BONJOUR ! Ici Pandipute en direct de !

Et...Comme vous le voyez... Ceci n'est pas une fiction " normale" !

EWI ! Pour une fois, je ne parle pas de Youtube dans le très très très court OS qui va suivre ! JE PARLE DES MISERABLES, BIAATCH * tousse tousse * pardon.

Bref, un court court court court court One Shot écrit à 1h30 en 5 mins, un petit Enjolras/OC pour le travail. ( Ah et aussi, le nom est très mal trouvé, mais j avais pas d idées)

On se retrouve en bas !

OoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoO

Je t'aimais.

Je t'aimais... Et maintenant ?

Maintenant je t'aime encore même si je sais bien que je ne peux plus.

Les gens trouvent ça ridicule d'aimer un mort (Le premier qui fait une blague nécrophile, je le mange)

Et pourtant tu l'es. Enfin pas encore mais ça ne saurait tarder.

Je vois tout depuis ma petite fenêtre, je vois le sang couler à flot, je vois tout tes amis s'effondrer uns à uns, vous 'êtes plus qu'une poignée.

Une poignée face à une armée.

Une poignée contre le monde entier...

Depuis le début tu n'as pas versé une larme.

Pas même lorsque l'Eponine à sombré, pas même lorsqu'on a tiré sur le petit Gavroche.

N'as tu donc aucun coeur Enjolras ?

Ne vois tu donc rien ?

Pourquoi est ce que rien ne te touche ?

C'est vrai, tu dois être heureux maintenant, tu vas mourir pour la seule que tu n'as jamais aimé: La Libertée.

Moi...

Moi j'avais succombé à tes airs d'échappé du collège, à ton regard, à tes boucles blondes.

Moi, je te regardais, admiratrice, lorsque tu parlais de Révolution.

Moi, je t'ai tout donné, mon amour, mon corps, mes jours et mes nuits.

Toi, tu ne m'as jamais regardée, ou à peine lorsque tes mains redessinaient mes hanches...

Mais tu ne pensais jamais à moi, non, juste à ta révolte, ta liberté, ton combat et tes barricades.

Et regarde toi désormais...

Une dizaine de canons te visent, aucune échappatoire possible.

D'ailleurs, tu ne voudrais pas fuir s'il y en avait une n'est ce pas?

Tu veux partir en étant fier.

Tu brandis ton drapeau rouge.

Rouge comme le sang qui souilleras bientôt ta peau,

Rouge comme le feu ardent de la passion que tu me refusais.

Rouge comme mes yeux fatigués de trop pleurer...

Ils ont tirés...

Tu reste toujours aussi beau, même le regard vide, même suspendu la tête en bas à la fenêtre face à la mienne.

Je t'aimais, je t'aime et je t'aimerais toujours, même si tu n'as pas su répondre à mon amour.

Mes larmes coulent comme le sang dans les rues.

Je te revois chanter, plein d'espoir, que le peuple vaincra,

Je te revois hurler "Vive La France !" au nez de la noblesse.

Je te revois encore et encore t'écrouler sous mes yeux.

Je ne sais pas vraiment si tu es un Héro ou un Misérable.

Peut être un peu des deux...

Ce que je sais, c'est que tu es Enjolras.

L'homme dont j'ai rêvé et qui lui, ne rêvais que d'être libre.

OoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoO

Alors ? Ca vous a plu ? =3

Je sais que c'est très bien que c'est très court, mais bon je l'aime bien quand même ^_^

J'espère que vous avez bien pleurnichialé, moi j'ai presque eu ma larme en l'écrivant =P

Je vous fait des gros byzoox, et je vous retrouve bientôt pour un nouveau chapitre de " J'avais presque oublié mon rire" !

( Pour info, les cordes et les tabourets sont par ici -)

Des câlins baveux

Pandi ;)