut pas le temps. Un lame brillant dans la lune et son sang s'étala par terre et sur les deux hommes, sur la peau pâle de son frère, sur les lèvres de Naruto. Devant son corps se tenait Oroshimaru, le Yakuzas, Oroshimaru, la terreur, le vrais père de Sasuke, et il les regardait tous deux, a demi nus, l'un sur l'autre, les joues encore rouge, Sakura s'arrêta dans l'escalier, retenant son cris.
« Le drame s'est noué avec la fin de la nuit, Oroshimaru est de retour, sa colère encore fraîche, il finira ce qu'il a commencer, quoi qu'il lui en coûte »
