La partie commence

La Nuit venait de tomber froide et silencieuse sur le château de Poudlard. Le ciel était constellé de petites lumières jaunes (communément appelé étoiles) et une sphère de lumière (appelée aussi lune) éclairait à moitié le parc de Poudlard. La surface bleutée du lac reflétait toute la tristesse de la nuit.

Ce mois de juillet n'en n'avait pas été vraiment un. Les moldus ne comprenaient pas pourquoi ils étaient aussi tristes ou que en plein milieu de l'été il y ait un brouillard constant et épais qu'on ne voit d'habitude qu'en automne. Mais le pire de tout était ce vide dans le cœur de tout les moldus. Ils avaient perdu l'envie de rire.

Les sorciers ne savaient que trop bien la raison de tous ces problèmes. Des detraqueurs parcouraient librement le pays entier s'attaquant aux pauvres moldus (qui je le rappelle ne pouvaient pas les voir) et recouvrant le pays de ce voile dépressif (expression de mon cru, ça plait ou pas).

Les cœurs étaient lourds et l'ambiance ne prêtait pas à la joie. Pourtant un homme dans un château ressentait en ce moment même ce sentiment si rare ces derniers temps, le bonheur.

Cet homme à vrai dire n'avait rien de normal. En effet, il était un sorcier mais pas n'importe le quel. Considéré comme le plus grand mage de siècle, il inspirait le génie à l'état pur qui s'exprimait sans les normes que la société imposait. On lui reconnaissait d'immenses pouvoirs mais aussi un coté loufoque qui pour beaucoup faisait son charme.

Ce sorcier dirigeait une plus grande écoles de sorcellerie du monde et était présumé comme étant le chef de ce petit groupe de héros, l'ordre du Phoenix. Ce petit groupe de sorcier et de sorcières combattait sans relâche les forces du mal et surtout un mage noir et ses acolytes, Lord Voldemort et les mangemorts.

Ce grand sorcier (comme vous l'aurez deviné) est Albus Perceval Wulfric Brian Dumbledore. Et en effet en ce moment ces pensées étaient emplies d'espoir. Il allait avoir dans les prochaines heures des entrevues extrêmement importantes ou des décisions toutes aussi importantes allaient devoir être prises.

Le directeur était un homme pour qui, la complexité d'un problème et l'apparente possibilité qu'il n'y a aucune solution à ce problème, ne signifiait pas grand-chose. Il devait pourtant reconnaître que depuis le retour parmi les vivants (ou du moins vivants « corporels ») de Tom le problème posé n'était pas si simple. Mais le professeur avait décidé de s'imaginer le problème comme une grande partie d'échecs.

Évidemment résumer la vie et toutes les possibilités qui la définissent en un simple jeu était trop facile . La vie était bien plus complexe, mais le jeu d'échecs était ce qui pouvait se rapprocher le plus de la situation . D'ailleursl'idée de devoir perdre des pions pour s'approcher du but ne l'intéressait pas du tout. Mais il connaissait aussi le principe aux échecs versions sorciers, qui était que les règles changeaient et évoluaient toujours.

Le jeu de Voldemort lui était clair grâce au travail périlleux de ses deux espions. Ses pièces à lui étaient toutes autant placées mais n'étaient pas pour autant dévoilé au seigneur des ténèbres. Pourtant dumbledore gardait un avantage non négligeable sur son ennemi, dans son jeu il n'y avait pas de pions. Il n'y avait pas d'être qu'on envoyait en combat pour être tué ou n'ayant aucune valeur.

Mais Dumbledore savait que cette guerre n'était peut être pas celle que tout le monde croyait. Elle serait sans aucun doute plus meurtrière et allait impliquer des pouvoirs que l'on avait plus connu depuis plusieurs centaines d'années. Ceci Voldemort le savait aussi, mais en savait-il autant que lui ?

Mais malgré le tableau noir et peu propice à l'espoir, qui se dessinait lentement devant le directeur celui-ci éprouvait en ce moment un sentiment de bien être. Un nouveau jeu et de nouvelles pièces vont être mis en place ce soir même.

