Titre: Esclave des sens

Auteur: ImagineTwilight

Disclaimer : Tous les personnages appartiennent à Stephanie Meyer. Je ne fais que m'amuser avec !


Note de l'auteur : Hello Everybody !

Donc nous y voila ! J'ai décidé de poster cette histoire sur Edward/Bella ici ! J'espère que vous apprécier ce premier chapitre. L'idée de cette fiction m'est arrivée… comme ça ! Etrange ? Non en réalité c'est en écoutant « running up that hill » de placebo. J'espère pouvoir vous offrir une fiction à la hauteur de vos espérances. Pour moi c'est un plaisir d'écrire ainsi que de lire. J'espère que vous me laisserez votre avis car l'évolution de cette fiction dépend de vous ! Et oui. Je pense que tout est dis… sur ce ! Bonne lecture à vous toute et tous

Ps : Je suis navré s'il y a des fautes, je me bats contre l'orthographe.


Esclave des sens


Chapitre 1 : Bienvenue à Brown !


C'était immense. Ce trou dans ma poitrine qui me rappelait ma solitude. Nonobstant mon ignorance, je savais parfaitement que j'avais toujours été seule. J'étais entouré d'une masse de silhouette depuis mon arrivé sur cette terre mais, je préférais me faire à l'idée. Une lueur m'encourageait à garder ce creux. Malgré ceci, un aimable sourire se scotchait toujours sur mon visage. Pourtant j'étais pétrifiée de sentir toujours ce vide. Je sentais aussi toujours une main réchauffés ma joue, puis mon cou. A chaque fois que j'arrivais à cet instant, cette seule aide se retira, pour cette fois ci, laisser le cri strident de mon ennemi du matin, m'annoncer une nouvelle étape de ma vie.

La fac, mon premier jour à la fac ! L'endroit le plus jouissif que je connaisse. Le plus jouissif, étant donné que j'adore faire affluer une quantité incalculable de connaissances sans cesse dans mon cerveaux. La connaissance, la soif de connaissance était la chose la plus excitante que je connaissais. Depuis mon plus jeune âge, j'employais mon temps libre à lire des romans. Passion transmisse par Charlie, mon père. Il était chef de la police dans la magnifique petite bourgade de Forks où je passais une majeur partie de mes vacances d'été pour y découvrir et redécouvrir mes endroits préférer jusqu'à son déménagement à New York avec sa conquête : Marie. Cette femme était une perle, elle était gentille et très cultivé se qui m'avait insisté à m'entendre avec elle. La première rencontre que j'ai eue avec elle était attrayante. Elle ne me prenait ni pour une gamine, ni pour sa fille, se qui me convenait parfaitement. Au début notre relation était assez ambigüe, j'avais peur d'être remplacer dans le cœur de mon père, mais elle m'expliqua très rapidement qu'elle était gênée de cette situation tout comme moi mais qu'elle espérait que l'on devient amie. Malgré notre entente, je ne pouvais plus me rendre aussi souvent chez mon père.

A présent, je vis chez ma mère dans une petite ville de Rhode Island depuis quatre ans. Ma mère avait trouvé un travail de conservatrice de musée dans petite ville paisible de Cranston, aussi paisible que Forks la pluvieuse. Ma mère c'était fait à l'idée de quitté ses vitamines D de Phoenix pour déménager à Cranston pour me suivre dans mes études. J'avais été reçu à l'université de Brown ce qui avait fait la fierté de mes parents ainsi que de Marie. Je pouvais la contacté par e-mail et messagerie ce qui nous permettait d'entretenir le lien qui nous unissait : mon père.

Je me décidai finalement d'ouvrir les yeux avec une grande gaucherie.

- Tu me contemple dormir depuis longtemps ? Demandais-je à ma mère en prenant appuis sur mes coudes en plissant les yeux pour faire le point. J'avais comme à mon habitude cette petite brume visuelle, qui m'annonçait un nouveau jour. Je passai sans douceur ma main dans mes cheveux.

