Salut, je sais que j'ai une autre fic en cours mais comme elle n'a pas l'air de plaire , je pense attendre d'avoir plus de reviews qui me disent d'arrêter ou de continuer pour savoir quoi faire, en attendant en voici une autre.


Découverte: Mort et Renaissance.

L'allée était calme, c'était l'été depuis quelques jours à présent, les rayons du soleil éclairaient les maisons blanches de Privet Drive, réchaufant les piscines d'une douce chaleur, les parents commencaient à se réveiller, préparant le maillot de leurs enfants afin qu'ils profitent d'une baignade en cette nouvelle journée étouffante qui se prépare ou cuisinaient avant de partir au travail. La monotomie était installée depuis quelques temps déjà et out le monde faisait comme tout le monde, une seule maison échapait à cette règle, le quatre. Le quatre Privet Drive, si parfait, échappait à cette similitude des maisons de la rue mais personne ne voyait rien, personne ne voyait chaque jour un jeune garçon agé de 14 ans, bientôt 15, se lever aux aurores afin de cuisiner le repas de sa famille, personne ne remarquait les bleus et les échymoses qui parsemaient son visage, personne n'entendait les cris de rage et de douleur provenir de la maison, personne ne faisait attantion aux vêtement parfois tachés de sang de la famille, personne ne se souciait de l'absence du quatrième membre de la famille hors de la maison, personne ne s'intéressait au malheureux sort d'Harry Potter, espoir du monde sorcier, qui était en ce moment même battu par son oncle.

Harry était à l'instant couché dans son placard, frappé par son oncle, coups de ceinture, coups de poing et coups de pied pleuvaient sur son corps meurtri, les larmes soullaient ses joues et se mélangaient au sang avant de s'écouler dans d'anciennes plaies infectées, mais les larmes n'étaient pas des larmes de regret, de rage, de tristesse ou même de douleur, non, elles étaient des larmes de désilusion. Le garçon venait de découvrir la trahison de ceux qu'il appelait ses proches, sa famille; en effet, il y a quelques jours, alors que son oncle avait commencé à le frapper, il avit envoyé sa chouette Edwige avec un message de détresse et, alors qu'elle revenait, elle tenait une vidéo, une vidéo attachée à la patte de sa chouette par il ne savait qui, montrant son directeur et la famille Weasley presque au complet en train de rigoler en lisant sa lettre, son courage et sa force s'était alors amenuisée, et, alors qu'il s'était battu jusqu'à présent, il rendit et les armes et poussa son dernier souffle en même temps que son oncle refemait la porte de son placard. Ses yeux verts perdirent l'étincelle mélancolique qui l'habitait, son corps douloureux s'affaissa d'étrange manière contre le mur, ses muscles se détendirent et la température de son corps baissa fortement, Harry Potte était mort.

Alors que le corps était livide un chat noir entra par le soupirail, ses yeux bleus parsemé d'éclairs jaunes électriques scannairent la pièce pour s'arreter sur la masse inerte, des ailes sortirent de son dos au doux pelage et il s'envola sur l'adolescant. Lentement il entreprit de laicher toute les plaies, une part une, lentement, il recouvrit le corps d'une douce lueur réconfortante et lentement, les plaie se refèremèrent et la respiration reprit. Finalement, le chat ailé rappetissa pour devenir un chaton , ses ailes rentrèrent dans son dos et il prit la couleur blanche.

Encore inconcient de ce qui se passait autour de lui, Harry sentit son corps être soulagé de sa douleur et se métamorphoser, les sensations se multiplièrent dans son corps avant qu'il ne puissent enfin ouvrir ses yeux, la première chose qu'il vit était une charmante boule de poils blanche, la deuxième chose qu'il apercut fut les deux ronds qui se trouvaient sur sa poitrine, des seins, il avait des seins... Lentement et précocionneusement, il se leva et inspecta son corps, il découvrit ainsi de longs cheveux noirs aux reflets roux, une vue parfaite et percante, des jambes graciles et une silhouette fine, il était devenu une fille, dans tout les sens du terme. Il retomba presque immédiatement dans l'inconscience dès quel'information arriva à son cerveau.


Voila c'est fini, à demain.