Note de l'auteur :
J'ai vraiment besoin de quelqu'un pour me corriger, je n'arrive plus à me retenir décrire et je sais que j'ai une tonne de faute qui ont survécu aux correcteurs utiliser pour essayer de rendre la lecture moins difficile pour les lecteurs ... S'il y a une volontaire, me mp !
Prologue
Une longue chasse
Nathan n'était pas un mec chanceux, ces derniers mois l'avaient bien prouvées : ses premiers jours en tant qu'Officier dans la petite région qu'il avait choisi c'était transformer en enfers quand ses supérieurs l'avaient embarquer pour aller arrêter un certain Joseph Seed, chef du "petite" secte du coin. Il aurait put faire demi tour comme le lui avait conseiller le mec, au lieu de ça, Nathan avait décidée de passer les menottes à l'homme pour répondre aux attentes d'un marshall avide de gloire ! Ensuite, il avait fait la rencontre du petit cadet, John, qui avait tenté de lui apprendre en vain le pouvoir du "oui". Bien sûr, sous les conseils de Nike, il avait changé de région lorsque ce fou furieux avait envoyé des convois après lui, juste "le temps que ça se calme", mais là, il avait rencontrer la petite soeur, Faith ! Une petite gosse qui semblait lui apparaître sous forme d'hallucination. L'Officier était certain que son prochain test de drogue serait positifs et à force de voir des trucs, il avait décidé d'aller voir à quoi ressemblait le grand frère, le shérif s'en sortant bien avec les Anges.
Il aurait préféré crevé que de devoir faire face à la situation à lequel il participait contre son grès : Jacob lui avait envoyé ses "chasseurs" et l'un d'entre eu l'avait touché à la jambe, mais Nathaniel était du genre obstiné, il c'était trainé en tirant un peu n'importe où jusqu'à une maison mal barricader où il se trouvait maintenant coincé, des foutus adeptes l'encerclant ne lui laissant pas la moindre espérance quand à une possible fuite. Nike se faisait mitrailler de partout dès qu'il approchait et Jess avait beau faire disparaître des mecs, dix venaient les remplacés.
- Aller, rend toi gamin ! Ordonnait un des mecs.
Qui dut se remettre à couvert par ce que Nathaniel fit pleuvoir une pluie de balle sur la voiture derrière lequel il se dissimuler, jurant de voir que l'Officier était aussi obstiner. En effets, il avait réussis à se barricader dans la pièce, faisant tomber l'armoire bonder de vêtement devant la porte au prix de grand effort. Chacune de ses armes était au sol et dès qu'une était décharger, il en prenait une autre, rechargeant lorsqu'il en avait le temps.
- Putain, utilisé la Grâce ! Hurlait un homme.
S'ils continuaient, le jeune homme était sûr qu'il allait finir par faire une overdose, mais ils n'avaient pas d'autre choix que de tenter encore et encore la même approche, celle ci l'affaiblissant progressivement. Il c'était installer près de la fenêtre, dans un angle hors de porter mais où lui même pourrait tout voir et, donc, tout dé réussit à touché un homme à la jambe qu'un de ses alliés tira hors de porter, la réplique ne se fit pas attendre : une flèche frôla sa joue pour aller se planter dans le mur derrière lui, le forçant lui aussi à se mettre hors de porter.
Les "Chasseurs" de Jacob étaient des mecs très douées : il n'arrivait toujours pas à comprendre comment ils avaient put le trouver dans le coin où il c'était paumé et après, ils l'avaient pourchasser jusqu'ici alors qu'ils n'étaient armées que de flèche et Nathan avait beau faire pleuvoir les balles, ils ne reculaient pas, tombant un a un mais continuant de s'approcher de leurs proie. Cela faisait combien de temps qu'ils étaient après lui ? Plus de vingt heures ? Eux pouvaient se reposée, l'Officier quand à lui était seul, entourer d'une armée et l'épuisement physique et moral commençaient à se faire lourd. Il n'avait même pas eu le temps de soigner la blessure causer par la flèche, celle ci lui faisait de plus en plus mal.
- Nat, ta situation ? Questionna Marie par la radio.
