Disclaimer: Le monde d'Hetalia ne m'appartient pas, à mon grand regret...
Remarque: Ma première fic... L'angoisse! Bref, je suis désolée pour l'orthographe, je vais faire de mon mieux, mais comme dirait ma soeur, je suis un cas désespéré!Et ça vaut malheureusement aussi pour l'anglais... Mais j'espère que vous prendrez quand même plaisir à la lire.
Arthur Kirkland était calme. Oui, parfaitement calme. Il reposa doucement le journal sur la table, et se saisit de la tasse de thé qui s'y trouvait. Bon... C'était une bonne nouvelle. évidement, un peu surprenante, voir peut être choquante, mais rien que du positif, au fond. Depuis le temps qu'il l'espérait. La preuve que même la nature était d'accord avec eux. C'était un phénomène normal, et extraordinairement encourageant pour l'avenir de son pays. Il but une gorgée de thé. Son regard se posa encore une fois sur la première page de l'hebdomadaire, et il fronça les sourcils, cherchant ce qui le perturbait: L'Angleterre et l'Europe, un éloignement idéologique et territorial. L'article parlait, bien évidement, des conflits de sa nation avec l'Union Européenne. Mais ce n'était pas cela qui avait attiré son attention. Non, ça il le savait déjà, mais la suite, l'éloignement territorial.
Des scientifiques avaient découvert que l'île, son île, s'éloignait de 3 centimètre par an du continent. Il était d'ailleurs précisé que l' Ecosse et l' Irlande n'était pas concernés par ce déplacement. Nooon, bien sûr que non, ces imbéciles restaient à leurs emplacements respectifs, obstinément. Eux ne s'éloignaient pas de l'Europe, eux pouvaient garder un oeil sur la France et le voir quand... Non, Angleterre n'était pas jaloux! Pas du tout! Ce n'est pas comme si il était attaché à ce stupid frog ou quoi que ce soit... C'était inquiétant, c'est tout. La surveillance des deux phénomènes qui lui servaient de famille, c'était déjà assez compliqué comme ça sans qu'on y rajoute de la distance. Et puis, concernant la France, Arthur, le sentait mal, aussi. Pour des raisons purement économiques, bien sûr! A la fin, il faudrait adapter le tunnel de la Manche, peut être pas tout de suite, mais ça serait inévitable. Et coûteux forcément.
« This bloody pervert, so annoying... Even when he'sn't here. »
Les roses rouges offertes par le dit pervers trônaient d'ailleurs sur le meuble, dans un vase de porcelaine raffiné. Il les lui avait offerte pour leur soit disant anniversaire commun (« 109 ans sans guerre, mon petit lapin, ça se fête! »). L'entente cordial fonctionnait en dehors de toute notion de distances, ce qui lui permettait d'aller corriger quand s'était nécessaire tout les imbéciles qui osaient s'approcher de son rival, son adversaire, son allié!Le sien, à lui, celui qu'il ne partageait pas! Mais ce déplacement progressif de son territoire, sur le long terme (très long terme, mais il vaut mieux réfléchir en avance à ce genre de situation.) pouvait être problématique: si cet idiot se faisait attaquer, Arthur mettrait plus de temps à arriver, et donc les agresseurs auraient le temps d'espérer toucher à son Francis. Personne n'avait le droit de touché au possession du Royaume Uni.
« Don't they dare, this bastard... »
Le blond aux yeux verts n'était, encore fois, pas jaloux, mais il était juste possessif. Ca, il le savait, tout le monde le savait. Et son adversaire était à lui, c'était une évidence pour tous. Il n'y avait que le français pour prétendre le contraire. Mais celui ci trouvait toujours le moyen de se mettre dans des situations impossibles, périlleuses au possible. Quand ce n'était pas une agression extérieur, il se débrouillait pour avoir des divisions internes. Parfois Arthur avait l'impression que France faisait ça dans l'unique but de lui pourrir la vie. Le coup de l'élargissement du Channel, ça aurait très bien pu être un des nombreux moyens dont il usait pour pousser l'anglais à bout et lui poser des problèmes.
…
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Wait... Il n'oserait pas, pas vrai? Oh...
« Damn it! This bloody wanker! This jerk! He wouldn't taunt me like this, He couldn't dare! »
Traductions (même si je pense qu'elle ne sont pas forcément nécessaires, je les met au cas où.)
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This bloody pervert, so annoying... Even when he'sn't here: ce sale pervert, si agaçant... Même quand il n'est pas là.
Don't they dare, this bastard...: Qu'ils osent, ces batards...
Damn it! This bloody wanker! This jerk! He wouldn't taunt me like this, he couldn't dare! : Bon sang! Ce sale branleur! Ce pauvre type! Il ne peut pas me chercher comme ça, il n'oserait pas!
Bon, petites explications en plus: L'angleterre s'éloigne réellement de l'Europe de 3 cm par an! Quand j'ai appris ça, je n'ai pas pu résister. Dommage pour vous, pauvres victimes de ma crise de folie passagère.
