Bonjour à tous ! Alors voilà je poste le premier chapitre de ma première fic Hp en espérant qu'elle plaira ! Elle se passe après le tome 6 et je n'ai pas encore lu le tome 7 !

Il y avait longtemps que je voulais écrire ça mais je ne savais pas trop quoi en penser ! J'attends les reviews avec impatience ! Dites-moi tout ! S'il y a des fautes ou des problèmes de compréhension que je puisse rectifier ça !

En attendant, bonne lecture ! ;)


Il regardait les passants, les détaillants de la tête au pied, sans gêne. Voilà ce qu'il faisait depuis des semaines. Regarder les gens vivre, en soupirant. Il en avait assez. Assez de tout ça. Il avait parcouru le monde pendant un an sans trouver de solution à son problème. Et c'était un problème de taille.

Un serveur sortit du café un plateau chargé à la main. Il y avait du monde sur la terrasse baigné du soleil de juillet. Une belle journée sur Londres. Le serveur slaloma entre quelques tables et s'approcha dangereusement vite de Sirius. Il ne l'avait pas encore vu, les bras croisés, debout au milieu du passage, il ne se souciait guère des vas et vient des personnes qui travaillaient ici. Il les connaissait déjà bien, il les avait observés si souvent. Le serveur continua sur sa lancé, traversa Sirius sans même ralentir et passa la porte du café comme si de rien était. Sirius grimaça. On s'habituait difficilement à ce que les choses nous traversent le corps, s'était une sensation désagréable. Il cria au serveur qu'il aurait pu s'excuser au moins, sans attendre de réponse. Il s'avança un peu sur la terrasse, lu quelques pages d'un livre inintéressant pardessus l'épaule d'un vieil homme barbu et fit les cent pas encore et encore. Il connaissait cette rue moldu par cœur, il l'avait parcouru de long en large de nombreuses fois et il aimait toujours venir ici. Il voyait des habitués et de nouvelle tête tous les jours. De jeunes amoureux, des amis, des solitaires, tous différents. Voir toute cette vie autour de lui, le rendait morose pourtant. Il soupira. Cela faisait un an. Un an qu'il ne vivait plus. Il avait suivit Harry partout au début, espérant un jour qu'il se rend compte de sa présence mais en vain. Il en était de même pour tout le monde. Aucun sorcier ni aucun moldu ne l'avait vu. Il repensa soudain à Dumbledore. Il était présent lorsque Rogue lui infligea le sort fatal. Sirius secoua la tête pour chasser ces images. Il enrageait face à la détresse d'Harry et il enrageait d'être si impuissant. Si seulement il avait un moyen d'interagir avec lui, de lui parler et de le rassurer.

Il jeta son pied violemment contre une chaise, la traversa et perdit l'équilibre. Il grogna. Vieux réflexe se dit-il.

Une femme s'approcha de la dite chaise et prit place. Il l'observa un instant. Elle lisait un journal, lunette de soleil sur le nez. Elle commanda une menthe à l'eau et regarda sa montre. Elle attendait quelqu'un peut-être. Sirius s'avança et se pencha pardessus son épaule pour lire le journal. Lire le journal moldu pouvait s'avérer quelque peu divertissant, parfois. La femme soupira, ferma le quotidien brusquement et se tourna vers lui l'air contrarié. Sirius se retourna pour voir ce qui la dérangeait mais ne vit rien qui méritait un tel mécontentement de la part de la jeune femme.

« Vous permettez que je finisse tranquillement mon journal ? Promis ! Je vous le donne juste après ! » railla-t-elle. Sirius se retourna encore une fois et recula.

« Pas la peine de vous retourner, c'est bien à vous que je parle ! » continua-t-elle.

« Je, que quoi ? » bafouilla Sirius. « Vous me voyez ? »

La femme haussa les sourcils et secoua la tête. « Bien sûr que je vous vois. » Puis elle rouvrit lentement son journal pensant sûrement que Sirius était un pauvre type. Il alla se planter devant elle en secouant vivement les bras.

