Bonjour !
Me voici avec un chapitre, non pas de Lento y Prestissimo, mais du premier chapitre d'une autre fiction : Professeur consternée pour élève appliqué.
C'est un Harry/OC comme indiqué.
L'histoire d'origine appartient, nous le savons tous, à JK Rowling. Cette fiction ne se passe pas en canon de la version originale. Aussi Voldemort n'existe pas. Mais les parents d'Harry sont mort dans un accident.
Je tiens à remercier énormément Lixouille pour sa correction malgré le peu de temps qu'elle.
Et, je vous informe que cette histoire est composé de treize chapitre tous écrit. Donc, il n'y aura pas de mauvaise surprise.
Maintenant, je vous souhaite une bonne lecture, j'espère que se début vous plaira.
.
.
.
.
Chapitre 1
Catastrophiquement elle.
.
.
Jordy Grady était le genre de fille que personne ne remarquait. Non seulement elle ne voulait pas de problème, mais elle ne ressentait pas la nécessité de se faire des amis.
C'était entre autre, pour cette raison que les poufsouffles l'adoraient.
Contrairement à ce que le reste de Poudlard pouvaient penser : poufsouffle n'était pas une maison poubelle. C'était la maison des gens sérieux, gentil, sympathique, et SOCIABLE.
Les serpentard étaient des associables de bases. Les serdaigles : des individualistes pathétiques. Et les gryffondors... Jordy roula des yeux en se frayant un chemin à travers le quai de la gare king's cross.
Ses gosses rouge et or semblaient avoir sept ans d'âge mental pour l'éternité, et une boîte vide à la place du cerveau, sans parler de leur curiosité maladives, doublée par cette détestable habitude de se croire la meilleure maison que le monde ai jamais créer et connus.
- Sirius, je ne compte pas baiser toute mon année ! Je ne suis pas comme papa !
Harry Potter.
Aucun doute, cette voix appartenait à Harry Potter, Jordy la reconnaissait sans problèmes. Lors de sa première année les poufsouffles et les gryffondors n'avaient qu'un seul cours en commun, et ce type l'avait bousculé. En plus il ne s'était pas gêné pour scander que ce n'était pas grave parce qu'elle était une poufsouffle.
Si ce jour-là Jordy avait été plus méchante, forte et enragé, elle aurait déchiqueté ce petit rouge et or capricieux.
Les jaune et noir étaient plus généralement mit avec les serdaigles, afin que la rivalité entre les gryffondors adoré du directeur et les serpentards chéri par Rogue puissent mettre leur combativité à son paroxysmes.
Ça convenait à Jordy. Les serpentards passaient leur temps à insulter les poufsouffle. Et les gryffondors..., elle ne les supportait tout simplement pas.
- Tu rigoles ? s'époumona Sirius Black en donnant une forte accolade à son filleul. Ce dernier recula et bouscula Jordy, la ramenant ainsi à la réalité. La poufsouffle ouvrit la bouche, insupporté par ce petit bouffon prétentieux.
Jordy aurait aimé être plus méchante et moins peureuse, comme ça elle lui aurait balancé un avada kadavra devant tout le monde, quitte à finir à Azkaban.
En général, Jordy était aussi pacifique que le reste des jaune et noir, mais supporter Harry Potter c'était trop lui en demander.
Le regard vert du gryffondor s'arrima au sien un bref instant avant que le relent de la foule de la gare ne pousse Jordy loin du garçon.
Elle serra les dents, rejeta ses cheveux en arrière et monta dans le train sans embrassade écœurante : elle était arrivée grâce à la poudre de cheminette. Son père avait beaucoup de qualités mais pas celle d'aimer sa fille. C'était plutôt l'aîné des Grady qui héritait de ce droit là.
- Bordel, marmonna-t-elle en soulevant sa lourde valise. Elle parcourut le train et entra dans le premier wagon désert qu'elle trouva.
Les poufsouffles n'étaient pas patriotiques. Avec prés de trois cents poufsouffles par ans, ils ne se cherchaient pas pour trouver les membres de leur maison dans le train.
L'avantage dans la maison risée par toute les autres, c'était qu'il n'y avait pas de conflits. Entre pacifiques et gens bien élevés les termes tels que : trahison, tromperie, abus et autres vols n'existaient tout simplement pas.
Jordy soupira en se changeant rapidement. Elle troqua son jean pour la jupe de rigueur et des bas noirs. Ensuite, elle retira sa veste et s'apprêtait à boutonner la chemise de son uniforme, quand la porte de son wagon s'ouvrit dans un fracas tel que la poufsouffle se demanda si la porte n'était pas sortit de ses gonds.
- Y a quelqu'un... marmonna Harry Potter. Encore lui, songea Jordy en roulant des yeux.
