Bonjours à tous, bonjours à toutes, je vous retrouve en ce 1er avril pour une petite fic surprise pour vous remercier de me suivre, de me lire, de me permettre de vivre tout ça ^^

Cette fic est donc dédiée à Emrys, PialStigma, idadri, Salem75, EuropaLuce, baronnis,Tiffou, Skouare Enix, Sweety, DreamPoudlard, naecov, izaiza14, coco800, Mini-Yuya, HPFFan, Pussy,adenoide,Dymitry,Lisou Aure,Rem san, Guest,annadriya,scpotter, Hanabira, jojo1983, cat240, sheltan, et Iris-kun, musme,Tsuh,Beebeul,Clamaraa,Ouragan,, Proki, , Luxile, Xanara, Foxyju Didine Halliwell, Salem, SoapOpera, Di castillo de mortes, Xanara, Phœnix de Feu, Alice, et ,ptitcoeurfragile,Sevy, Anamaelia, narustory, thlec, kthi, ines, presea, Mademoiselle Mime, Lilia, hasdrubaal92, berkano, Phoenix De Feu, Patmoll, Maximilien, Demeter07, Foxyju, Liily01, AEIO10, Polskabi, SarahBlackxx, LaPlumeDeJoy, Alexy971, Chotsala, marie, melu49, DreamPoudlard, berkano, maraudersGirlHP, THL, Polskabi, Presea, Alycia Panther, Remus J. Potter-Lupin, Hary, Caro, miavie et dididu58 Chotsala, Celia123,Pika-Clo ,spike, Neyel, melu49, Yumi, Karozthor the Necromagus, EchoLune et Geof.

(J'ai surement oubliée certains d'entres-vous, si c'est le cas, dites le moi ^^ )

La Moisson.

Chapitre 1 : une lueur dans l'obscurité.

Harry Potter était tranquillement assis sur un petit rebord d'une quelconque boutique du chemin de Travers, un cigarette fumant entre ses lèvres. Autours de lui, une dizaines d'hommes l'entouraient en silence tandis que le jour faisait doucement place à la nuit. Attendant son ordre. Patiemment. Ce n'était qu'un jour comme les autres après tout.

-On va pouvoir y aller. L'informa un de ces hommes, un grand gaillard, visage pâle et cheveux noir attaché dans le dos en une tresse. Tous portaient une robes mauves, un « M » cousu dans le dos représentant l'emblème du Ministère de la Magie.

Harry hocha la tête et après une profonde inspiration, il se leva et sorti sa baguette, laissant sa cigarette mourir doucement sur le sol. Seule une faible lueur rougeâtre survivait encore à l'obscurité qui l'enfermait. Il s'approcha d'une porte en bois derrière lequel s'échappaient des rires et des chants.

Personne ne se doutait de rien.

Ou alors, ils ne le montrait pas.

-MacPherson, Dumon, Adam, vous faites le tours, bloquez la porte de derrière. Kent et Lewis, vous faite le guet ici. Lucan et les autres, avec moi. Ordonna le commandant du petit groupe.

Les hommes répondirent par un "oui Monsieur" discret mais franc. Harry laissa un sourire franchir ses lèvres en regardant ses braves gaillard, tous fier de défendre leur cause. Celui qui l'avait informé que l'heure était arrivé vint se placer à ses côtés, une baguettes dans une main et une dague dans une poche. Lucan était de loin le meilleurs de son escouade, après lui-même bien sur. Il était puissant, rapide, fort et surtout, il était un soutient moral primordial pour Harry. Il était le seul ami qui lui restait à présent. Mais peut importe ses anciennes amitiés. Sa mission comptait plus que tout.

-On y va, et bon courage à tous. Leur souhaita Harry.

Puis il fit exploser la porte.

Immédiatement, les rires et les discutions cessèrent et tous se tournèrent vers l'explosion. En quelques secondes, l'air devint lourd d'angoisse.