Le professeur se tenait à la fenêtre de son bureau, scrutant le parc de poudlard où son prochain rendez vous allait arriver dans quelques minutes. On pouvait voir dans ces yeux le reflet du parc mais surtout une grande sagesse. Sa longue barbe argentée appuyait cette idée.

« Les voilà » avait-il dit à voix basse.

Le directeur se dirigea alors vers une des armoires et en tira sa pensine. Il déposa la baguette magique sur sa tempe et en tira quelques filaments argentés qu'il déposa dans la pensine de pierre. Une fois terminé il reprit la pensine et la remit à sa place.

Il s'assit derrière son bureau et embrassa son bureau du regard. Une grande pièce circulaire ou une multitude d'objets et de livres étaient éparpillés. Son fidèle phoenix Fumseck était aussi là sur son perchoir. Dans une des armoires on pouvait voir le choixpeau magique et l'épée de gryffondor. Le directeur de poudlard avait toujours aimé son bureau et le désordre qui s'en dégageait (pour les autres). Suivre des lignes droites et tracées n'était pas sa philosophie (art moldu, un peu tordu et mal compris par les sorciers et que Dumbledore aimait lire)

« Je pense donc je suis » il ne sont pas si bêtes que cela les moldus souria le directeur qui repensait à ce livre de philosophie moldu.

On toqua à sa porte ce qui eut pour effet de le sortir de ses pensées. Il se leva pour accueillir ses invités qui entrèrent dans la pièce. Un homme et une femme, tout deux étaient de grande beauté et jeunes. L'homme avait des traits fins et une longue chevelure de couleur argentée et ses oreilles étaient pointues vers le bord. Il était habillé d'une longue tunique blanche surmontée d'une cape couleur argent. La femme ressemblait en beaucoup de points à une vélane. Sa longue chevelure bleutée se prélassant sur ses épaules et sa longue robe clair.

- Ah Gil et Ailina c'est un plaisir de vous voir, avait salué poliment Dumbledore.
- Nous de même avait répondu le dénommé Gil d'une voix étrangement musical et mélodieuse.
- Bonsoir Albus avait répondu la jeune femme dénommée Ailina.
- Je vous en prie asseyez vous dit le directeur.

Les invités s'assirent suivant ainsi le conseil du directeur. Le directeur s'assit derrière son bureau en face de ses deux invités.

- Quels sont les nouvelles de l'autre coté demanda le directeur
- En ce moment on est sur les sentiers de guerre répondit Gil
- Les princes noirs se sont réveillés et se préparent mais il faut reconnaître que nous sommes bien loin de votre situation avait ajouté la jeune femme
- Cela n'est pas de bon augure, mais cela ne m'étonne pas.
- Comment cela Albus ?
- Cela fait des années que les princes se préparent mais la guerre devient imminente, ils l'ont senti arrivé, ils savent que nous sommes à la croisée des chemins
- J'imagine que la prophétie se réalise glissa Gil .
- J'en ai bien peur répondit le directeur .
- Mais pour l'instant Voldemort ne s'est jamais retrouvé de l'autre coté et aucune rencontre cette année n'a eu lieu dit Gil. Je le sais car c'est ma charge.
- Je le confirme Gil mais cela ne saurait tarder, et l'heure est au préparatifs et ceci des deux cotés.
- C'est vrai répondit la femme mais avant que cela n'arrive et que la prophétie se réalise enfin il faudrait que l'arbre blanc repousse et que l'ordre soit de retour. Albus savez-vous des choses que l'on ignore ? Demanda Ailina
- En effet et c'est une des raisons qui a fait que je vous ai demandé de venir. Certaines informations me sont arrivées et j'en ai découvertes d'autres.
- Ah intéressant
- J'ai trouvé récemment le manoir Templeton dit Dumbledore

Vu la réaction des deux personnes la nouvelle avait son importance. Ils le regardaient l'air ébahi et beaucoup plus intéressé.