- J'en sais rien, répondis ma mère en se levant du petit fauteuil en toile qui ce trouvait dans un recoin de ma chambre pour venir s'assoir à coter de moi. Elle semblait gonflée à bloque.

- Pourquoi ? Demandai-je à demi-voix tentant de me connecter à la réalité.

- Parce que !

- Parce que quoi ? Soufflais-je en bayent bruyamment.

- Parce qu'aujourd'hui c'est ton premier jour à Brown ! Et c'est un jour unique ! Continua telle en secouant l'appareil numérique devant mes yeux gonflés par la fatigue.

C'était bien Renée, elle devait avoir un souvenir de chacune de mes « expériences » ce qui était souvent pénible à supporter mais je ne lui en voulais pas. Depuis son divorce avec mon père, à mes 4 ans, elle n'avait que moi. Je m'entendais toujours bien avec ma mère, nous avions une relation exceptionnelle à vrai dire. Même si j'étais son opposée c'est-à-dire : calme, posée ainsi que sérieuse et studieuse. En revanche, je lui enviais son aplomb, ainsi que son espièglerie. Malgré tout, je lui devais ma culture musicale ainsi que cinématographique. Elle déployait une énergie incroyable à me faire connaitre des modèles comme Jane Austen ou Patti Smith. En ce qui concerne les hommes, je n'étais pas aussi doué qu'elle. Je n'avais pas son truc…

- T'es complètement dingue, soufflais-je en souriant.

- Non… juste sentimentale ! Mon bébé est devenu une adulte…

- Je t'en pris. Je ne suis pas une adulte ! J'en suis encore au stade des céréales, grommelai-je en repoussant les tissus qui me servaient de draps. Ce qui était sûr, c'est que je n'étais pas du matin, et c'était peu de le dire. Je fixai du regard, un poster d'un des groupes que j'appréciai. Tout les matins, j'avais le bonheur de me connecter à la réalité devant cette représentation photographique de Nirvana. Autre passion, que je partageai avec Angela ma meilleure amie depuis l'enfance qui était une véritable mordue de musique. Elle était fille de pasteur, se qui n'était pas toujours évident pour elle. Sa mère, elle œuvrait dans la librairie de la ville. J'adorais cet endroit, je pouvais y lire à outrance avec sa permission. J'offrais mon aide à sa mère, bénévolement dès que j'avais un moment de libre.

- Tu vas bientôt en devenir une.

- Y a pas un truc pour t'arrêter ? Bougonnai-je en me levant pour me diriger vers mon armoire.

- Hélas non ! Qu'est-ce que tu regarde ?

- Je regarde dans mon armoire.

- Pourquoi ?

- Pour y organiser une fête… pour m'habiller s'te bonne blague.

- Dis cheese ! Brailla ma mère.

- Quoi ?

Je pivotai vers Renée pour être éblouit par un flash qui me piqua atrocement les iris.

- Maman !

- Quoi ?

- Arrête… c'est flippant. Il manque plus que tu publies tes tirages dans le journal.

- Bonne idée ! Oh, souffla t-elle en fixant le cadre au dos de l'appareil, c'est floue. Aller prend la pose.

- Pardon ?

- Allez !

- Mam', la réprimandais-je prenant un réveil qui se trouvait sur ma coiffeuse, il est 6h00 du matin ! Il est 6h00 ! Alors par pitié ! Pitié laisse moi émerger, la suppliai-je en passant une main dans ma tignasse qui étaient bien emmêlé, si je me fiai aux touchés.

- Aller plus vite se sera fait, plus vite tu seras tranquille.

- T'es diabolique, je pris la pose en posant une main sur mon flanc tout en levant les yeux au ciel.

- Sa va pas, continua t-elle en prenant un air renfrogner.

- Pourquoi, expirai-je en laissant mes épaules s'affaisser. Maman, je vais être en retard.

- Ce n'est pas naturel.

- Je ne peux pas être plus naturelle que le matin.