« C'est pas vrai ! Vous êtes fou ma parole ! » s'exclama-t-elle. Sirius eut un rire nerveux, « Par Merlin ! Elle me voit ! Elle me voit !

- Bon sang ! Mais laissez-moi tranquille !

- Mais regardez autour de vous ! Tout le monde vous regarde de travers !

- C'est vous qu'ils regardent de travers !

- Non c'est vous !

- Non ! C'est vous ! » insista-t-elle.

Sirius alla vers le vieil homme barbu et agita frénétiquement ses mains devant son nez sans qu'il ne bronche. « Vous voyez ! Personne ne me voit ! Ils vous regardent tous bizarrement parce qu'ils croient que vous parlez toute seule !

- Vous êtes fou. » répéta-t-elle avec cependant moins de conviction.

Le vieil homme leva la tête vers elle et elle détourna son regard. « C'est à moi que vous parlez, mademoiselle ? » Elle lui fit un grand sourire faux « je répète une pièce de théâtre ! »

« Oh oh ! Bien joué pour l'improvisation ! » fit Sirius. « Vous n'avez pas l'air totalement convaincue pourtant !

- Excusez-moi ! Je ne rencontre pas tous les jours des hommes invisibles visibles juste pour moi ! » Sirius s'approcha d'elle, toujours surexcité. « Vous ne me croyez pas, hein !

- Si c'est une caméra cachée, je ne trouve pas ça très drôle ! Je venais ici pour me détendre un peu, j'ai eu une journée fatigante. »

Une caméra cachée ? Encore un truc de moldu se dit Sirius.

« Eh ! Regardez ! Regardez-moi par Merlin ! » dit-il en sautillant vers le vieil homme. Lasse, elle daigna lever son regard. Sirius se tenait tout près de l'homme et s'apprêtait à lui donner une puissante gifle.

« Qu'est-ce que vous faites ?

- Je suis en train de lire, mademoiselle ! » répondit le vieil homme plus amusé qu'agacé.

« Je vous montre ! » répondit à son tour Sirius.

« Vous me montrez ? » Alors qu'elle finissait sa phrase Sirius lança sa main contre la joue du pauvre homme et le traversa de part en part. Elle poussa un cri d'exclamation et faillit tomber de sa chaise. « Comment ? Qu'est-ce que ? » balbutia-t-elle.

« C'est ce que j'essaie de vous expliquer depuis tout à l'heure ! Ce n'est pas un de vos tours moldu, une caméra cachée ou je ne sais quoi ! Personne ne me voit ! Pour eux je n'existe pas ! » Pour appuyer ses dires Sirius passait et repassait son poing au travers du vieil homme qui la regardait, elle, avec inquiétude. « Est-ce que ça va, mademoiselle ? » demanda-t-il doucement. Elle ne répondit pas, prit son sac en tremblant, jeta quelques pièces sur la table et se précipita dans la rue. Sirius baissa les bras et tenta de se calmer. Son comportement hystérique l'avait certainement effrayé. Et certainement aussi le fait de passer au travers de cet homme se dit-il. Il courut à la suite de la jeune femme, s'il la perdait de vu, il aurait beaucoup de mal à la retrouver. « Attendez ! » cria-t-il, « attendez ! Je vous en prie ! Vous êtes la seule à pouvoir m'aider ! »

Elle l'ignora et continua à marcher.

« S'il vous plaît ! Vous êtes mon seul espoir ! » Il se tut et la suivit en silence quand elle se retourna brusquement. « Ne me suivez pas ou j'appelle la police !

- La police ! A quoi ça va vous servir ? Ils ne me verront même pas et vous prendront pour une folle ! »

Elle se rembrunit. Outch, se dit Sirius. La traiter de folle n'était pas vraiment une bonne idée. Elle se détourna et reprit sa course. Elle tourna au coin de la rue et entra dans un immeuble. Sirius la suivait toujours de loin, elle monta au premier étage, sortit un trousseau de clés de son sac et pénétra dans l'appartement 102.