- Tout ça, c'est parce que tu as mis sept ans à dire au-revoir à ton parrain ! scanda Hermione en claquant sa langue comme un serpent.
- Partez devant moi, commenta le gryffondor en jetant un regard appuyé sur la poitrine seulement recouverte par de la dentelle noire qui mettait extrêmement bien en valeur la poitrine de la poufsouffle.
La mère de Jordy avait deux obsessions dans la vie : marier le frère de cette dernière, et inciter sa fille à perdre sa virginité à Poudlard. Pour ce faire, Jordy avait été forcée de ne mettre que des sous vêtements sexy dans sa valise et sur elle-même.
Le brun referma la porte sous les couinements agaçants de son ami rouquin. Il lança un sort à l'aide de sa baguette et adressa un regard carnassier à une Jordy acculée contre contre la vitre de son compartiment soudain désespérément désert.
- J'aime beaucoup les filles qui aiment leurs formes, susurra-t-il avec un regard appréciateur en s'avançant vers elle d'une démarche féline et assurée.
Jordy blêmit en se collant contre la vitre. Elle allait se faire violer. Frénétiquement, elle se mit à réfléchir à ce qu'elle pourrait faire pour sauver sa virginité.
Magie... La poufsouffle chercha sa baguette des yeux, et statua sur sa bêtise. Elle était au fond de sa valise, sous la pile de livres qu'elle avait embarqué pour faire passer le temps au besoin.
Le gryffondor, inconscient du drame, se pencha et renifla la fille tout en écartant les lèvres quand il la vit trembloter.
La cerise. Elle avait une odeur de cerise gorgée de sucre. Harry sourit en léchant le coup de l'élève de Poudlard. Il remonta lentement son chemin humide en la sentant ouvrir la bouche et pousser un petit bruit.
- Tu sens la cerise, murmura-t-il contre son oreille. Il allait l'embrasser à pleine bouche, quand il croisa son regard bleu.
Le bleu du ciel un jour d'été.
Momentanément, Harry cessa tous ses gestes. Il empêcha sa main de se glisser sous la jupe de l'inconnue, et retira sa main de la vitre.
Il la fixa.
Elle ne tremblait pas d'anticipation ou de désir. Elle avait peur.
Peur de lui.
C'était la première fois qu'il était face à une telle réaction. Avec le temps, Harry avait prit l'habitude que les filles tombent à ses pieds comme des chiennes en chaleur. à un tel point, qu'il ne prenait presque plus la peine de connaître leur nom.
Mais là... Elle ne voulait pas de lui.
- Je... Je suis désolé, bredouilla-t-il en état de choc.
Le regard effrayé de la fille passa à l'incrédulité la plus totale quand les mains du gryffondor s'activèrent avec dextérité pour nouer les boutons de sa chemise. Probablement qu'il avait l'habitude de les ouvrir, et non de les fermer.
Mais pour une fois... il ne voulait pas coucher avec une anonyme qui lui avait taper dans l'œil. Non, tout ce qu'il voulait, c'était se faire pardonner de sa tentative qu'il se refusait d'appeler "viol" mais qui y ressemblait fortement.
- Comment t'appelles-tu ? demanda-t-il doucement en achevant de boutonner la chemise de l'inconnue.
Sans prononcer un mot, elle fixa Harry, et finit par lever un bras tremblant vers la porte.
- Je suis désolé, prononça le gryffondor pour la seconde fois. Il prit le chemin qu'elle lui avait indiqué et ne se retourna pas une seconde. Il avait encore un an pour se faire pardonner son geste, non ?
Jordy se laissa tomber à côté de sa valise, encore sous le choc. Ce sale mec avait faillit la violer. Pour de vrai. Et elle avait été sans défense.
Comme une... soumise. Rien ne lui était venue à l'esprit quand il avait traîné sa langue baveuse sur sa clavicule. Juste le vide.
Un peu absente, elle leva une main vers l'endroit où il avait baver sur elle sans complexe.
- Merlin, souffla-t-elle en rougissant brusquement en baissant les yeux sur sa chemise. Il l'avait rhabillée avant de partir. C'était gentil.
Et incroyable. Il avait insulté sa maison, faillit la violer, mais il savait reboutonner une chemise. C'était très ironique.
- Jordy ? murmura une voix fluette en ouvrant la porte de son wagon. La poufsouffle sursauta en fixant la nouvelle venue, une deuxième années de sa maison.
- Bonjour Susan, murmura la poufsouffle en fouillant dans sa valise pour en sortir sa cape, sa cravate, et un livre. Magiquement elle replaça la lourde valise au dessus de sa tête, et salua les quatre autre poufsouffles égarée qui vinrent trouver refuge dans le compartiment, du presque viol, de Jordy Grady.
.
.
Voila. Alors qu'en avez-vous pensez ?