- Qu'est-ce que tu es ronchon !

- C'est normal, je viens de me faire réveiller par la femme « lève-toi du pied gauche ! », persiflai-je retournant des affaires en boules dans mon armoire.

- Bon tans pis, sa fera l'affaire. Aller va te préparer. Je t'emmène !

- Euh… Maman, j'ai promis à Angela d'aller là chercher à la librairie et...

- Tu veux que je rate le jour le plus important de ta vie. Ah ça non !

- Maman sans vouloir te froisser, je me vois mal débarquer à l'université avec ma mère.

- Tu ne veux plus de moi ?

- Je n'ai pas dis sa mam'. C'est juste que je dois faire certaines expériences, seule… tu comprends ?

- Je comprends, affirma t-elle laborieusement en prenant une attitude de chien battu.

- Oh… alors là, ce n'est pas très jolie maman !

- De quoi est-ce que tu parles chérie ?

- Tu essaye de me faire culpabiliser. C'est vraiment un coup bas ! Soufflai-je en plissant les yeux, méfiante.

- Je ne vois pas se que tu veux dire, se défendit-elle en prenant une grimace candide, et… ça… ça fonctionne ?

Je cahotai la tête en laissant échapper un petit rire, j'agrippai des vêtements hâtivement, en lançant un dernier regard à ma mère en souriant.

- T'es pas croyable ! Bon je vais me préparer, y a un sacré trajet jusqu'à Brown.

- Tu as raison ma puce. Elle lâcha un éminent gloussement se qui me tranquillisa et m'annonça le début d'une extraordinaire journée. Du moins… je l'espère. Je tentai de contrôlé ma respiration du mieux que je pour en me préparent pour aller rejoindre Angela.


- Bonjour ! Criais-je en ouvrant la porte de la librairie. Y a quelqu'un ? Angela ?

- Bella !

- Oh ! Soufflais-je en posant une main sur mon thorax. Mr Webber, vous m'avez fais flipper !

- Flipper ? C'est quoi ça ? Me questionna t-il en faisant des yeux ronds. Au plus loin que je m'en souvienne, le père d'Angela m'avait toujours fait une peur bleu.

- Euh…

- Qu'est que c'est que sa ?

- Euh… ben un tee-shirt. Répondis-je en écartant les mains de ma poitrine. Bravo Bella tu viens chez les Webber avec un tee-shirt de rock.

- Vous ne devriez pas porter sa ! Constata t-il froidement.

- De quoi ?

- Ça ! Répondit-il sèchement en pointant mon tee-shirt du doigt en tenant dans une main un livre qu'il plaqua contre son torse.

- Metallica ? Ripostais-je naturellement. Vous aimez ? Demandais-je sarcastiquement au point au j'en étais, je n'avais plus rien à perdre. Il n'eu pas le temps de polémiquer qu'Angela apparaissait.

- Salut Bella !

- Salut Angela ! Prête ?

- Oui ! J'ai été au toilette trois fois… souffla t-elle en brandissant trois doigts.

- Merci pour les détaillent, mâchonnais-je en riant.

- Tu fini as quelle heure ? Lui demanda son père.

- 16h00.

- Tu rentre dès que tu as fini.

- Ne vous en faites pas mon révérend, je la ramènerais après l'avoir emmené dans un bar et la présenter à de vieux motards.

- Pardon ?

- Elle plaisante papa… elle plaisante, s'empressa de répondre mon amie en se retenant de rire.

- Les messieurs ont horreur des femmes qui rigoles, m'assura t-il en me pointant du point.

- C'est noter ! Répliquas-je en essayant de rester le plus sérieuse possible. Bon on devrait y aller.

- Oui tu as raison. Au revoir papa.

- Au revoir Mr Webber.

- Au revoir, articula t-il d'une voix neutre en me toisant jusqu'à ce que je quitte son champs de vision, ce qui m'arracha un sourire narquois.

Nous nous dirigeâmes à ma camionnette pour ensuite boucler nos ceintures.

