Résumé :
Les élèves de Poudlard ont beaucoup de chance car cette année, Dumbledore a le goût du voyage !
Bagages pleins de lunettes de soleil et de serviette de plage, les apprentis-sorcier sont plus ou moins prêts pour des vacances scolaires à la moldue. Les avis sont partagés, les humeurs aussi, mais ce qui est sûr c'est qu'ils ne sont pas au bout de leur surprise. Connaissez-vous le goût des glaces italiennes ?
Réponse au défi de P'tite Yume ! J'espère que ça vous plaira… c'est une fic en peu de chapitre et voilà, le premier !
Bonne lecture !
Chapitre 1 : Nos vie sont belles…
Lily Evans, Sixième année, venait de sortir de son dernier examen, celui de Potion, et elle n'était pas fière d'elle. Sa potion aurait dû être rouge sang et Lily lui avait plutôt trouvé une couleur rouge carmin. Oui, elle était déçue. C'est surement pour cette raison qu'elle répondit encore plus sèchement que d'habitude aux numéros de dragues de son prétendant le plus collant et têtu, James Potter.
-Va jouer avec ton vif d'or, Potter, au lieu de jouer avec mes nerfs !
-Mais, ma Lily-Jolie…, commença-t-il à protester.
-Arrg !
Lily accéléra, au point de courir presque, et James abandonna la partie en soupirant, la laissant disparaître de sa vue au coin du couloir. Il s'adossa contre le mur, fatigué d'être encore une fois rejeté par sa bien-aimée, et leva la tête en direction du plafond, les yeux fermés et les mains profondément plongées dans ses poches. Il avait presque envie de se taper le crâne contre le mur mais il doutait fortement que ça l'aide dans ses tentatives à séduire la belle rousse.
Une main se posa sur son épaule et un rire semblable à un aboiement retentit proche de ses oreilles. James n'eut même pas à ouvrir les yeux pour savoir que Sirius l'avait rejoint et il savait déjà qu'il allait commenter la scène. Un vague sourire perça sa mine renfrognée bien que les remarques de son meilleur ami n'étaient pas très compatissantes, il savait comment lui remonter le moral.
-Alors, mon vieux Cornedrue, ta préfète t'a encore envoyé te faire un brushing ?
-ç'avait à peu près ce goût là, ouais, marmonna-t-il, ironique.
-Délirant, j'en reviens pas ! répliqua Sirius, toujours railleur. Ça sort tellement de l'ordinaire !
Les autres élèves commencèrent à sortir à leur tour Sirius, James et Lily étaient parmi les meilleurs de leur promotion, ils finissaient souvent les premiers. Quelques autres avaient les mêmes excellents résultats mais préféraient vérifier leur travail, croyant à la possibilité qu'ils aient fait des erreurs. Ainsi, Remus qui était un très bon élève fut l'avant dernier à quitter la classe, après même Peter qui avait un air désespéré.
-Tu pouvais pas te grouiller, Lunard ? s'agaça Sirius dés qu'il vit son ami préfet.
-Je vois pas pourquoi je devrais me presser, remarqua Remus, amusé. Tu t'en es sorti, Pete ?
-Oui… enfin, ça va… ça va bof…
Le jeune Gryffondor finit par soupirer puis à gémir :
-Nan, en fait, c'était une catastrophe ! Ma potion avait l'air d'un jus de citrouille périmé ! Je vais avoir un T !
Remus se complaignit alors de compassion auprès de son ami en lui demandant combien de milligrammes de Poudre de Dent de Chauve-souris avait-il mis dans sa potion tandis que Sirius et James parlait du dernier mauvais coup qu'ils avaient prévu de faire aux Serpentard.
Les Maraudeurs avaient déjà disparu au coin du même couloir que Lily avait emprunté quelques minutes plu tôt, rageuse, quand Stacy McMillayn sortit à son tour de la salle d'examen, le cœur gros, son uniforme dégoulinant d'un liquide vert vaseux.