- La personne qui avait les clés était sous mes yeux, et récemment j'ai découvert des choses que je n'imaginais pas possible. En fait c'était James et Lily qui possédaient les clés d'or.
- Impossible Albus, ils nous l'auraient dit
- Certains secrets sont parfois si important Gil que l'on ne veut pas les dévoiler répondit le directeur.
- C'est vrai reconnut t-il
- Et alors comment avez-vous su ?
- Ils avaient confié les clés à leur confident le plus sur et une lettre écrite par sa main m'est arrivée après sa mort.
- Sirius avait été le gardien alors dit Gil .
- En effet et après sa mort la lettre m'expliqua tout.
- Et qu'en est il de l'héritier demanda Ailina
- Il ne le saura et n'apprendra son existence qu'à sa majorité c'est la règle et Sirius m'a dit que c'était la volonté de ses parents.
- C'est certainement mieux ainsi.
- Avez-vous déjà visité le manoir Albus demanda Ailina.
- C'est exactement comme vos contes le décrivent, un lieu plein de magie et l'arbre blanc y est bien dit le directeur. Absolument magnifique ajouta t-il .
- La plus belle plante que le monde n'a jamais offert dit Ailina les yeux pétillants.
- Avez-vous vu aussi la tapisserie demanda Gil.
- Aussi.
- Donc vous avez leur noms demanda Gil.
- En effet, mais je ne vous les dévoilerai pas mais j'ai une meilleur offre à vous faire sourit le directeur.
- Nous voici arrivé au point essentiel Albus sourit à son tour Gil.
- Je ne vous le cache dit il.
- Tu veux qu'on rentre dans l'ordre Albus demanda Ailina.
- Vous y avez toujours été même si vous n'étiez pas avec nous. En fait c'est autre chose que j'aimerais vous proposer. Quelque chose de plus important et surtout plus intéressant dit le directeur. Voulez vous devenir tout les deux les prochains professeurs de défenses contre les forces du mal.
- Eh bien surprenant en effet Albus sourit la jeune femme
- Et je suppose que nous pourrons voir et repérer par nous-mêmes les huit semi elfes, sourit à son tour Gil.
- Aussi répondit le directeur, ils seront tout les huit dans vos classes Gil.
- Mais vous savez aussi que nos positions ne nous permettent pas de venir ici, Albus.
- Voyons vous pouvez bien venir ici vous le savez et je le sais, mais j'imagine que vous attendez autre chose de ma part.
- En effet une seule chose, c'est de nous laisser le choix de nos programmes ajouta Gil.
- Cela ne fait aucun doute se mit à rire le directeur, j'ai une entière confiance en vous.

Ils se mirent tout les trois à rire de bon cœur égayant ainsi un peu le monde si triste en ce moment.

- Je suppose aussi qu'il faudra être ici le 1er septembre si ma mémoire est bonne dit Gil.
- Tout à fait .
- il y a une chose que je n'ai pas compris demanda Ailina. Comment va-t-on donner nos cours à deux.
- Ailina vous vous occuperez des quatre premières années alors que Gil les trois dernières si vous êtes d'accord évidemment .
- Bien sur Albus. Bon maintenant il est temps de partir j'aimerais aller faire un tour à Godric's Hollow ce soir.

Ils se levèrent et se serrèrent la main. Mais au moment de sortir, Gil regarda Dumbledore et lui demanda :

- Comment va-t-il ?
- Un peu perdu en ce moment mais cela ira mieux, tu le verras bientôt et tu verras qui il est répondit le directeur.
- Je l'espère bien Albus, Allez Bonne soirée mon ami.

« Bonne soirée à toi aussi mon ami » avait répondu le directeur au moment où la porte se ferma.
« Une bonne chose de faite, le professeur pour l'année prochaine est choisi » pensa le directeur.

