Blabla de l'auteur : poème écrit pendant la pause.

Le petit Livaï rouge

C'est le petit Livaï rouge
Qui à travers la forêt se bouge
Pour défricher le passage
Vers la maison d'Erwin le sage

Il fait tournoyer ses lames largement
Pour dégager plantes et titans
Nul n'est de taille face à lui
Même si c'est lui le plus petit

Arrivé chez son ami
Il le trouve malade au lit
S'approchant inquiet de la couette
Il se fait surprendre par la bête

Point d'Erwin sous les draps
Mais un titan rusé ma foi
Qui a réussi à piéger
Le meilleur soldat de l'humanité

Livaï crut qu'il allait finir en tartare
A moins qu'un soldat passe par hasard
Mais rien ne bougeait dans le sous-bois
Et le titan entama son repas

Pour une meilleure dégustation
Ses crocs arrachèrent le pantalon
Et Livaï eut bientôt l'horreur
De découvrir qu'il était joueur

Le soldat ne se laissa pas faire
Mais le titan connaissait son affaire
Et il ne pouvait faire plus de quelques enjambées
Avant de se faire rattraper

Pantelant sous les caresses
Que le titan administrait avec adresse
Livaï finit par s'abandonner
Au plaisir de se faire fourrer

Quand il refit surface
Le titan le câlinait sans menace
Et se montra même obéissant
A laisser se lever son amant

Face à un tel comportement
Livaï se dit que ce titan déviant
Pourrait avoir son utilité
S'il arrivait à le dresser

C'est ainsi que Livaï quitta la masure
Sur une nouvelle monture
Qui lui permit de faire de nouveaux records
Même s'il devait la nourrir de son corps

Rentrant d'une visite à Hanji
Erwin fut fort surpris
De découvrir qu'un typhon
Avait visiblement visité sa maison

Au plaisir de lire vos reviews

Iroko