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-Ce mec est vraiment un pauvre type ! déclara Emily Daniels, hautaine.
-Ah oui, ça, tu l'as dit ! On est en pleine séance d'examen et il continue à m'harceler, se plaignit Lily en observant le soleil qui se reflétait à la surface du lac.
Le court échange qu'elle avait eu avec James lui était encore en travers de la gorge. Et elle fulminait. Elle fulminait énormément.
Alice, à ses côtés, lisait un magazine, sans vraiment s'intéresser à la discussion de ses amies. C'était toujours –ou presque- le même sujet les garçons. Pour Emily, les garçons de bonnes familles et aux regards ensorcelants et pour Lily, James Potter. Et James Potter était contenu dans le groupe « garçons de bonnes familles aux regards ensorcelants » donc Emily, derrière ses airs dédaigneux vis-à-vis de l'ébouriffé, était en fait bien plus qu'intéressée par lui. Alice le savait mais elle n'avait rien dit à Lily car elle savait une seconde chose la préfète n'était pas indifférente, non plus, au brun. Elle était même obnubilée par lui et ne parlait que de lui. Mais Alice faisait comme si rien n'était et jouait au jeu de ses deux amies…
La petite blonde leva cependant son regard des lignes de son magazine pour le porter sur un jeune homme de son année et de sa maison, aux cheveux châtains et au sourire constamment collé sur son visage Franck Londubat. Elle n'avait jamais eu besoin de l'entendre arriver pour en être au courant, pour autant. C'était comme instinctif, comme une alarme qui retentissait langoureusement dans son cœur à chacune de ses approches. Car, Elle, Alice Connors, ne trouvait aucun charme aux Don Juan, aux vedettes de Quidditch ou aux bad-boys. Elle, elle n'aimait que lui et ses sourires.
Avec un bref soupir discret, Alice se replongea dans sa lecture après avoir vu Franck s'assoir auprès de deux Poufsouffle.
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-Tu t'es encore ramassée, Cissy ? minauda Katy McMillayn en se limant les ongles.
Stacy hocha simplement la tête face à la fausse interrogation de sa soeur . Le beau regard de celle-ci pétilla de moquerie mais quand elle reprit la parole, sa voix avait toujours toute sa douceur :
-Oh… je suis si désolée pour toi. Tu veux bien nous chercher une boisson glacée aux cuisines, ma chérie ?
-Super idée, Kate ! J'avais trop soif ! Merci, Cissy, s'écria Margareth Suiller.
Stacy n'avait aucune envie de descendre aux cuisines. D'ailleurs, elle n'avait envie de ne rien faire. Elle était tellement abattue et épuisée psychologiquement fatiguée de n'être bon en rien lassée de tout louper désespérée par elle-même. Elle venait de s'assoir dans ce canapé, aux côtés de ses deux seules amies, après avoir été obligée d'aller se changer, sa potion d'examen lui ayant explosé à la figure. Elle ne voulait pas quitter ce canapé. Mais Maggie et Katy étaient les seules à la trouver fréquentable et, malgré ses résultats affreux et sa réputation de quasi-cracmol, elles restaient ses amies… alors, elle pouvait bien leur faire plaisir, en retour, non ? Elles méritaient bien ça.
-Ah oui… bien sûr…
Elle se leva, offrit un sourire aux deux jeunes filles, et sortit de la salle. Elle n'eut pas à marcher bien longtemps les cuisines étaient à proximité de la salle commune des Poufsouffle. Mais pendant ce court trajet, la pensée qu'elle pourrait redoubler à cause de ses échecs scolaires ne l'avait pas quittée. Elle allait chatouiller la poire qui ouvrait l'accès aux cuisines quand la porte de celles-ci pivota d'elle-même. Deux garçons en sortirent Remus Lupin et Sirius Black. Stacy les connaissait de réputation mais n'avait jamais eu la chance de leur parler. Ils faisaient partie de ce groupe de quatre Gryffondor populaires, beaux et farceurs qui s'appelaient les Maraudeurs. Toutes les filles se pâmaient d'admiration pour eux… enfin, presque toutes. Il y avait quand même quelques exceptions à cette règle.