- Mon père m'a fait un serment sur les dangers de la fac, encore, expira t-elle en s'affaissant dans le siège coter passager.

- C'est son boulot, il est pasteur je te rappelle, souriais-je en m'engagent sur la route pour l'Université de Brown.

- Ahahaha ! Très drôle ! Tu es désopilante.

- Je sais, je comptais faire carrière dans un cirque et abandonné mes études.

- Sa pourrait marcher si tu n'étais pas maladroite.

- Ouais…

- En attendant, je suis complètement flipper ! Je ne savais pas quoi prendre. Je crois que j'ai vidée mon bureau. Tu as pris quoi toi ?

- Ben… rien d'extraordinaire…

Elle saisissait de mon sac que j'avais déposé sur un des sièges arrière de ma Chevrolet et laissa échapper un « putain c'est lourd » ce qui m'arracha un rire sonore. Elle ouvrit avec vivacité celui-ci pour y saisir un de mes bouquins.

- « La Métamorphose » de Kafka, elle leva les sourcils. C'est bien ?

- Pas mal, j'en suis au milieu. Tu te rends compte qu'il l'à écrit alors qu'il avait 29 ans, m'emportais-je en souriant.

- Et « le groupe » de Mary McCarthy, attends… t'en a pris combien ? S'exclama t-elle en enfournant la moitié de son visage dans ma besace.

- Il y en a que cinq.

- Seulement cinq ? Répondit-elle caustiquement.

- Oui Kafka pour la nouvelle si je m'ennuie je peux me retourner sur le roman. Si je ne suis pas d'humeur je me reporte sur l'autobiographie. Après si j'ai du temps, je m'avance sur du théâtre, sinon j'ai le poème en cas d'extrême urgence.

- T'es bizarre ! Souffla t-elle en prenant une fausse moue rembrunie.

- Tu peux parler, ce n'est pas moi qui planque des centaines de cd de musique.

- Ouais mais tu sais comment mon père réagirait si il savait que sa petite fille écoute des musiques qui s'opposent à ses cantiques !

- Tu devrais tout de même lui en parler.

- Non je ne crois pas. Toi tu pourrais en parler à ton père, mais là on parle du mien.

- Ouais t'as raison, admettais-je désoler pour elle.

Nous continuâmes de parler de tout et de rien pour évité de penser au stresser causé par cette nouvelle aventure. Au bout d'une heure trente, nous étions arrivées, enfin ! Je tenais fermement la portière pour ne pas tomber à la reverse. C'était magnifique, de grands bâtiments en briques rouge étaient implantés sur ce terrain de verdure sur laquelle grouillait des tas d'étudiants. Certains perdus, d'autres semblaient blasés moi j'étais heureuse. Wow ! Fut la première chose à laquelle je pensais. La seconde fut : où est la bibliothèque ? Je m'élançai à la découverte des lieux avec Angela, elle sembla tout à fait dans son élément. Moi je me sentais : Bien. Une grande première pour moi de me sentir bien avec autant d'individu dans un même lieu. Mes options étaient déjà prises : littérature, ainsi que culture japonaise entre autre. Je ne voulais pas me submerger d'activités alors que je débutais. Par chance la première semaine, était la semaine shopping. Une fois tous les documents en main, je fis le point avec mon amie.

- Alors tu as quoi ?

- Cour d'économique et toi ?

- Littérature, m'enthousiasmai-je heureuse en serrant un de mes ouvrages contre ma poitrine.

- Droguer !

- Ben quoi je suis contente d'avoir ce cours !

- Je sais, il te faut ta dose, allez va !

- Merci.

Je crapaütai en regardant de gauche à droite pour découvrir certaines salles qui étaient ouvertes. Pour arriver, finalement, devant un groupe de fille qui tenant des livres de littératures. Elles semblaient très… excitées. Premier contacte à la fac. C'était le moment, je devais faire un effort et je devais confirmer mon hypothèse pour savoir si je ne me trompai pas d'endroit. Je m'élançai à leur rencontre.