C'était sûrement la fin pour lui : il était entrain de crever de fatigue et de faim sans oublier qu'il avait chaud, suant sûrement comme un porc et sa jambe lui faisaient un mal de chien ! Sans oublier la drogue qui lui donnait des hallucinations magnifique : la pièce où il se trouvait n'était plus une pièce normal avec du mobilier banal mais un havre de paix emplis de végétation, des fleurs avaient éclos, dévoilant un arc en ciel de couleur et des papillons virevolté partout dans la pièce. Il avait dut éteindre toute les lumières, celle ci lui donnant la migraine et il aurait dut faire sombre, mais de multitude de luciole lui permettait de voir que se soit dehors où à l'intérieur. Il se sentait bien et si mal à la fois, c'était un calvaire pour lui. Le pire, c'est qu'il n'avait bientôt plus de munition et qu'il allait devoir faire un choix : se rendre ou bien ...
Ou bien ...
Nathan dégaina son pistolet, cela faisait quelques minutes que les adeptes le laissait tranquille, lui laissant un peu de répits qui pouvait l'aider à faire ce foutus choix. Tomber une fois encore entre les mains des Seed ou se tirer une balle dans la tête pour leurs échappés. Les souvenirs de son isolement avec John lui donnant des sueurs froides, le rappel de la douleur infliger mettant à vifs sa chaire malmener. L'Inquisiteur savait comment faire mal sans tuer, pendant des heures, il avait tenté de lui faire cracher son foutu "oui", et Nathan avait crus être à chaque fois proche de lui céder, ne serait ce que pour que ça s'arrête, mais son orgueil était trop fort et il avait vécus pire dans sa vie que de se faire taillader ou poignarder par un tournevis.
- Nat ! Appela Marie.
Le nommer récupéra sa radio, sa gorge était sèche tandis qu'il admettait a voie haute :
- C'est fini, j'suis foutus.
- Ne dis pas ça, y a du monde qui vient t'aider.Répliqua la jeune femme.
- Ils me lâcheront pas cette foi. Marmonna sur un ton glacial. Pas après ce que j'ai fais à "Faith" ! J'suis foutus et vous pouvez rien faire pour moi !
Il jeta la radio contre le mur et elle se fracassa en un bruit sec, la seconde suivante, il posait le canon de son arme contre sa tempe. Les probabilités qu'il survivre était faible, il n'avait plus qu'à presser la détente. Rien de bien compliquer et pourtant, il ne parvenait pas à effectuer le mouvement qui le libérerait de cet enfers. Sa mains trembler, il savait ne pas avoir suffisamment de volonté et ferma les yeux. Juste tirer pour échapper à tout ça. Il ne devait pas retomber entre les mains de John ! Il avait tuer "Faith" et il était certain que son frère le lui ferait regretter quand à Jacob ...
L'Officier avait vus de ses yeux ce que les hommes du militaire pouvait faire à des êtres humains : les parquant dans des cages et les traitant comme des animaux, leurs infligeant des horreurs sans nom. Le Boucher était un des meilleures exemple : brulant vif des gens par simple plaisir de les entendre hurlait. Si ses hommes étaient capable de "ça", alors lui ...
Il ne pouvait pas se tuer comme ça, c'était juste impossible ! Grondant, il baissa son arme et se demanda si sortir avec deux armes en mains et en tirant dans tout les sens serait suffisant pour les forcés a le tuer, mais vus le nombre de morts qu'ils comptaient déjà parmi les leurs, il était sûr qu'ils ne feraient que lui tirer dans les membres. En fait, ils étaient suffisamment fou pour se jeter sur lui, même son arme pointé vers eux.
La respiration de Nathan s'accéléra alors qu'il réalisait qu'il n'avait pas d'autre choix que de se donner la mort pour échapper à des souffrances inutile. Toujours le même point, la même situation, le même calvaire et toujours la même solution drastique, c'était toujours le même choix : la souffrance où la mort. En arriverait il toujours a ça ? Il avait pourtant tout fait pour changer son destin, abandonnant la ville et ses dangers pour un petit coin paumer dans cette magnifique vallée, persuader d'échapper à tout ce que la ville représenter et voilà qu'il finissait dans une région encore pire que dans le quartier où il avait vécus une partie de son enfance.
- Lex, pardonne moi. Murmura t il désolé. J'aurais voulut t'offrir une jolie vie ...
Il avait préparer une jolie chambre remplis des choses qu'elle aimait pour elle, mais elle n'aurait jamais l'occasion de la voir.
Il y eu du mouvement sur sa droite, les volutes de nuages dût à ses hallucinations se transformant en loup blanc. Peut être que ce n'était pas une invention de son esprit droguer : la bête était blanche et porter la même marque rouge que les chiens qui accompagner les Chasseurs dehors. Nathan tenta bien de se sortir de ses songes, mais la bête s'avançait prudemment, ni agressif, ni docile, elle s'approchait lentement, un pas après l'autre sous le regard de l'Officier qui ne pouvait s'empêcher de trouver cette apparition belle, la drogue comme la maladie le faisant délirer. Le pire, c'est qu'il avait conscience de partir dans un monde "meilleur" et que rien ne pouvait l'empêcher, sauf ...