-Ah, salut… Stacy, c'est ça ? demanda Remus avec un petit sourire.
Rougissante et étonnée que l'un des garçons qui fassent le plus soupirer la gente féminine de Poudlard connaisse son prénom, Stacy ne put que bafouiller un oui. Sirius sembla perdre patience et il bougonna :
-On est content de le savoir, maintenant, on pourrait se casser, Mumus ?
Remus lança un sourire d'excuse à Stacy puis ronchonna à son ami, en le suivant pour s'éloigner des cuisines, de ne pas l'appeler « Mumus ». La jeune fille n'entendit que Sirius lui répondre un « oui, ma Peluche Préférée » et elle les regarda disparaître au bout du couloir, rêveusement. Elle aurait voulu mener une vie comme les leurs avec des rires, des blagues, de bonnes notes, d'excellents amis, une joie de vivre omniprésente, des rebondissements et tous ses petits extras qu'ont ceux qui ont de la chance. Elle, elle n'était que la pauvre nulle de service, Stacy McMillayn, la petite sœur de la belle Katy, la nunuche et pas très jolie. Elle évita son image qui se reflétait dans le petit miroir à côté de la porte des cuisines et y pénétra.
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-Ah, si, si ! Cette pouffe a couché avec le copain de la préfète coincée des Serdaigle ! assura Aubépine Turner.
-Comment tu le sais ? s'enquit Regulus Black avec un haussement de sourcil.
Il ne croyait plus vraiment sa rouquine d'amie qui avait une fâcheuse tendance à virer mythomane. L'année dernière, elle avait lancé la rumeur que Dumbledore avait une liaison avec le concierge alors que tout le monde savait que celui-ci draguait la bibliothécaire. Le directeur l'avait alors invitée à son bureau pour lui demander ce qui lui avait inspiré une telle idée. D'après ce qu'elle leur avait raconté plus tard, Aubépine et le barbu avaient parlé d'homosexualité, de concierge et de bonbons au citron avec beaucoup de complicité. D'après ce qu'elle leur avait dit.
Il jeta un rapide coup d'œil à sa deuxième meilleure amie, Maena Glascow. Celle-ci sourit, amusée face à la perplexité du beau brun.
-C'est Hadrian qui me l'a dit. Il les a surpris dans le vestiaire des Poufsouffle…
-Ils ont le goût du risque, ces Poufsouffle ! commenta Maena en éclatant de rire.
-Kankadrief est fou de toi et veut sortir avec toi depuis presque aussi longtemps que Potter avec Evans. Il te raconterait n'importe quoi pour t'impressionner, Aubey !
-Et toi, t'es un putin de sceptique de nature, Black ! s'énerva la rousse. Moi, je te dis que c'est la vérité vraie et que je vais pouvoir faire chanter cette pétasse de McMillayn autant que je le veux… elle va regretter d'avoir saboté mon balai !
Maena se retenu d'éclater de rire. Elle sentait que la fin d'année ne serait pas de tout repos et ce n'était pas pour lui déplaire ces derniers temps, rien de spécial n'était arrivé et Maena aimait plus que tout l'action !
Ils croisèrent alors une Poufsouffle qui était dans la classe au-dessus d'eux, en Sixième année, et que Maena ne connaissait que de vue. Elle était chargée de boissons… la Serpentard trouva étrange que la Poufsouffle n'ait pas réduit ses boissons pour les mettre facilement dans sa poche. Tout le monde faisait ça.
Aubépine s'empara au passage d'une des bouteilles de Bierre-au-beurre de la jeune fille en ricanant :
-Merci, Pouf-pouf !
Stacy n'eut pas le courage de répliquer. Elle connaissait bien Aubépine Turner, Serpentard de Cinquième année, fille de sang-pur pourri gâtée, cruelle et détentrice d'une langue de vipère qui sifflait des rumeurs ignobles à plein temps. Elle ne voulait certainement pas faire partie de ses victimes favorites.
