J'ai toujours trouvé que Mirai Sarutobi était le personnage le plus intéressant de la « nouvelle génération » de Naruto. Du coup j'ai voulu écrire quelque chose sur elle, et un peu sur Neji, car je trouve ça très drôle qu'il soit « oncle », même si officiellement il est mort. Quoi qu'il en soit, j'espère que ça vous plaira !

Disclaimer : Je ne possède pas Naruto, sinon j'aurais déjà créé un manga sur Mirai Sarutobi, Mirai Gaiden, au lieu de Naruto Gaiden.


Première partie : Une mission cruciale.

Mirai Sarutobi était fidèle à son village. Depuis son plus jeune âge, elle avait été instruite par son parrain, Shikamaru Nara, dans les idéaux de la « Volonté de Feu » de Konoha. Cette même Volonté de Feu que son père avait transmis à son élève, qui lui-même le transmis à sa filleul. Ce fut pour cette raison qu'elle fut toujours très attentive à ce qui l'entourait. L'art Shinobi l'intéressait au plus haut point et, tout comme son père et son arrière-grand-père, elle désirait servir son pays avec le plus grand honneur et la plus grande dévotion. Ce sont ces idées qui lui permirent de devenir ninja dès son plus jeune âge.

Mirai surprit beaucoup de monde lorsqu'elle obtenue le titre de ninja de Konoha, par le grade de genin. Contrairement aux autres étudiants de l'académie, qui le recevaient vers leurs onze-douze ans, elle l'avait obtenue des années auparavant. Poursuivant dans ce choix de carrière et dans l'excellence de ses aptitudes, elle reçut son titre de chûnin quand d'autres devenaient à peine des genins et, à peine trois ans après être entrée dans l'adolescence, fut promue jônin, et rejoignit les Tokubetsu jônins.

Certes, son parcourt de carrière était des plus impressionnants et honorable mais si beaucoup furent impressionnés, d'autres n'y voyaient là que le juste parcourt de la fille de deux grands jônins, sans oublier l'apprentie d'un des plus grands stratèges du village. On pouvait le dire, Mirai Sarutobi était prodigieuse et grâce à son talent, elle était régulièrement demandée par le Nanadaime Hokage, Naruto Uzumaki.

Et aujourd'hui, l'Hokage demandait encore une fois ses services, sachant que la jônin ne refuserait pas. Cette dernière se dirigeait justement vers le bureau de l'Hokage, déjà vêtu de son uniforme ninja, accompagnée de Shikamaru, qu'elle avait croisé en chemin. Comme ils se rendaient au même endroit, ils avaient décidé d'y aller ensemble.

« Alors, pourquoi Naruto-kun t'appelle, cette fois ? demanda Shikamaru.

— Je ne sais pas. Mais cela ne doit pas être bien important sinon Hokage-sama m'aurait prévenu bien avant, comme lors du dernier sommet des cinq Kage au pays du Fer.

— Il t'a quand même demandé, donc cela doit avoir une certaine importance. Sinon il aurait demandé quelqu'un d'autre, et non une jônin spéciale. »

Mirai haussa les épaules. Son parrain devait avoir raison mais, pour le peu qu'elle connaissait de l'Hokage, elle savait qu'il ne prenait pas son rôle à la légère et que, dès qu'il fallait la présence d'un jonin spéciale pour une affaire importante, il s'assurait de la disponibilité de ceux-ci.

Ils arrivèrent devant le bureau de l'Hokage et Shikamaru frappa à la porte, recevant un « Entrez ! » de la part de l'occupant de la salle dans laquelle ils pénétrèrent. L'Hokage était assis devant son bureau, des papiers disposés un peu partout et, posé à côté d'un ordinateur, le couvre-chef du dirigeant. Comme d'habitude, il portait son manteau de Nanadaime Hokage par-dessus un vêtement orange. D'après l'agitation dont faisait preuve l'Hokage, il se passait quelque chose d'important.

« Ha, Shikamaru-kun et Mirai-chan ! Vous tombez bien, s'exclama l'Hokage.

— Na... Hokage-sama, reprit Shikamaru avec le titre honorifique de son supérieur. Que se passe-t-il ?