Sirius resta sur le pas de la porte un moment pour la laisser digérer cette histoire.

Il n'arrivait pas à le croire. Enfin il trouvait quelqu'un qui pouvait le voir. Il se demanda comment cela était possible. A vrai dire il ne savait pas vraiment qu'elle rôle jouait ce voile derrière lequel il était tombé il y a an ; il était allé au département des mystères une bonne centaine de fois mais cela n'avait servit à rien, il n'avait rien pu apprendre. Il soupira, il allait devoir lui apprendre l'existence du monde sorcier. Il chercha le moyen le plus approprié d'aborder la chose. Il s'agissait de ne pas la brusquer. Il attendit encore quelques minutes et vit le nom de la jeune femme au-dessus de la sonnette avant de traverser la porte. L'appartement était plutôt coquet et agréable, il avança vers le salon et la vit sur le canapé la tête dans les mains. « Lou-Anne ? » tenta-t-il. Elle sursauta, « comment connaissez-vous mon nom ?

- Il est écrit, à l'entrée. Lou-Anne Smooth, c'est ça ? C'est un joli prénom. » Elle replongea sa tête dans ses mains, « partez s'il vous plaît.

- Je suis désolé mais non. Je ne peux pas.

- Pourquoi ? » demanda-t-elle en soupirant.

« Comprenez-moi, vous êtes mon seul espoir. Je sais que c'est difficile à croire ce qui m'arrive, surtout pour vous, mais essayez. Je vous en prie. »

Elle se redressa et il s'approcha. Elle renifla, « J'ai l'impression de devenir folle ! Je vous ai vu. J'ai vu votre main traverser cet homme. » Elle se passa une main sur le visage et se massa les tempes.

« Est-ce que c'était réel ? Je veux dire, je n'ai pas fermé la porte en entrant tout à l'heure. Vous avez très bien pu l'ouvrir et, et, et » bégaya-t-elle sans finir sa phrase. Sirius souffla. « Je n'ai pas ouvert la porte, Lou-Anne, j'ai simplement traversé le mur pour vous rejoindre. » Elle secoua vivement les mains devant elle, dans un signe de refus, et se leva brusquement.

« Mais c'est impossible ! » s'exclama-t-elle, « impossible ! Nous ne sommes pas dans un film ! Je, je rêve !

- Je vous assure que c'est bien réel ! J'ai conscience que cela soit difficile à avaler, dur à admettre, mais. Mais ce qui m'arrive est réel ! Je vous en prie laissez-moi tout vous expliquer. »

Lou-Anne ferma les yeux un instant puis se rassit sur le canapé. « Bien, racontez-moi votre histoire alors. Dites-moi ce qui vous est arrivé… Pour que vous soyez dans cet… Etat. »

Sirius se gratta le menton en se demandant par où il allait commencer.

« Seriez-vous entrain d'hésiter ?

- Non, non. Je n'hésite pas. Tout d'abord vous devez savoir quelque chose mais ce que je vais vous apprendre ne va pas être facile à avaler.

- Vous l'avez déjà dit, et au point où j'en suis. » Elle lui fit signe de la main de continuer.

- Je vais aller droit au but… Je suis un sorcier. » Il marqua une pause et observa sa réaction. « Vous vous foutez de moi là ? Dites-moi vraiment ce qu'il se passe.

- Je ne me fous pas de vous ! Il existe, caché de la vu des moldus, le monde sorcier.

- Moldu ? Vous avez dit ce mot aussi tout à l'heure, qu'est-ce que c'est ?

- Les moldus, c'est vous. Les gens sans pouvoir magique. Il y a les sorciers, nous, et les moldus, vous !