L'intérieur était un bar, charmant entre autre, où des citoyens se reposaient d'une dure journée de labeur. C'était comme ça depuis la mort de Voldemort : le Ministère imposait à tous beaucoup plus de travail, pour tout reconstruire, pour panser les blessures, pour oublier. Et proportionnellement, les lieux de détentes et de loisirs avaient vu leurs clients affluer. Mais ce n'était qu'une illusion : rien n'allait mieux : la plupart des Mangemorts couraient toujours, certains même étaient toujours en poste au Ministère. Les gens avaient peur, craignaient pour leur vie et leurs famille...Et maintenant, il y avait ces épurations...Et plus personne pour les protéger : l'Ordre n'existait plus, la plupart de ses membres morts, disparus ou recherchés. Tous le monde suspectaient tous le monde...

Dans la salle, des murmures, craintif, s'élevèrent doucement. Tous avaient reconnu la tenue officiel des « agents spéciaux ». Ils provoquaient la peur, car chacun pouvait se retrouver sur leur tristement célèbres listes : celle des « moissons » : une liste de personne jugée dangereuse par le Ministère. Et ceux qui étaient emmené ne revenaient jamais.

Ils disparaissaient. Et on ne parlaient plus d'eux. Par peur.

Harry s'avança dans la salle, la tête haute, ignorant les regard de haine de la plupart des buveurs, ignorant les « pourquoi » susurré au vide : La guerre avait changé tout le monde, lui en particulier. Oui il avait tué Voldemort. Oui il avait sauvé le monde sorcier. Et oui, à présent, il était chef d'escouade de la « moisson ». Terrible mais noble mission qu'il s'était vu confier par Dolorès Ombrages, directrice du département des créatures magiques.

-Je suppose que vous savez pourquoi nous somme là ? Demanda Harry en fixant le barman. D'après les informations qu'on lui avait fournis, c'était lui le parton du bar. L'homme, un grand homme musclé hocha la tête, défiant Harry du regard. Son regard était pourtant incertain et ses mâchoires crispées laissait clairement apercevoir sa tension.

-Il n'y a personne ici.

Lucan murmura un « évidement » amusé en faisant le tour de la salle, dans ses mains, un petit carnet ou étaient écrit, à la suite, des noms :

- Il nous à été révélé que Maximilien Conor, Olivier Neil et Bill Weasley seraient présent ce soir.

Encore une fois, seul le silence leur répondit alors qu'Harry songeait, toujours alerte au moindres bruit ou mouvement suspect : Bill Weasley, le plus vieux fils des Weasley. Un des frères de Ron, son ancien meilleur ami. Bill Weasley qui c'était fait mordre par Fenrir Greyback pendant de la bataille final et qui, dès lors, avait signé son inscription sur cette bien funeste liste. Quand aux deux autres, il s'agissait respectivement d'un demi-fée et de l'époux d'une vampire. Pas très pur...

-Il n'y a personne ici. Répéta le barman. Avec cette fois une certaine assurance dans la voix, même si son regard commençait à le trahir. Alors Harry fit signe à ses hommes jusqu'alors restés en retrait d'avancer et de fouiller le bâtiment. Et en même temps, il s'approcha du bar et de son occupant, parlant à voix basse mais d'une voix pourtant parfaitement audible par quiconque :

-Vous savez ce que vous encourez en cachant des informations ou en tentant d'entraver la progression d'envoyé du Ministère de la Magie... La voix d'un jeune garçon était douce, mais pleine de menace. Tous savait le sort qui était réservés à ceux qui mentaient aux Moissonneurs. Le Ministère de la Magie ne pouvait pas reconstruire une société sur des êtres dangereux et immoraux. Tout ceux qui résistaient était systématiquement éliminés.

Alors, avec lenteur et une certaine affliction dans le regard, il se décala d'un mètre sur le côté, révélant sous ses pieds une trappe en bois qui menait sans doute à la cave. Un silence lourd de reproche c'était installé, chacun connaissant le sort de ceux qui c'étaient dissimulé. Mais qui faire d'autre que d'obéir ?