— Je viens de recevoir un message important de Gaara-kun, expliqua Naruto, qui me demande de me rendre immédiatement à Suna. Je partirai aujourd'hui même.

— Pourquoi te demande-t-il ? C'est grave ?

— Il ne m'a pas dit. Ce n'est rien de bien inquiétant mais il veut quand même que je sois présent à Suna dans quelques jours. D'après son message, nous devons parler de quelque chose d'important. Peut-être parle-t-il du prochain examen chûnin, je n'en sais rien.

— Pardonnez-moi, Hokage-sama, intervenu Mirai, mais vous avez dit que vous partez aujourd'hui même ?

— Oui. Je n'ai pas beaucoup de travail ces temps-ci et, puisque le Kazekage me demande, je ne vais pas le faire attendre.

— Dans ce cas, je vais me préparer au plus vite. Quand partons-nous ?

— Hein ? Attend une seconde Mirai-chan. Ce n'est pas pour cela que je t'ai demandé, admit l'Hokage avec un sourire gêné, comprenant son erreur. Désolé si je me suis mal exprimé mais je n'ai pas besoin que tu m'accompagnes.

— Vraiment ? s'étonna la jônin. Mais Hokage-sama, je vous ai toujours servi de garde du corps quand vous deviez vous rendre dans les pays voisins ! Sans vouloir vous manquer de respect, si je ne vous accompagne pas, pourquoi m'avoir demandé ?

— Ne te méprend pas, je suis très satisfait de ta présence dans ma garde lors de mes visites dans les pays voisins. Mais j'ai déjà prévu ceux qui m'accompagneront. Non, ce n'est pas pour cela que je voulais te voir. En fait, j'ai une mission de la plus haute importance pour toi, même plus importante que ma protection. »

Mirai cligna des yeux. Qu'est-ce qu'il y avait de plus important que la protection du dirigeant de Konoha ? Elle ne voyait vraiment pas là où voulait en venir l'Hokage mais, par le léger sourire qu'affichaient Shikamaru, elle devina que son parrain comprenait les idées de l'Hokage.

« Pardonnez-moi encore, Hokage-sama, mais je crains de ne pas comprendre.

— J'aimerai que, durant mon absence, tu veilles sur Boruto. »

Pendant quelques secondes, Mirai cru ne pas avoir bien entendu. Puis après, elle pensa que l'Hokage se moquait d'elle mais, lorsque leurs regards se croisèrent, elle vit qu'il ne plaisantait pas, malgré le grand sourire qu'affichait le dirigeait du village caché de la feuille.

Du coup, elle ne savait pas si elle devait prendre cette mission comme un honneur ou une extrême inquiétude. Après tout, que se passerait-il si jamais il arrivait quoi que ce soit au fils de l'Hokage ? elle perdrait sans doute son poste. Mais de toute façon, elle ne pouvait pas refuser l'ordre de son supérieur.

Alors, après un moment de stupéfaction, elle s'écria avec peu de grâce et une grande éloquence :

« QUOI ? »

.

Mirai n'était pas du genre à s'inquiéter. Un trait de caractère hérité par son père mais aussi de sa mère, elle savait réagir calmement et logiquement à un changement de situation ou à l'approche d'un problème. On lui répétait d'ailleurs souvent qu'elle avait hérité de force tranquille de son père, mêlé à un comportement décontracté et franc, héritage de son défunt parent, en plus de la Volonté de Feu. Car, si Mirai avait appris à respecter ses ainés et toujours faire preuve de politesse, cela ne l'empêchait nullement de dire clairement sa façon de penser.

Ainsi, en cet instant, il aurait été difficile de croire que Mirai Sarutobi était soucieuse. Pourtant, c'était bel et bien le cas. Debout devant l'académie des ninjas de Konoha, elle attendait, comme certains parents, la sortie des élèves, et surtout du fils de l'Hokage. Elle n'avait pas changé d'habit et portait toujours sa veste de jônin – elle était d'ailleurs une des rares membres des forces spéciales à porter l'uniforme puisque celui-ci, dans leur section, n'était pas obligatoire.

« Salut Mirai-chan ! appela une voix familière.

— Konohamaru-kun ! » s'exclama la jeune fille en apercevant son cousin.