- Euh… Salut, chuchotai-je timidement.

- Salut, répondit une blonde qui se tenait dos à moi.

- Je voulais savoir si le cours de littérature c'étais bien ici ? Demandai-je en désignant l'amphithéâtre.

- Oui.

- D'accord, ben merci, waouh ! Quel échange ! J'avais donc à faire à une monosyllabe.

- Tu vas suivre se cour ? Me demanda une autre file.

- C'est une question rhétorique je pense, sifflai-je en riant. Pourquoi ?

- Oh parce qu'il est carrément canon ! Me coupa une autre fille.

- Qui est « carrément canon », questionnais-je la fille en mimant des guillemets.

- Le prof de littérature ! J'espère qu'il donne des cours particuliers, souria t-elle en haussant les sourcils de manière suggestive, ce qui m'arracha un sourire de pitié pour ses filles. Ceci explique leurs gloussements qui résonnaient dans le hall. L'éternel mythe du prof sexy qui séduit ses élèves avec un sourire simple sourire. Adoptant une attitude sensuelle, sans sans rendre compte. Pitié sa me donnait envie de vomir ! J'étais cerné, je ne concevrais jamais ce fantasme nourrit par un paquet de nana, ce qui devait être le cas de ce groupe. Un prof, c'est… quelque chose de « sacré » ? Peut-être pas, mais c'est quelqu'un d'important à qui on devait un certain respect. Mais apparemment, c'est un point de vue que je ne partagerais pas avec toutes les filles du cours de littérature. Trop absorbé par les informations que la fille divulguait sur ce fameux prof, les élèves n'avaient même pas remarqué que la salle était ouverte. J'emboitai le pas dans l'amphithéâtre.

Mon dieu, c'était immense ! J'adorai l'odeur que dégageais cette salle. J'inhalai en ferment les yeux. Je me dirigeai avec un sourire de satisfaction, vers l'estrade ou se situait le bureau du professeur. Je ne pu m'empêcher de caresser la surface du bois pour me trouver face à la chaise destiner au professeur. Je me mordillai la lèvre inférieure en jetant un rapide coup d'œil vers la porte. Je ne pu résister de m'installer sur cette chaise qui trônait. Je déposai mes mains sur les accoudoirs pour me caler correctement. Laissant ma tête tomber en arrière, mes paupières se fermèrent pour profiter de se moment.

- je ne pense pas que c'est ta place ? Dis une voix sauve et rauque. Ce qui m'extirpa de ma transe, je me levai d'un saut du siège.

- Excuse moi, mais j'avais tellement envie de voir se que sa fait, avant que le prof arrive.

- Je vois…

- Tu dois me trouver bizarre ? Demandai-je en jouant avec mes poches avant de ma veste.

- Non, cocasse seulement.

- C'est… nerveux, dis-je en descendant de l'estrade pour me planter face à lui.

- Je comprends. C'est toujours excitant les nouvelles expériences.

- Oui. Si tu le dis, murmurai-je en m'empourprant. Il était charmant. Il était même plus que ça. Il semblait sympathique et devais avoir deux ans de plus que moi, peut-être trois à tout casser. J'aimais la former parfaite de son faciès ainsi que de son nez droit, ses lèvres fines mais généreuses malgré tout qui semblait être une invitation à y poser d'innombrables baisés. A présent, j'aimais le vert émeraude que dégageaient ses yeux qui s'associaient parfaitement à la couleur de ses cheveux cuivré qui étaient désordonnés.

- C'est bien ici, le cours de littérature ?

- Probablement. Si tu te pers, tu n'as qu'à suivre le groupe des filles en transe et tu y es, répondis-je en me pinçant les lèvres de manière machinale. Il souria en passant sa main dans ses cheveux.

- Le prof de littérature à la cote à on dirait.

- D'après les gloussements de ses filles, je désignais le groupe de fille avec mon pouce, il est selon leur propre terme : « carrément canon ». Mes derniers mots, lui arracha un sourire amusé.