Il vérifia son arme, l'animal n'étant plus qu'à quelques centimètres de lui, continuant de rester calme, ne montrant toujours aucun signe d'agressivité, s'installant à ses cotés. Etait ce son délire où la réalité ? Par curiosité, Nathan avança la mains vers la bête et ses doigts touchèrent de la fourrure sans douceur, c'était un animal sauvage, le rouge s'avérant être du sang, mais la créature ne l'attaquait toujours pas, reniflant simplement sa mains tendus et le laissant le caresser.
C'était un bon lieu pour crever, même si la réalité devait être tout autre, Nathan lui ne voyait que le havre de paix, la végétation, les papillons et les lucioles ainsi que ce magnifique loup et le calme ... Le silence ... Un silence si profond qu'il en devint surnaturel ...
Et l'Officier comprit, pointant son arme de l'autre coté et tirant, mais loupant l'homme qui se jetais sur lui. Trop tard ! Il aurait dut tourner l'arme vers lui même plutôt que de tenter de tuer l'adepte ...
L'adepte ? Pas sûr : cet homme portait l'accoutrement complet d'un militaire : un treillis vert, des rangers, un couteau de survis qui pouvait vous égorgez d'un seul mouvement ranger dans un étuis, des plaques qui pendait à son coup et une cagoule noir. Ce mec faisait bien deux mètres de haut, le dépassant largement et il était fait de muscle. Un coup de poing suffit pour que Nathan chancel, mais il ne lâcha pas l'arme : c'était mon dernier espoir d'échapper à des souffrances sans nom, mais l'autre aussi était déterminer à ne pas la lâché. Aucun ne lâcherais, l'homme le plaqua contre le mur avec une force qu'il ne pouvait clairement pas contré, il n'avait que ça volonté et rien que ça, essayer de récupérer son arme en hurlant de désespoir.
Il lui assema un coup de genou dans le ventre, trop puissant pour qu'il continu, une douleur fulgurante le faisant se tordre de douleur. Nathan avait l'impression que ses organes c'étaient tous écraser dans son torse et il tomba au sol, crachant du sang, recroqueviller et paralyser par la souffrance.
- Tu nous aura donner du fils à retordre. Gronda l'homme toujours debout.
L'Officier tenta de se relever pour lui faire face, mais il n'arrivait qu'à se trainé pitoyablement au sol, surveillant l'inconnu qui jeta le pistolet par la fenêtre, s'interposant entre lui et le reste de ses armes.
- Pas très malin de poser tout au sol. Jubilait l'inconnu. Ne t'inquiète pas, je vais faire en sorte que tu ne commette plus se genre d'erreur.
Le Soldat s'approcher lentement, mais il était aussi d'une grande prudence, preuve d'une grande expérience dans ce genre de chasse. Nathan tenta encore de se relever, utilisant le mur, boitillant et il put voir le regard bleu de l'homme brillait. Quel sentiment l'animé ? La joie de mettre la mains sur lui ? La joie de pouvoir le tuer au nom des Seed ? De pouvoir le leurs livrer en pâture ? Le militaire dégaina son couteau, s'approchant très lentement de lui.
- Aller, complique pas les choses, rend toi.
Le bout des doigts de l'Officier touchèrent une planche en bois qui avait servis comme barricade. Se rendre ? Pas après tout ce qu'il avait fait : il n'était pas suffisamment stupide pour accepter de se rendre au Seed sans combattre. Dès que l'homme fut à porter, le jeune homme utilisa la planche sur le Soldat, mais celle ci se brisa simplement contre le bras de l'inconnu qui gronda. Il eu l'opportunité de reprendre le dessus, se jetant sur lui avec la force du désespoir, tentant de récupérer le couteau.
La flèche planter dans sa jambe fut enfoncer plus profondément dans sa chaire, lui arrachant un hurlement et l'homme continua de bouger le bout de bois. La douleur était insoutenable, laissant Nathan au bord de l'évanouissement. Il sentit l'homme le pousser au sol et se laissa faire. L'hallucination était toujours présente, allant jusqu'à désorienter le sens de son toucher car il avait l'impression de sentir l'herbe sous lui. Il s'abandonna à terre, appaissait de pouvoir arrêter de se battre, fixant l'homme qui le dominé, bloquant son bras sous sa jambe et observant la blessure.