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-Hey, Cléo, ma poule ! Dis-moi, t'as pas vu Hadrian ? lança Aubépine.
Cléo releva son regard gris bleuté vers la Serpentard avec un petit sourire en coin. Elle savait ô combien Hadrian bondirait de joie quand elle lui répètera que la fille de son cœur le cherchait. Aubépine remarqua la manigance de la petite Poufsouffle et son regard malicieux lui donna des envies de meurtre, tandis que Maena réprimait un fou-rire et que Regulus montrait bien son ennui.
Louise Thornton regardait d'un mauvaise œil ce groupe de Serpentard qui débarquait sans même se demander s'ils gênaient ou pas. Et ils la gênaient ! Qu'ils s'en aillent bien loin avec leurs langues de vipères et leurs petits airs sournois !
-Peut-être bien… pourquoi ? Il te manque notre Hadrian, Aubey ? minauda Cléo.
-Tu sais bien qu'en ce moment, elle peut pas se passer de lui ! se moqua Maena.
-Bon, Truss, t'accouches ? Il est où ? s'impatienta Regulus Black.
-Hé, la diva ! Elle se calme ? rétorqua Cléo en fronçant les sourcils.
Regulus n'allait pas en rester là quand Louise intervint, sous l'œil approbateur de Martin qui désirait plus que tout que les Serpentard repartent d'où ils venaient.
-Qui dit qu'il n'est pas occupé ? C'est pas parce que tu sais qu'il est dingue de toi, qu'il faut croire qu'il est à tes ordres, Turner ! Attends ce soir, au dîner… ça doit pas être bien important, de toutes façons.
La voix de la jeune fille aux cheveux frisés était parfaitement calme mais ses paroles mirent néanmoins Aubépine dans tous ses états. Celle-ci sortit instantanément sa baguette et la pointa sur Louise qui haussa un sourcil.
-Prends pas tes grands airs avec moi, Thornton ! Ça marche peut-être avec ton abruti de Diggory mais pas avec moi ! Alors, essaye encore et tu vas voir !
-Ooooh, par Merlin ! La grande Turner va me régler mon compte, je vais me pisser dessus…
Après avoir échangé un regard amusé avec Maena, Cléo et celle-ci éclatèrent de rôle. Cléo se leva et se plaça entre sa meilleure amie et Aubépine dont les disputes et les prises de bec, qui dégénéraient souvent, étaient plus que fréquentes.
-Vous voulez peut-être des gants de boxe, les filles ? plaisanta Cléo. Allez, quoi, le ciel est beau, les piafs font tout plein de gazouillis… alors, j'sais pas, faites un petit effort ?
-Oh, la ferme, Cléo !
Le pas rageur, Aubépine s'en alla avec un dernier regard mauvais pour Louise, bientôt suivi par Maena qui colla une bise à Cléo et Regulus qui arborait toujours son air de profond mépris.
-Pourquoi t'es potes avec ça, Crazy Darling, déjà ? grinça Louise en direction de sa meilleure amie.
-Un malentendu, certainement, ironisa Martin, toujours allongé dans l'herbe, les yeux fermés.
Cléo se retourna vers ses deux amis en réprimant une puissante envie de rire. Combien de fois avait-elle entendu ses remarques ? Elle ne les comptait même plus… surement autant que les fois où elle-même avait demandé à Louise ce qu'elle trouvait de si intéressant à Lily Evans.
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-Servilus ! Toujours pas lavés, tes cheveux ? railla Hadrian en criant.
L'attention du couloir se porta un instant sur le jeune homme qui fit se retourner le Serpentard aux cheveux corbeaux lui retombant devant les yeux. Celui-ci n'avait pas une apparence très agréable et ne s'attirait donc pas la sympathie de ses camarades, car tout le monde sait que les apparences prônent sur tout le reste.