- Et toi qu'en penses-tu ?

- Je ne peux pas juger je ne l'es jamais vue. Et puis je trouve sa plutôt… pathétique.

- Ah oui ?

- Oui le cliché du prof sexy est pathétique. Je suis sur que c'est un type prétentieux et arrogant qui profite de sa cote pour flatter son égo, lâchai-je avec un petit sourire.

- Pourquoi tu dis sa ? Son ton était devenu beaucoup plus sec.

- Un pressentiment, souriais-je en mettant une main dans mes cheveux. Il semblait ne pas apprécier ma réponse. Il fronça les sourcils en détachant son regard du mien. Je me mordis la lèvre inférieure. Alors ? Soufflai-je en glissant mes deux mains dans mes poches avant de jean. Je vacillais légèrement en avant et en arrière. Je devais casser se silence qu'y venait de faire acte de présence. Humm… Et toi, tu l'as déjà vue ce fameux prof ?

- Euh… En quelque sorte.

- En quelque sorte ? Répétai-je curieuse. Un avis masculin sur ce type pourrait m'aider à en savoir plus. Je devais prendre en compte de la solidarité masculine. Il n'eu pas le temps de répondre que mon portable vibra dans ma poche de jean. Excuse moi je dois…, m'excusai-je en brandissant mon portable pour désigner le couloir. Je m'éclipsai dans celui-ci pour pouvoir lire tranquillement le message.

« Prend des photos ma puce, j'espère que tu ne t'es pas mis tes camarades à dos avec ton « sens de l'humour ». Courage, je t'embrasse maman. »

Sa m'aurait étonné que Renée ne soit pas essayer d'inclure sa présence dans ma première journée à la fac. « Mes camarades », ce terme me faisait doucement rire. J'avais la très nette impression que ma mère avait du mal à accepter mon évolution, dieu merci l'explication sur les relations sexuelle n'a jamais été aborder. Ce qui soit dite en passant, n'avait jamais eu lieu de l'être. Mes relations amoureuses se limitaient à un verre ou une sortie au ciné, rien de très trépidant. Angela m'admonestait d'être trop polariser sur mon travail. Ce qui me satisfaisait parfaitement. Je savais précisément l'image que je dégageais aux yeux des hommes. Non enfaite, je ne savais pas car je ne dégageais aucune image parce que j'étais entièrement imperceptible. Ma présence était inexistante. J'enfournai mon portable dans mon jean en m'assurant que celui-ci était bel et bien éteint. Je retournai dans l'amphi pour prendre place au moment où la cloche sonna. Je balayai la salle du regard pour retrouver le garçon de l'amphi. Malheureusement rien, il semblait s'être évaporé. Il avait surement du retrouver un ami, ou bien une amie ? Rahh, Bella stoppe tu te monte le bourrichon pour rien. Je levai le regard pour détailler les gradins, afin de voir une fille qui appartenait au groupe de toute à l'heure me faire un signe de main. Je serrai d'une main la lanière de ma besace en crapaütant les marches jusqu'à elle.

- Je t'ai gardé une place, s'exclama t-elle en souriant. Elle fit avec sa main, pression, sur l'assise pour que je puisse m'assoir.

- Oh, merci c'est très gentil, lâchai-je bêtement dans un souffle en ajustant une mèche de cheveux derrière mon oreille. Je me laissai tomber sur le siège en sortant un carnet ainsi qu'un livre au cas où se cour soit me lace. Je posai ma main gauche sur celui-ci pour jouer avec les pages en commençant à mordiller le bout du capuchon.

- Moi c'est Alice Brandon, commença t-elle en me tendant sa main.

- Moi Bella Swan, Bella c'est moi, répondis-je en souriant.

- Enchanté, elle c'est Jessica Stanley, murmura t-elle en désignant la fille de toute à l'heure qui était à ma gauche.