Au lieu d'aller s'asseoir il sortit aussi du bureau, descendit les marches et passa devant les gargouilles avant de se diriger en direction du bureau de sa directrice adjointe à qui il devait parler. Au bout de quelques minutes de marche il arriva devant la porte de son bureau. Il toqua poliment sur la porte avant d'entrer.

Le professeur McGonnagal était assis derrière son bureau. Elle avait gardé cet air strict et le directeur savait que cela faisait de longues années qu'elle avait cet air. Même si il savait aussi qu'en dessous de cette coquille il y avait un cœur d'or.
- Minerva comment allez vous ?
- Bien merci et vous Albus.
- A merveille ma chère reconnut le directeur.
- Ah et pourquoi si je peux savoir demanda-t-elle
- Évidemment que vous pouvez le savoir. Je viens d'engager le professeur pour l'année prochaine et pour être plus exact j'en est engagé deux.
- Qui demanda poliment le professeur de métamorphose.
- Gil-Galad et Ailina.

Un sourire sincère apparut sur son visage.
- je suppose que c'est une bonne nouvelle
- En effet et en plus ce n'est pas la seule Minerva.
- Ah bon
- Les Mckinnon et les Cole vont venir de France et se joindre à l'ordre
- En effet c'est aussi une excellente nouvelle.
- Ils ont pris des postes aux ministères et leurs enfants viendront ici cette année.
- On verra si l'enseignement de Beaubaton est toujours aussi bon sourit la directrice.
- Mais je n'étais pas venu que pour vous annoncer ces bonnes nouvelles.
- J'imagine que c'est au sujet des différentes protections dit la directrice de Gryffondor.
- En partie oui Est-ce que toutes nos commandes vont être délivrées ?
- Toutes, les créatures arriveront demain, Hagrid est prévenu et va s'en occuper.
- Fantastique et au niveau du sortilège .
- Severus a presque terminé, il a dit qu'il me tiendrait au courant.
- Il n'est pas là ce soir.
- Non il a été appelé avait elle simplement répondu.
- Bien j'irais le voir dès qu'il reviendra. Et j'aurais aussi aimé savoir si les lettres ont été envoyées au frères weasley.
- C'est aussi fait dit elle, ils m'ont promis de grosses surprises.
- Et je les crois sourit le directeur. Bon ma chère je vais vous laisser à vos occupations.
- Bonne nuit alors Albus.
- Bonne nuit Minerva.

Le directeur sorti de la pièce et se dirigea en direction de la grande porte avec son habituelle démarche souple. Il arriva assez vite devant les grandes portes et sorti dans la nuit fraîche.
" Heureusement que je porte des habits chaud pensa le directeur."

Il marchait désormais sur l'herbe fraîche et souple tout en se dirigeant vers la sortie de l'école. Il devait se rendre ce soir au ministère de la magie. Et pour y aller il transplana à peine sorti de Poudlard.

Il arriva quelques secondes après au neuvième étage du ministère. Il avança tranquillement dans le couloir vide à cette heure. Il monta les escaliers deux par deux avant de s'arrêter devant une porte sur laquelle était écrit : « Bureau du Ministre de la magie »

Il toqua et attendit quelques secondes qu'une voix d'homme lui réponde d'entrer. Le directeur entra dans le bureau. Une grande pièce carrée où les murs étaient recouverts des cadres des plus grands ministres de la magie. La pièce en dehors de cela était en fait simple et sobre. Le bureau était en bois et se trouvait au milieu de la pièce. Le ministre se trouvait assis derrière et se demandait bien qui pouvait venir le voir à cette heure. Il leva la tête et regarda l'intrus. À peine il eut posé ses yeux sur le directeur le ministre se leva d'un coup pou accueillir son invité à qui il serra la main avec vigueur.