Bien qu'ils ne se ressemblaient pas beaucoup sur le plan physique – elle avait des cheveux bruns et les yeux rouges de sa mère tandis que son cousin avait des cheveux châtains et des yeux gris, Mirai et Konohamaru étaient cousins. Aussi loin qu'elle s'en rappelait, elle avait passé beaucoup de temps avec Konohamaru, malgré le fait que de nombreuses années les séparaient. Il lui avait, d'une certaine manière, servi de mentor et, aussi proche que puissent l'être des cousins, ils gardaient une grande amitié.

« Alors, tu attends quelqu'un ? demanda Konohamaru.

— C'est exact. Hokage-sama est parti en urgence pour Suna et m'a demandé de surveiller son fils alors j'attends qu'il sorte.

— Ah bon ? Dans ce cas-là, tu n'as qu'à venir avec nous. J'ai promis à Boruto de l'emmener sur le terrain d'entrainement près de la rivière. Il veut que je lui montre comment faire un Rasengan. Il est drôle ce petit, tu sais ? Il ressemble beaucoup à Naruto-kun. Bah, c'est bien son fils, on peut dire ! »

Mirai sourit et accepta l'offre de son cousin. Elle pensait ramener Boruto chez lui, mais l'enfant n'accepterait sans doute pas de rentrer si vite chez lui. Elle aurait dû donc lui trouver une occupation et Konohamaru paraissait avoir la solution, alors elle ne perdait rien à l'accompagner. Ils furent donc deux à attendre que Boruto sorte de l'académie. Heureusement, il ne fallut pas plus de quelques minutes pour que des cris de joies résonnèrent dans l'intérieur du bâtiment scolaire, signe que les cours étaient finis et que dans quelques secondes, des dizaines de petites têtes s'élanceraient à travers les portes pour rejoindre joyeusement leurs parents.

Mais bien sûr, Boruto n'était pas comme tous les autres enfants, donc il ne fut pas étonnant de le voir, avant tous, sortir, non pas par la porte, mais par une fenêtre, en riant moqueusement alors qu'on pouvait entendre crier son parrain, Iruka Umino. Parfois, c'était à se demander si l'Hokage n'avait pas voulu torturer son ancien enseignant en le désignant comme parrain de son fils...

Quoi qu'il en soit, une tête blonde sauta hors de l'établissement, à la surprise de beaucoup, et se précipita vers Konohamaru, attrapant l'adulte par son habit.

« Konohamaru-oniisan ! Partons avant qu'ojisan n'arrive !

— BORUTO ! Reviens ici ! Je ne t'ai pas autorisé à partir ! »

Mirai grimaça. Elle ne connaissait pas beaucoup Iruka mais savait, par Konohamaru, qu'il pouvait s'énerver rapidement. D'ailleurs, au lieu de réprimander le plus jeune garçon, Konohamaru sourit et, d'un signe de la tête avec Boruto, tous deux s'élancèrent à toute allure le plus loin possible de l'académie. Mirai les observa partir et, alors qu'elle se décidait à les suivre, fut interrompu par l'apparition d'un Iruka partiellement énervé – c'est-à-dire furieux.

« KONOHAMARU ! JE T'AI VU ! VOUS NE VOUS EN SORTIREZ PAS COMME ÇA ! »

Mirai se dit qu'il serait inutile de rester et, discrètement, s'en alla. Une fois loin du bâtiment de l'académie, elle ne perdit pas de temps et sauta sur les toits pour rejoindre le terrain d'entrainement de la rivière. Etrangement, une fois ninja, utiliser les toits plutôt que les rues était devenu une habitude, comme si cela était une tradition chez les ninjas : « ne vous servez jamais des rues et sautez toujours sur les toits. Il y a moins de monde par cette voie ». Au moins, cela était vrai : il y avait moins de monde sur les toits. Après, pas sûr que cela paraissait logique d'apprendre aux ninjas à se servir des toits mais bon, comme le principe était le même que sauter sur les branches d'arbres, cela devait être utile, surtout dans le Pays du Feu rempli de forêts.

En tout cas, courir sur les toits lui permit d'atteindre le terrain d'entrainement près de la rivière plus rapidement que si elle était passée dans les rues.

« Bravo Boruto-kun pour avoir échappé au cours d'Iruka-sensei ! Même si j'ai encore pas mal de chose à t'apprendre là-dessus, félicita Konohamaru.