Harry acquiesça en silence, une certaine indulgence au fond des ses yeux vert émeraudes. Et toujours sans faire le moindre bruit, il fit signe à ses hommes qui étaient revenu de passer derrière le bar, puis il les suivit.

La cave en dessous du bar étaient plongée dans l'obscurité, et encombrés de tous ce qui était nécessaire à l'entretiens d'un bar : bouteilles vides et pleines, tables, nappes, couvert et même de la nourriture. Et tout au fond, dans un recoins sombre se trouvait une petit cabane faire de tissus et de bois. Et dans cette cabane, trois ombre éclairées par la faible lueur d'une bougie tremblotante. Malgré l'obscurité, le silence pesant et le terrain encombrés, ses hommes avaient l'habitude. Et bien qu'un des insurgés assomma le premier qui descendit, Maximilien Conor, Olivier Neil et Bill Weasley furent rapidement maîtrisé.

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Les trois prisonniers étaient encerclé par les agents de Ministère, les hommes d'Harry. Des menottes les empêchaient de tenter quoi que ce soit. Ils ne pouvaient rien faire, ni s'enfuir, ni transplaner, ni s'en prendre à leur tortionnaire. Leurs baguettes saisit et leurs espoirs brisé, il n'y avait plus rien à faire que d'attendre le triste sort qui les attendaient.

Bill Weasley observait Harry, le regard vide, perdu, attendant un explication. L'agent du Ministère referma sur ses poignets les liens de fer, soutenant son regard chocolat. Une larme refusait de couler sur sa joue tandis qu'a côté de lui, ses compagnons hurlaient : de peur, de désespoir, ils appelaient inutilement les passants, suppliant qu'on les aides. Mais pourtant, personne ne bougeaient, ne les regardaient : c'était trop risqué.

Le rouquin songea à ce qu'il allait lui arriver, et pourtant il ne voulait pas, il ne pouvait pas finir comme ça : abandonner Fleur et leur enfant qui naîtrait bientôt. Abandonner sa famille. Abandonner l'Ordre du Phoenix qui, malgré l'époque sombre, continuait de vivre et de se battre, comme une lueur dans l'obscurité. Et surtout, il voulait comprendre : qu'est-ce qui était arrivé à Harry pour qu'il se détourne autant de ses idéaux ? Comment pouvait-il fait confiance, travailler pour le ministère après tout ce qu'ils avaient fait pendant la guerre ? Harry n'avait pas pu oublier les trahisons, la corruption, le mensonge. Qu'est-ce qui c'était passé ? Lui qui était si fort, si vertueux. Lui qui, sans un regret, avait sacrifié sa vie pour sauver la vie de ceux qu'il aimait. Tous cela en pardonnant à tout ceux qui lui avait fait du mal : Dumbledore, les Dudleys, Malfoy.

Rogue fut la douleur de trop ? Celle qui fit basculer dans les ténèbres l'emblème de la lumière.

Le Barman sorti de son établissement et observa les hommes entravés, avec un désespoir infini.

-Je … désolé... je ne pouvais pas...

Personne autours de lui ne dit rien, mais Harry compris ce qu'il tentait d'expliquer : il ne pouvait pas renoncer à sa vie pour protéger des gens qu'il ne connaissait pas, il avait sa famille : une femme et deux petite filles. La rébellion existait toujours, tous le savais, mais elle s'étouffait, tremblotait, et finirait par s'éteindre comme une flamme vacillante de bougie soufflée par le vent.

Lucan s'approcha de lui et lui murmura qu'il avait bien agit, qu'on saurait lui être reconnaissant plus tard. Puis tout les Moissonneurs s'approchèrent des détenus et dans un puissant coup de fusil, ils disparurent.

La Moisson avait encore fait trois victimes.

Le barman se dirigea alors vers la volière du coin. Il n'avait pas pu sauver Bill Weasley, la moindre des chose était de prévenir ses parents du tristes sort qui avait été le sien.

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La suite Vendredi 3 ;)

(ps : la fic est déjà fini, alors ça me prendre pas trois plombe à tout écrire ;) )