Chapitre 1 Un tout nouveau commencement

Tout commence dans la ville de Montréal, Québec, Canada. C'était l'hiver et il y avait tellement de neige qu'on aurait pu croire que Dieu avait envoyé toute la neige du monde ici.

Le ciel était couvert d'un mûr de nuages qui rendait le ciel aussi blanc que la neige.

Un peu plus loin de la ville se trouvait une forêt qui avait des arbres sans une feuille. Il y avait plus de neige dans cette forêt que dans la ville elle-même.

Il y avait une brise fraîche qui allait à travers la forêt et finit par entrer dans un creux dans lequel un jeune hibou des neiges dormait paisiblement dans son nid.

Il était tout blanc et duveteux au niveau du ventre and de sa poitrine. Son bec et ses pattes étaient noirs comme ses paupières. Il avait quelques tâches noires sur son ventre et l'arrière de sa tête.

Après un long et paisible sommeil, il ouvra ses yeux jaunes et bailla fortement avant de se lever sur ses deux pattes.

Il se rendit, alors, au bord de l'entrée de son creux pour observer la forêt sous la neige qui tomba comme de la pluie.

Après avoir admiré la nature pendant un petit moment, il s'envola finalement de son creux.

Il choisit d'aller à Montréal pour voir comment allait la cité des humains et si c'était aussi beau que sa maison où il vivait seul parce qu'il n'y avait pas beaucoup d'hiboux au Canada encore moins au Québec.

Après ce qu'il semblait être une heure entière de vol, mais qui était en fait seulement une demi-heure, il arriva à la cité de Montréal.

Il était impressionné par la taille des bâtiments et la largeur de la ville.

Il choisit, finalement, d'atterrir sur le toit d'un grand bâtiment qui était tout blanc à cause de la neige qui a tombé (et qui tombait toujours) dessus.

Après avoir atterrit, il observa les rues où les voitures traversaient et où les humains marchaient sur les trottoirs et à travers les rues.

C'était beaucoup plus bruyant que dans la forêt où c'était tellement silencieux qu'il se croyait seul.

Le jeune hibou se tenait là comme une statue avec ses yeux jaunes qui admiraient la ville.

Il était perdu dans ses pensés avant de choisir de s'envoler pour voir plus que simplement quelques rues.

Après un moment de vol, il décida d'atterrir pour voir ce qui se passait dans les rues.

Il s'approcha d'un restaurant où il pouvait voir un vieil homme avec des cheveux blancs, des vêtements d'hiver verts, un foulard rouge sur son coup et des lunettes noires qui était assis à une table extérieure avec un café et un croissant.

Il choisit de s'envoler dans sa direction.

Il atterrit, alors, sur la table à côté du vieil homme qui était un peu surpris de le voir, mais finit par sourire en le regardant.

Vieil homme : « Tu a faim, n'est-ce pas? »

Il demanda en prenant le croissant dans sa main.

Le hibou sourit et hulula ce qui fit comprendre au vieil homme qu'il voulait dire «oui».

Il tendit, alors, le croissant au hibou qui le prit dans ses serres.

Le vieil homme gratta, alors, le ventre du hibou avec son doigt ce qui le fit rire.

Le hibou s'envola, alors, un peu plus loin dans une ruelle proche de la rue où il y avait quelques dessins et graffitis sur les mûrs.

Il n'aimait pas cet endroit beaucoup, mais c'était l'endroit parfait pour manger son croissant sans êtres dérangé par des humains.

Il commença, alors, à manger son croissant.

Il savoura chaque bouchée croquante puisque c'était peut-être la seule fois qu'il mangerait une aussi bonne pâtisserie.

Après avoir finit de manger son diner, il était plein et décida de retourner chez lui car il commençait à faire noir et la nuit allait bientôt tomber (contrairement à certains de son espèce, il n'était pas nocturne).

Il s'envola, alors, en dehors de la ruelle.

Soudainement, alors qu'il était sur le point de partir, quelque chose l'attrapa et l'attacha au sol.

Lorsqu'il ouvrit ses yeux, il réalisa avec horreur qu'il était prit dans un filet qui le piégea.

Il tenta de se libérer, mais c'était inutile.

Soudain, un homme avec une casquette verte, une moustache brune, un chandail jaune et une veste bleue avec des bottes brunes venait dans sa direction avec un fusil à filet.

Il prit, alors, le filet avec le hibou dans sa main et l'observa avec un sourire sadique qui effraya le hibou.

Homme : « Un hibou des neiges? C'est très rare! Je suis sûr qu'ils vont nous donner un bon prix pour toi! Mon patron va être content! »

Il sortit, alors, un rire démoniaque.

Le hibou des neiges était si terrifié que son cœur battait tellement vite qu'il aurait pu sortir de sa poitrine.

L'homme marcha, alors, jusqu'à une voiture rouge et ouvrit la porte qui menait à la place du conducteur.

Il jeta, alors, le hibou sur le banc d'à côté avant d'entrer en fermant la porte et de rentrer les clés dans les commandes qui fit démarrer la voiture.

L'homme regarda, alors, le hibou qui était toujours terrifié.

Homme : « N'ait pas peur, petit; tout ira bien…peut-être. »

Cette phrase rendit le hibou tellement terrifié qu'il aurait voulu mourir tout de suite.

Une phrase resta dans sa tête; « Que va-t-il m'arriver? »

À suivre…