- Infecter. Gronda t il, mécontent. T'aurais dut te rendre plus tôt imbécile ! Ne crois pas que je te laisserais perdre cette jambe : tu va en avoir besoin ...
- Tranche moi la gorge ! Répliqua Nathan, a bout de force.
- Pourquoi je ferais ça ? Répliqua amusé l'homme.
- Si tu a une once de pitié pour moi, tu dois me tuer : ils ne me pardonneront pas ... Ils ne pardonneront jamais ça ...
L'homme se pencha vers lui, continué de bloquer son bras, limitant ses mouvements. Il observait ses pupilles probablement dilatée.
- Droguer. Constata t il. Qui devrais te ... Ha, oui, tu parle de "Faith" !
Cela semblait l'amusé, un rire sinistre s'échappa de ses lèvres, il haussa les épaules d'un aire négliger.
- "Faith" est remplaçable ! Toi par contre, tu est un spécimen trop rare pour être sacrifier. Je vais m'occuper de toi, petit.
Il attrapa d'une mains sa cagoule pour la retirer, dévoilant un visage qu'il reconnut sans mal : c'était lui ! C'était Jacob Seed !
- J'ai beaucoup de chose a t'apprendre, petit.
- Merde. Souffla Nathan en grimaçant.
Les Chasseurs n'avaient pas réussis retrouver la piste de l'Officier aussi facilement qu'il l'aurait crus, ce môme déboulant de nul part et qui avait réussis l'exploit de faire sortir de ses gondes John. Il le voulait et il avait tout fait pour parvenir à son désir et plus le temps passé et plus il savait qu'il allait mettre la main sur un nouveau Chasseur qu'il prendrais plaisir à éduquer. Mais les jours étaient passés et toujours pas de signe de sa petite proie ... Jusqu'à la veille.
Un chasseur l'avait retrouvé, ils avaient put le coincé dans cette petite maisonnette. Ils auraient put tout expédier d'une simple grenade, mais Jacob le voulait vivant. Il voulait s'occuper de lui, de son éducation pour en faire un chasseur ou peut être plutôt un "Juge". Mais le môme ne c'était pas laisser attraper, continuant de se défendre, tuant une bonne dizaine de chasseur et une bonne vingtaine d'homme que John lui avait envoyé. Il avait foutu une belle merde et il faudrait au Militaire un peu de malice pour réussir à le récupérer avant que son cadet ne convainc Joseph de la nécessitée d'effectuer sa confession.
Complétement à bout, le môme céda à la fatigue qu'il avait accumuler tout au long de cette journée, inutile de l'assommer. Il faudrait cependant l'emmener dans un lieu où ils pourraient soigner sa blessure. C'était moche mais un peu de soin et il n'en resterait qu'une cicatrice.
- Qui lui a tirer dessus ? Questionna Jacob en se tournant vers les chasseurs.
L'homme en question avança d'un pas et le militaire l'observa juste quelques instants de prendre une décision radical : il dégaina son desert eagle et lui tira dans la tête. La balle traversa le crâne et éclaboussa le mur de sa cervelle. Il le leur avait dit : pas de blessure ! Il le voulait intacte et opérationnel pour commencer son entrainement dès que possible, au lieu de ça, ils devraient attendre son rétablissement. Personne ne broncha.
- Changer le et envoyé le à l'hôtel, faite venir un médecin. Ordonna t il aux autres.
- Pourquoi ? Questionna intriguer un des hommes.
- Je ne veux pas que les rebelles sache qu'il est vivant, faite circuler l'information concernant sa mort. Bruler la maison avec lui dedans.
Il avait pointé du doigts l'homme qu'il venait de descendre. Il faudrait un cadavre par ce que les rebelles voudront vérifier l'information, certes ils risquaient de le transformer en martyr, mais Jacob s'en fichait. Ce môme le fasciné par ses exploits dans les autres régions et il le voulait dans son armée. Il le fasciné d'avantage encore par ce que, putain : c'était qu'un gamin ! Il devait avoir dans la vingtaine, tout fraichement sortie de l'école et sans la moindre expérience. Ses cheveux brun coller à sa peau, son menton dévoilant une barbe de quatre jours et ses yeux dilater mais du couleur verte. Ce n'était qu'un enfant et Jacob était l'homme qui s'occuperait de son éducation pour le transformer en soldat.
Une vingtaine de minutes plus tard, le gamin était transporter comme un de leur blesser vêtus d'un tenu de Chasseur et la maison brulait derrière eux. Jacob monta dans la jeep qui l'attendu, ayant remis sa cagoule pour échapper à une potentiel tentative de meurtre sur sa personne.