- C'n'est pas vrai je rêve ! »

Sirius se mit en tailleur sur le sol, près à raconter une longue histoire. Lou-Anne le regardait avec des grands yeux d'enfant étonné. « Est-ce que vous pouvez prouver ce que vous dites ?

- Et bien, là tout de suite, maintenant…Non ! Il me faudrait une baguette.

- Une baguette ?

- Une baguette magique, oui. Elle nous permet de lancer des tas de sort, pour faire la cuisine, le ménage, sauver des vies ou… faire la guerre.

Il grimaça.

- Votre monde est en guerre ? » demanda-t-elle.

« Ce n'est pas encore une guerre ouverte mais comme les choses sont entrain de tourner j'ai peur qu'elle le devienne. »

Lou-Anne ne sut quoi dire.

« J'ai peur qu'elle ne fasse beaucoup de victimes innocentes. Elle a déjà fait des victimes en fait.

- Vous ? » devina-t-elle.

« Innocent n'est pas vraiment le mot juste en ce qui me concerne mais tous mes amis, le peu que j'ai, et les autres croient que je suis mort. Lors d'une bataille je suis tombé derrière un voile. On dit qu'il cache la mort.

- C'est pour cela qu'ils vous pensent mort.

- Oui et au lieu de ça je suis devenu passe-muraille » dit-il en agitant sa main à travers la table basse. Lou-Anne grimaça, « évitez de faire ça s'il vous plaît. C'est assez dérangeant.

- Bien sûr. Désolé.

- Vous êtes en guerre contre qui ?

- Contre un sorcier puissant et fou, Voldemort, et ses partisans. Il hait les moldus, si la guerre éclate, la guerre ouverte j'entends, vous êtes en danger. Les mangemorts, les partisans, ont déjà attaqué des moldus mais cela a été déguisé en attentats ou en catastrophes naturelles, enfin vous voyez quoi. »

Lou-Anne soupira, « Pourquoi cet homme nous en veut-il ?

- C'est du racisme envers vous, une haine profonde qu'il cultive depuis qu'il est enfant. Je crois que dans votre histoire il y a un fait semblable. Comment s'appelait cet homme qui a tué des milliers de gens simplement parce qu'ils n'étaient pas de sa « race » », dit-il en mimant les guillemets.

« Hitler ? » demanda-t-elle surprise.

« C'est ça oui ! J'ai un peu étudié l'histoire moldu au collège et j'ai des restes ! » fit-il en souriant. « Voldemort est dangereux » continua-t-il, « si vous m'aidez, je pourrai être d'une grande aide pour l'ordre en l'espionnant.

- L'ordre vous dites ?

- L'ordre du Phénix, sorte de résistance si vous voulez.

- C'est vrai qu'en tant que passe-muraille vous pourriez leur être d'une aide précieuse.

- Ca veut dire que vous acceptez de m'aider ?

- Si je dois en passer par-là pour me débarrasser de vous !

- Eh ! Suis-je si insupportable ? »

Lou-Anne sourit. « Comment vais-je aborder vos amis ? Si votre monde est caché du nôtre comment pourrais-je y accéder ? Il y a un portail, une porte ou je ne sais quoi ? »

Sirius rit « ce n'est pas si compliqué. Vous avez très certainement croisé des sorciers auparavant sans vous en rendre compte, Nous vivons tous dans le même monde !

- Je vois » dit-elle.

«Des amis se marient bientôt. » continua Sirius. « Tout le monde sera réuni au même endroit. J'aimerai » il hésita, « j'aimerai que vous contactiez mon filleul, Harry.

- Ca va lui faire un choc de savoir que vous êtes toujours vivant. Vous ne préfèreriez pas contacter quelqu'un d'autre d'abord ?

- Non, je sais qu'il se demandera pourquoi ce n'est pas lui que j'ai cherché à contacter en premier.

