My last chance is you !

Prologue

Le soleil descendait doucement sur la ville cachée de Konoha.

Les premiers éclairages s'allumaient doucement, et l'on pouvait déjà apercevoir le léger éclat de l'étoile du Berger dans le ciel rougeoyant.

Quelques personnes encore, probablement en train de rentrer chez elles pour une soirée en famille...Quelle chance !

« K'so, pleine lune...donc nuit claire...et difficultés de passer inaperçu... »

Une ombre se faufile, profitant de cette heure tardive, connue comme celle située « entre chiens et loups ».

Elle avance vite et prudemment, sans faire de bruit, comme si elle craignait de réveiller quelqu'un en particulier, somnolant pas loin.

Bientôt la nuit l'entoure et l'ombre se confond avec elle.

Cette dernière se dirige avec détermination semble t-il.

Pas de faux pas, aucune d'hésitation.

Elle sait où elle va.

Sait ce qu'elle veut et doit faire.

Soudain, l'ombre s'arrête, regarde à gauche, à droite.

Pas de badauds en vue.

Elle saute par dessus un mur et atterrit dans le jardin luxuriant d'une riche demeure...quoique le mot demeure ne semblait pas tout à fait approprié...château conviendrait peut-être mieux.

L'ombre se faufile à travers la végétation, se confondant avec elle.

Enfin la fenêtre tant cherchée.

Elle entre, sait exactement où elle va.

Elle n'est plus très loin de son but.

Le bureau, elle avance doucement...le coffre est caché derrière le tableau du fond.

Si seulement, il, oui, c'est un jeune homme qui commet un délit ce soir, si seulement, il avait les droits sur ses propres comptes...il n'en serait peut-être pas arrivé à des extrêmes comme celui-ci...quoique,...c'est tout de même une aventure passionnante...non ?...Enfin de son point de vue oui ; mais les flics ne semblaient pas d'accord avec lui.

Le jeune homme s'approche du coffre et pose une main dessus, caressant le métal poli de la paume.

Il pose doucement ses longs doigts sur la roulette pour composer le code...il était devenu habile avec le temps ; on aurait pu le prétendre expert s'il faisait les études pour le devenir.

La roulette commence à tourner sous ses fins doigts lorsque...

TILULIP TILULIP....

« K'so, merde, fuck, fuck, et merde ! Saleté d'alarme!! »

Il jure et s'encourt, sortant par la fenêtre de son entrée même.

Arrivé dans le jardin, il court se réfugier dans les buissons.

Il y a déjà des gardes dans le jardin.

Il parvient à se faufiler jusqu'au mur et à sauter par-dessus.

Il s'enfuit dans la nuit, certain de ne pas être suivi.

Les rues défilent ainsi que les nombreux poteaux électriques, que n'aurait-il pas donné pour une subite panne de courant ! Tant pis, il faut continuer.

Il bifurque pour entrer dans une impasse, le temps de reprendre son souffle et de calmer les battements de son cœur, qui se succèdent avec une rapidité étonnante.

Il l'a échappé belle.

Il s'assied quelques minutes, le temps de faire le point, de se reposer...il appuie sa tête contre le mur de façade et lève la tête, ...

Les étoiles, si belles et si lointaines,...inacessibles...tout comme lui.

« Hu ? A quoi, je pense moi...pffff. »

Il continua de regarder les étoiles, mais s'empêcha de penser...ou plutôt si se força à penser mais à ...rien.

Les étoiles...et rien qu'elles comme vision, quoi de plus magnifique ; si un coup de vent particulièrement froid ne l'avait pas rappelé à la dure réalité de la vie.

Constatant qu'il s'était suffisamment reposé, il se leva, jeta un dernier coup d'œil aux étoiles et sortit de la ruelle, certain de sa chance.

« Ouf, ce n'est pas encore aujourd'hui qu'ils m'attraperont. » lâcha t-il dans un rire.

« Je ne penserai pas cela si j'étais toi ! » coupa une voix.

Son rire mourut subitement dans sa gorge tandis qu'un affreux doute s'emparait de lui, une sueur froide parcourut son dos.

Il se retourna brusquement pour constater qu'un policier était derrière lui et qu'il en sortait de partout, cachés derrière les bâtiments, poubelles,...

Aucune issue possible, certain qu'il se ferait de toute façon avoir, il s'avança d'un pas traînant vers le policier et tendit les mains vers l'avant.

Les menottes se refermèrent sur ses poignets sur un bruit habituel mais auquel il ne s'habituerait probablement jamais. Il n'aimait pas être entravé.

Par rien, ni personne.

Jamais.

« Finalement, je n'ai pas eu autant de chance que ça. » murmura t-il plus pour lui-même que pour les policiers qui l'entouraient.

L'un d'eux se tourna vers lui et souffla en rigolant légèrement « Ca tu peux le dire mon bonhomme ! »

A suivre évidemment !

Bonjour à toutes et à tous...

Voici une nouvelle fic, sur laquelle j'ai réfléchi pendant les vacances...maintenant, il faut que je la tape... :-/ ça prend du temps...enfin...tant pis...

Vous saurez tout des persos et surtout QUI ils sont dans les deux chap qui suivent, pas d'impatience...

J'ai pas trop de commentaires sinon, j'espère que ce début vous plaît, je vais essayer de me dépêcher pour la suite...en espérant que le côté glandeuse–rien-n'as-fout' ne reprenne le dessus... ;-)

Voili, voilà, je vais dodo pasque fatiguée, je le suis ( j'adore parler en Yoda...je suis une bonne petite padawane...) heu, je sais pas ce que Star Wars vient faire ici...la fatigue sans doute...

Bon, stop sinon, ça va encore durer des heures...

Bye

Lu'