Coucou tout le monde !
Après « Celui que tu étais », « Celui que tu es », voilà « Ce que nous sommes » !
J'ai écoutée le vote de la majorité et une troisième partie est née et tout ça c'est grâce à vous.
Déjà, un grand merci pour l'avoir souhaiter, cela prouve que vous me soutenez et ça représente beaucoup pour moi !:)
J'espère que je ne vous décevrais pas.
Gros bisous à vous tous et bonne lecture !
Lilly x3
Ce que nous sommes.
J'entre dans ma chambre, enfin notre chambre à Klaus et à moi, avec un énorme sourire aux lèvres. J'arrive pas à croire qu'ils m'aient tous préparés cette fête sans que je n'en sache rien, ils sont juste tellement adorable, j'ai de la chance de les avoir tous comme famille. Cela ne fait que deux semaines que mes souvenirs sont revenus mais cela a été les deux semaines les plus belles que j'ai vécu depuis mon retour ici. J'ai l'impression de retrouver ma vie, celle que j'aimais plus que tout et que je n'aurais jamais quittée de mon plein gré.
Je me plie en deux sous une violente douleur. Comme si quelqu'un venait de me donner un violent coup de poing dans l'estomac. Je tousse, je cherche de l'air. Un liquide chaud coule le long de mon menton. J'y porte mes doigts. Du sang. Je me redresse difficilement et me regarde dans le miroir. A chaque petit toussotement, une petite rasade de sang sort de ma bouche. Je l'essuie du revers de ma manche et dévisage mon reflet avec incompréhension. Je tente de me calmée pendant un petit moment, puis les toussotement s'espace jusqu'à totalement s'arrêter et l'air réussit à parvenir à mes poumons avec plus de facilité.
La porte s'ouvre, Klaus entre. Son regard s'attarde une seconde sur le sol, où je remarque à peine quelque goutte de sang, avant de remonter sur ma manche tâché, puis sur mon visage maculé. Son visage ne reflète que de l'incompréhension.
-Tout vas bien ?, s'enquiert-il, prudemment.
-Je... Je crois que... Bégaye-je. Je crois que l'on a fait la fête trop vite.
Son visage est envahi par la colère et il hurle :
-Eh merde !
-Je suis désolé.
En une fraction de seconde il est devant moi, ses mains tenant mon visage.
-Tout vas bien, Amour, tu n'as pas à t'excuser.
-Klaus... Je crois que je suis en train de mourir.