-Il serait temps de changer de refrain, Kondratiev… ça manque un peu d'originalité ! T'es presque au même niveau de spiritualité que les Maraudeurs, pas de quoi être fier ! répliqua Severus, hautain.
Avec un petit rire, le Poufsouffle arriva à la hauteur du Serpentard. Leurs camardes avaient cessé de s'intéresser à leur échange en effet, c'était devenu une habitude de les voir se lancer des piques. Cependant, s'ils n'avaient pas été si superficiels et crédules, ils auraient pu voir le sourire autant amusé que complice que lança Hadrian à Severus.
-C'est trop d'honneur, Sev… me donner l'exploit inhumain d'atteindre le degré de connerie de Maraudeurs !
-N'en prends pas l'habitude, mon vieux ! lui conseilla Severus, en réprimant un sourire.
-Tu viens à la maison, pendant ces vacances ? demanda Hadrian.
-Tout dépendra de mon père, cousin, grinça Severus, en perdant le peu de bonne humeur qui lui était venu.
-Tout dépend toujours de lui.
Severus ne put qu'acquiescer. Son cousin avait raison, tout dépendant toujours de son père les pleurs de sa mère le nombre de coup et d'insulte que sa mère recevrait son avenir, à lui son bonheur, à lui. Tout.
Severus remarqua le regard perplexe d'un Gryffondor qui les regardait discuter et le Serpentard reprit son ton mauvais pour grincer à son cousin secret :
-Va donc retrouver ta maison de demeurés !
Le regard malicieux, Hadrian lui lança un clin d'œil et il fit volte face, se demandant pourquoi à Poudlard, tout devait être si compliqué. Ces frontières entre les maisons, ces préjugés relevant de plusieurs siècles, ces règles idiotes… Des restrictions aux Paradis.
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Assis à sa table, son regard pétillant derrière ses verres en demi-lune et un sourire planant sur ses lèvres, le directeur observait cette masse d'élève dont chacun s'agitait pour choisir la place qui réunirait toutes ses petites caractéristiques près de sa bande d'amis plus ou moins grande devant ses plats préférés à l'angle parfait de sa ou son amoureux secret, pas trop loin mais surtout pas trop proche, pouvoir le ou la regarder sans qu'il ou elle ne s'en aperçoive ni quiconque d'autre le plus loin possible des ennemis ou rivaux le plus près possible de l'entrée –ou plutôt de la sortie- de la Grande Salle et, par logique, le plus loin réalisable des profs qui avaient l'œil baladeur. Les générations avaient beau se succéder, le principe, l'attitude et les réflexes des adolescents, qu'il voyait grandir avec joie, restaient les mêmes. La jeunesse n'a pas d'époque.
Il se leva, demanda le silence comme à son habitude et les élèves eurent tôt faire de lui donner satisfaction. Plus par curiosité que par respect, les élèves se demandaient ce que leur saugrenu directeur voulait bien leur dire.
-Mes très chères élèves. Les examens étant finis pour tout le monde, aussi bien pour les dernières que les premières années, je peux vous encombrer l'esprit de petites choses futiles mais non moins agréables ! Pendant ces vacances-ci, je vous propose de consacrer deux petites semaines –tout frais payés par l'école- de Juillet pour découvrir un autre pays que notre magnifique Angleterre. Aucune obligation, bien évidemment je comprendrai aisément que vous préfériez rester auprès de vos familles. Mais pour ceux que ça intéresse, l'Italie les attend ! Je vous laisse donc y songer pendant le repas… vous aurez jusqu'au 10 Juillet pour répondre par lettre à cette invitation. Bon appétit, à tous et à toutes !
Souriant face à la violente réaction de la Salle, Dumbledore se rassit, bienheureux. L'Italie était le pays de l'amour, des plaisirs et du soleil et c'est de ça qu'avaient besoin ces jeunes gens qui ne savaient encore que trop peu ce qui les attendait. La guerre approchait. Ses souffrances, avec. Mais ils aveint encore le temps d'être heureux…