- Enchanté, était la seule chose que j'avais trouvé à répondre. Je n'étais définitivement pas sociable. J'aurais tellement aimé qu'Angela prenne cette option avec moi. Pourtant sa mère l'avait poussé à essayer mais elle avait refusé en bloc chacune de ses tentatives à mon grand désespoir. Heureusement pour moi la dite « Alice » semblait vraiment gentille. Elle ressemblait à un lutin, image loufoque, mais pas dérangeante pour ma part. Elle ne devait pas dépasser les 1m50 et se trouvait être filiforme. Ses cheveux noir pointait dans tout les sens, d'où l'image du lutin, ceci consolidait mon hypothèse sur son caractère qui avérait espiègle.

- Alors tu l'as vue ce prof ? Me questionna Jessica.

- Non toujours pas, murmurai-je en affichant un sourire en coin. Je vis le fameux garçon de toute à l'heure faire son apparition dans la salle. J'allai me lever pour lui faire signe de ma présence lorsqu'il prit la parole.

- Bonjour à tous !

Le brouhaha s'arrêta en quelques secondes.

- Bien, reprit il, maintenant que j'ai votre attention, je suis le professeur Edward Cullen, continua t-il en s'adossant à son bureau en croisant ses bras contre sa poitrine. Je m'empressai de m'enfoncer contre la chaise en bois lorsque je sentis me monté le rouge au joue.

- Putain, c'est lui le prof de littérature ? Chuchotai-je à Jessica.

- Oui, il est canon hein ? N'avait-elle donc que sa dans la tête. Moi je pensais plutôt à la gaffe de toute à l'heure. Pour un premier contacte avec le prof de ma matière préférer, on pourrait l'appeler comme explosif. C'était bien mon genre de gaffer de la sorte. Je commençai à griffonner nerveusement sur une feuille en réalisant des petits cercles plutôt mal exécuté. Waouh, reprit Jessica, il me fait un effet bœuf ! Me murmura t-elle en se mordant un ongle, tout en se trémoussant sur sa chaise.

Je fulminai intérieurement. Génial ! A présent, je devais supporter les gloussements de cette fille. Oui, il était vraiment attirant et séduit et tout ce qui c'en suit, mais je me sentais vraiment mal à l'aise pendant tout le cours. Edward nous fit un laïus en rapport à son âge et à ne pas s'y fier et de ne pas prendre ceci comme argument pour juger ses cours. Il paraissait passionner par la littérature et aimer parler de cette passion. Ce cours fut stimulant pour ma personne. D'un point de vue culturelle bien entendu, contrairement à la ordre de filles qui semblaient obnubiler par le physique parfait d'Edward. Ses mains étaient un réel enchantement à voir, je dois bien l'avouer que ce type était d'une beauté à vous damné mais c'était mon prof. Qui plus est, il semblait répondre aux critères que j'avais malheureusement dévoilé à celui-ci. Sa manière de s'exprimer était hautaine et arrogante. Son habitude m'exaspérait prodigieusement avec ses petits sous-entendus, que je prenais pour moi si je me fiais aux regards froids qu'il me réservait à chacune de ses phrases. Malgré sa froideur, mon cœur semblait se réanimé à chacun de ses regards. Ils étaient intenses, perçant et même blessant. Sa voix était suave ce qui liquidifiait une partie de la gente féminine, pour moi, les battements de mon cœur se succédaient une vitesse déraisonnable. L'atmosphère était pesante à la limite de l'écrasement. Je savais parfaitement que mes propos n'était pas oublié, malheureusement. Il nous étalait sa science de manière agaçante, ce qui semblait déranger personne… sauf moi. Les deux heures de cours passèrent rapidement, trop rapidement à mon gout. Je devais être masochiste de vouloir subir encore ce traitement. La voix rauque de mon professeur perça ma merveilleuse bulle d'isolation.

- Bon notre premier cour est fini, commença t'il en tapant dans ses mains pour les liés, n'oublier pas pour le prochaine cours de m'apporter un ouvrage qui vous a plus et de m'en faire un résumer. Ce sera tout ! Bonne journée.