- Bien ! A votre guise ! »

Elle soupira, « écoutez, ça vous dérange si on remet ça à demain ? Je suis fatigué et j'aimerai prendre une douche avant d'aller me coucher. Vous savez où j'habite alors repassez demain matin et je contacterai vos amis !

- Je comprends. Je reviendrai demain alors. » Sirius se dirigea vers la porte et se tourna vers Lou-Anne avant de la franchir, « bonsoir, et merci pour tout. »

« Bonsoir, et merci pour tout. »

Lou-Anne sourit poliment à cet homme étrange et grimaça une fois encore en le voyant traverser la porte. Elle songea soudain qu'elle ne connaissait même pas son nom. Lui demander serait la première chose qu'elle ferait le lendemain.

Elle secoua la tête. C'était incroyable. La magie existait ! Elle avait du mal à imaginer un monde de magie sans que tous les clichés des livres, films ou autres séries télévisées ne lui viennent à l'esprit. Tout ce qu'elle avait appris ce soir lui tordait les entrailles. Elle n'arrivait plus bien à penser. Elle se força à manger une pêche avant de sauter sous la douche. L'eau chaude qui coulait sur son visage l'aidait à se vider la tête. Plus cela allait et plus elle se disait que cette histoire changerait sa vie et sa vision du monde.

Sa vie. Pendant combien de temps allait-elle être suspendu ? Quelques jours ? Ou quelques mois ? Parce qu'assurément elle allait devoir rester avec ces sorciers pour qu'ils puissent communiquer avec le passe-muraille. Mais ils auraient sûrement une solution pour le faire revenir dans le monde réel alors il ne resterait pas longtemps dans cet état et elle pourrait retourner à sa vie banale.

Lou-Anne jura soudain. Elle venait de se souvenir qu'elle dînait avec ses amies le lendemain soir. Elle devrait annuler pensa-t-elle en soupirant.

En fait, elle espérait fort que cette histoire soit vite réglée. Elle ne savait rien de cet homme ou de ses amis et elle n'avait pas envie d'être mêlée à leur guerre.

Elle soupira en sortant de la douche. Cela lui ferait peut-être du bien enfin de compte de sortir du train-train quotidien de sa vie. Elle cherchait encore du travail elle n'avait donc aucune contrainte, pas de petit ami, d'enfant à garder, de chat ou de chien. Qu'est-ce qui l'empêchait de se jeter à corps perdu dans cette histoire de fou ? « A part une trouille énorme ? » dit-elle à voix haute.

C'était cela, oui. Elle avait peur et il y avait de quoi se dit-elle. Et s'il lui avait menti ? Si c'était lui qui haïssait les moldus – elle se surprit à utiliser ce mot « sorcier ». Elle se reprit en secouant la tête. S'il la détestait tellement, comme ce Voldemort – drôle de nom pensa-t-elle – il ne se promènerait pas dans la rue au milieu de tous ces gens et il ne se serait pas rabaissé à lui demander de l'aide. Et pourquoi lui tendre un piège ? A quoi cela lui servirait ? « C'est complètement absurde ! » Elle frappa du poing le bord du lavabo.

Je devrais arrêter de me poser toutes ces questions pour l'instant, pensa-t-elle en se séchant les cheveux. Elle allait avoir du mal à dormir, c'était sûr.

Lou-Anne se dirigea vers sa chambre et s'allongea sur son lit. Elle n'avait pas menti tout à l'heure, elle était fatigué. Elle avait aidé son voisin à déménager, et elle se dit un instant que si elle n'avait pas transporté des cartons toute la journée, elle n'aurait pas eut l'envie de sortir de l'immeuble pour se détendre en terrasse et elle n'aurait pas rencontré cet homme. Elle essaya de se vider la tête. Les yeux fermés, elle fixa un point imaginaire et se concentra pour y faire converger toutes ses pensées. Elle avait lu cela dans un livre où des hommes, grâce à la méditation, tentaient de visiter la mort. Elle ne voulait pas mourir, juste s'endormir.