Disclamer : Le monde de Harry Potter ne m'appartient pas mais Emilie Flemming si.
Couple : DM/OC/HP
Message : Je sais qu'il y a des fautes mais on est en période de noël donc je ne l'embêterais pas tout de suite :D
Chapitre 1 : La découverte !
Je m'appellais Émilie Flemming, j'avais 17 ans et j'avais passé toute ma vie dans un placard. J'étais grande, maigre. Je possédais des yeux bleus claires froids et des cheveux noirs avec des reflets violets. D'ailleurs, cela fit quelques années que je n'avais pas brossé mes cheveux. Ma peau était douce et beige, j'avais également des cicatrices un peu partout sur mon corps.
Vous vous demandez pourquoi je suis dans un placard ?
J'étais ici, dans le noir, sans jamais avoir connu mes parents parce que je possédais une magie encore plus puissante que celle de Lord Voldemort, Albus Dumbledore… Le leader de l'ordre de phénix, depuis ma naissance, me convoitais pour pouvoir m'utiliser pour vaincre son ennemie, le mage noir. Seulement, ma mère avait refusé que je fasse partie de cette guerre, c'était trop dangereux pour moi. Évidemment, le directeur de Poudlard n'était pas ravi de ce refus. Le vieille homme à la barbe blanche l'avait tuée, sans aucune pitié, sans aucun remord. Même bébé, je comprenais que mon destin dépendrait de cette homme.
À mes trois ans, dès que j'étais arrivée dans cette maison, le vieux m'avait enfermé dans le placard. Je n'avais personne avec qui parler, jouer. Je n'avait jamais vu la lumière du jour depuis ce moment là. Je parlais toute seule en espérant qu'un quelqu'un me sortirais de là. La solitude m'étouffais. Je mourrais à petit feu. Je pleurais les nuits et je criais les jours avec l'espoir que quelqu'un, n'importe qui m'entendrais. Seulement, ce jour n'avait jamais eu lieu. L'espoir avait disparu. Je ne parlais plus. Je ne mangeais plus. Je ne pleurais plus. Je n'espérais plus. J'étais devenu une loque. Je pourrissais dans le placard. Cela fait 7 ans que je ne parlais plus. Il y avait des moments où l'envie de ce battre revenait. Je me précipitais vers la porte pour la frapper de toutes mes forces. En pleurant, criant, sanglotant… Comme l'enfant que j'étais avant.
Un jour où le sol était couvert de neige, la porte de ma prison, de mon placard, s'ouvrit pour dévoiler le vieil homme qui tenait un corps sans vie dans ses bras. Il balança le corps dans le placard avant de fermer la porte, me replongeant dans le noir. J'approchais de ce corps à genoux pour découvrir qui sait. En premier, je touchais ses cheveux longs, boucles et doux. En deuxième, je retraçais les formes de son visage comme un aveugle avec l'espoir de découvrir son identité. En troisième, je touchais sa peau pour en connaître sa douceur. Finalement, l'image d'une femme apparaît dans mon esprit comme une évidence. Non… Pas elle…
- Maman… Sanglotais je en prenant le corps sans vie de sa mère dans ses bras.
J'avais l'impression de pleurer tellement fort que l'Angleterre pourrait m'entendre. J'avais 6 ans. Je venais de perdre ma mère une seconde fois. Mes larmes étaient devenu de l'acide. Ma gorge était en feu tout comme mes poumons. J'avais maudits Albus Dumbledore. À la fin de la journée, je me retenais de crier de peur que le corps de mon père soit dans le placard avec nous le lendemain. Le jour de mes 8 ans, mon père me rejoignit, ma mère et moi dans le placard, mort. Je ne pleurais pas sa mort. Je ne pouvais plus pleurer. Je n'avais pas assez d'énergie pour ça. Je mis les corps de mes parents dans un coin de la pièce avant de mettre une couverture sur leur tête. Je ne voulais pas voir leur expression si un jour la porte s'ouvrirait. J'avais peur de leur jugement. Ils étaient morts à cause moi… Pour moi. Et ma seule envie, c'était de les rejoindre. De quitter cette endroit… Ou alors de me venger. Moi et mes parents pour le mal que Albus avait fait. Un jour, je le tuerais. Et ce jour là, je serais en paix avec moi même. Tout comme mes parents.
Aujourd'hui, c'était l'anniversaire de mes 17 ans. J'entendais des voix. Certainement ceux des membres de l'ordre de phénix. Hier, Albus était venu me voir pour me dire que mon entraînement commencera bientôt. Seulement, il avait oublié de fermer la porte. Malheureusement pour moi, j'avais peur de dehors. J'avais peur des gens. Mais surtout, si j'ouvrais la porte, je verrais le corps de mes parents en décomposition. Je ne voulais pas. Je voulais garder une bonne image d'eux.
Malheureusement… Tout ne se passa pas comme prévu.
Draco avait intégré l'ordre de phénix. Il en avait marre d'entendre les ordres de son père comme quoi il était un Malfoy… Le blond taquinait Harry Potter comme d'habitude, en l'insultant de tout les noms, en lui rappelant la mort de ses parents… Évidemment, le brun devint rouge avant de foncer sur lui. L'aristocrate partit en courant, malheureusement pour lui, il ne connaît pas la maison. Bientôt, il arriva dans une impasse. En tournant la tête pour chercher une sortie, le blond repéra une porte dissimulé. Sa main pâle se posa sur la poignée et il l'a tourna pour ouvrir la porte se cacher. La porte s'ouvrit. Draco rentra sans regarder à l'intérieur avant de la refermer. Le jeune homme sortit sa baguette pour éclairer l'intérieur de placard.
Le blond se retourna vers le fond du placard pour découvrir...
- Nom de Salazar...
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