- Professeur Dumbledore sourit le ministre .
- Mr le ministre répondit celui-ci .
- Je vous en prie appelez moins Anton.
- A la seul condition que vous fassiez de même
- D'accord Albus, je vous en prie prenez un siège.
- Merci dit il avant de s'asseoir .
- Je voulais vous féliciter pour votre élection Anton.
- Merci Albus, je sais que j'ai reçu votre soutien.
- Et je sais que vous êtes quelqu'un de bien, en tout cas lorsque j'étais votre directeur à Poudlard.
- Et j'espère ne pas avoir changé, mais j'imagine que ce n'était pas la seule raison de votre visite.
- En effet, mais la longueur de celle-ci dépendra de la réponse que vous me donnerez à la prochaine question.
- Ah et qu'elle est elle ?
- Je vous ai toujours considéré comme une personne intègre et un excellent sorcier. Et ce soir j'ai décidé de vous faire une proposition simple. Voulez vous rentrer dans l'ordre du Phoenix ?

Le visage du ministre passa de la courtoisie à la surprise en moins de temps qu'il n'en fallait pour le dire.

- Mais … pourquoi, pourquoi Maintenant.
- Car je suis sur de qui vous êtes et que vous defendez sincerement les idées qui sont les votre.
- Comment ……
- Je dois vous avouer que j'ai mes propres informations.
- Donc vous voudriez que je vous rejoigne.
- En effet
- Mais comment pouvez vous savoir que je ne travaillerai pas pour le ministère et vous mettrait des batons dans les roues.
- Pour la raison simple que vous n'auriez pas poser la question Anton .
- Oui c'est peut être vrai
- Alors quelle est votre réponse ?
- Oui, j'accepte répondit le ministre une petite lueur dans les yeux.
- Bien alors nous allons pouvoir discuter plus longuement .
- Ah et à quel sujet.
- Tout d'abord, il serait bien que vous vous occupiez de chercher et faire surveiller tous les espions de Voldemort parmi vos employées.
- je vais le faire mais ça ne sera pas facile .
- Je suis sur que vous savez comment faire, l'ingéniosité ne vous a jamais manqué.
- ….. Merci rougit le ministre.
- Quand il faut être honnête il le faut.
- Sinon j'aurais aussi aimé vous prévenir que vous pourrez rappeler toutes les unités d'auror placés à coté de Poudlard. J'ai mis en place une bien meilleure sécurité.
- Excellent, je les rappellerai ils pourront s'occuper d'autre taches.
- Et à ce sujet j'aurais voulu vous parler d'engager quatre nouvelles recrues venues de France.
- Oui mais qui est-ce.
- vous les connaissez déja, j'en suis sûr . Vous les verrez dans la semaine, mais je peux vous assurer qu'ils sont tous d'excellents sorciers.
- Je verrais alors demain.
- Pas de problème. Je vais donc vous laisser à votre travail qui je le suis sur est très important. Bonne nuit Anton.
- Merci vous aussi avait salué le ministre raccompagnant le grand mage à la porte.

Le directeur sorti et pour la énième fois aujourd'hui, un sourire apparut sur son visage. La journée avait été aussi bonne qu'il avait espéré. Tout c'était bien passer.

Il retransplanna à Poudlard et au bout de quelques minutes il fut de retour sur son bureau. Il caressa son phoenix qui apprécia le geste. Il allait s'asseoir lorsque la dernière chose qu'il attendait ce soir arriva. Un hibou grand-duc tapotait à la fenêtre avec son bec. Il le laissa entrer et détacha la lettre à sa patte avant que l'animal prenne le chemin des volières de l'école. Il s'assit enfin sur sa chaise et lut la lettre dont il reconnut l'écriture.

« Olive et Daniel vont venir s'installer en Angleterre comme tu me l'a demandé. Je dois reconnaître que tu n'avait peut être pas tort. Daniel, rentrera aussi à Poudlard. Je suis sur que tu en es heureux.

Sinon ma mission se déroule pour l'instant au mieux. Personne ne me soupçonne et je monte les marches plutôt rapidement.

Sinon bonne soirée et j'espère que tout c'est bien passé aujourd'hui. »

Il replia la lettre et repensa à la dernière phrase et pensa en son for intérieur.
« Oh oui, quelle merveilleuse journée »