Je rassemblai rapidement mes affaires en acquissent les paroles de Jessica qui clamait la perfection de notre professeur. Certaines remarques sur son postérieur m'arrachèrent une grimace cachée par ma tignasse qui me chatouillait les joues. Alice me proposa de déjeuner avec elle mais je dû m'étaler en excuse en lui expliquant qu'un ami extérieur venait pour connaitre mes premières impressions. Elle m'assura que ce n'était pas un drame et que se serait pour une prochaine fois. Une masse d'étudiants s'empressèrent de sortir. Je tentai de me fondre dans la masse pour ne pas avoir à faire au regard épineux d'Edward Cullen. Je priais pour que mon pouvoir d'invisibilité naturelle face effet mais à mon grand désespoir il n'en fit rien.

- Mlle Swan je pourrais vous voir un instant ?

- Bien sûr, lâchai-je dans un faible souffle.

- Petite veinarde, me murmura Jessica en passant tout en battent des cils à l'intention d'Edward. Pitoyable ! Veinarde ? Tu parle ! Je te laisse volontiers ma place. Edward s'avérait redoutable pour me mettre mal à l'aise.

Edward et moi étions à présent seuls dans cette immense pièce. Je tortillai mes mains, mal à l'aise. Mon acharnement sur elles étaient tel, que mes doigts étaient endolorie. Il s'occupa de remettre des feuilles correctement, ce qui me mettait d'autant plus mal à l'aise.

- Alors Isabella, je serrai la mâchoire à la prononciation de mon prénom dans sa totalité. Est-ce que mon cours vous a parut approprier. N'ai-je pas… comment aviez vous dit ? Ah oui été trop prétentieux ainsi qu'arrogant et qui profite de sa cote pour flatter son égo.

- Ecouter, profe… euh… monsieur, mon dieu sa sonnait tellement faux que j'en bafouillai. Je regrette ce que j'ai dis toute à l'heure, si j'avais su qui vous étiez…

- Vous ne me l'auriez pas dis ? Me coupa-t-il en ferment rapidement sa sacoche.

- Ce n'est pas…

- Mademoiselle Swan, vous êtes bourrer de préjuger. Avec une telle attitude, continua t-il en soulevant son sac prêt à partir, vous n'arriveriez à rien dans mon cours. Il me fit une grimace ce qui fit apparaitre un sourire en coin avec une plissure sur son nez.

Non mais pour quoi il se prend ? Il ne connait pas mon travail ni mes aptitudes et il se permet de me juger. Une envie de rébellion s'installa aussitôt et je me permis donc de lui répondre.

- Je ne comprends pas ? Me défendi-je avec un ton plus sec que je n'aurais voulue, il me regarda désarçonner sur le seuil de la porte. C'est vrai, vous ne me connaissez pas, et vous ne connaissez pas mon travail. Alors pourquoi me juger ainsi ?

- Vous l'aviez bien fais envers ma personne, touchez Bella me dis-je à moi-même. J'espère que votre attitude sera beaucoup plus humble sinon je ne vois pas ce que vous faite ici.

Je n'eu pas le temps de me rétorquer qu'il me lança un « bonne journée » sur un ton sec en affichant un air satisfait. Tant dis que moi je restais là comme une idiote, dans l'amphi vide, avec sa voix qui résonnait de manière interminable. Je bouillais intérieurement. Il n'avait qu'environs trois ans de plus que moi à tout casser et il se permettait de me donner des leçons. Je haïssais sa manière de se moquer de moi. Je haïssais la manière dédaigneuse qu'il avait de tournée mes propres propos contre moi. C'était certifié j'exécrais Edward Cullen !


Voila la fin de ce premier chapitre. Pour tout vous dire je suis vraiment stresser :) . L'idée du prof n'est pas très originale mais c'est le début de la fiction. J'espère que sa vous plait. Je stresse d'avoir vos avis. Qu'en penser vous ? Reviews ?