— Hé, hé, c'est Kiba-san qui m'a montré cette astuce pour grimper aux fenêtres. Il l'a souvent utilisé pour sécher les cours, expliqua le fils de l'Hokage, avec fierté. La prochaine fois, ojisan ne me verra même pas disparaitre !

— Tu n'as qu'à essayer avec Shino-san la prochaine fois.

— Shino-sensei ? Jamais ! Kiba-san m'a dit qu'il avait des insectes qui surveillaient toute sa salle de classe ! Je ne veux pas être découvert par des insectes, beurk !

— Ha, ha, peut-être bien !

— Konohamaru-oniisan, Konohamaru-oniisan ! Quand est-ce que tu me montres le Rasengan ?

— Bientôt, patience. D'abord, on attend que Mirai-chan arrive... Ah tiens, elle est là justement. Mirai-chan, tu es là depuis longtemps ? »

Mirai sauta de la branche d'arbre où elle était et rejoignit les deux garçons.

« Assez oui, sourit-elle. Iruka-san n'a pas l'air ravi.

— C'est pas étonnant, plaisanta Konohamaru. Mais ce fut très drôle. Et puis, le connaissant, il ne sera pas en colère très longtemps. Bon, assez parlé d'Iruka-sensei. Alors, Boruto-kun, tu veux que je te montre mon Rasengan ?

— Oh oui ! Otou-san me l'a déjà montré mais je veux le revoir !

— Alors admire la technique. C'est ton père qui me l'a appris. »

Il demanda à Boruto et Mirai de se reculer et fit apparaitre un clone, de l'exacte manière que Naruto. Et, tout comme son mentor, il s'aida de ce clone pour créer un orbe de chakra pur dont la puissance était telle qu'elle aspirait l'air autour d'elle. Par son regard admiratif, il était certain que Boruto était très impressionné.

« C'était génial ! Je veux apprendre à faire ça, moi aussi ! s'exclama le jeune garçon avec enthousiasme. Konohamaru-oniisan, apprend moi le Rasengan !

— Euh... Je ne crois pas que cela soit une bonne idée, Boruto... C'est une technique assez longue à maitriser et...

— S'il-te-plait ! s'il-te-plait ! »

Konohamaru lança un regard suppliant à Mirai, qui sourit en haussant les épaules. Il soupira dans la défaite.

« Bon, je veux bien essayer.

— Super ! Quand est-ce qu'on commence ?

— Attend, attend ! Ce n'est pas si simple. Déjà, il est impossible d'apprendre ça en quelques jours.

— Mais pourquoi ?

— Déjà, il faut avoir une parfaite maitrise de son chakra. Tu sais contrôler ton chakra, toi ?

— Bien sûr !

— Dans ce cas, prouve-le. Si tu sais contrôler ton chakra, tu devrais savoir marcher sur l'eau sans problème.

— Facile ! »

Boruto, avec orgueil, s'approcha de la rivière et, à la surprise de Konohamaru et Mirai, marcha sur l'eau jusqu'à atteindre le centre de la rivière. Il croisa les bras et ria, satisfait des regards surpris des deux ninjas.

« Je crois que je me suis trompé sur son compte, admit Konohamaru. Je ne pensais pas qu'il savait déjà contrôler son chakra.

— Il a dû recevoir un entrainement spécial, déclara Mirai. Mais c'est vrai qu'il est impressionnant qu'il puisse marcher sur l'eau, aussi longtemps. Il a un parfait contrôle de son chakra.

— AH !

— Ou pas... »

En effet, en un temps éclair, Konohamaru venait de tomber dans l'eau et se débattait pour rester à la surface.

« Euh... Mirai-chan... appela le petit-fils du troisième Hokage d'une voix tendu. Tu penses qu'il... ?

— Sait nager ? On ne dirait pas.

— C'est bien que ce je craignais... BORUTO-KUN ! »

Et les deux ninjas se précipitèrent à la rescousse du fils du septième Hokage qui était en train de se noyer. En effet, si le Nanadaime Hokage apprenait que son fils était mort noyer en tentant d'apprendre un Rasengan, il ne serait certainement pas heureux. Même si cela n'aurait pas été la faute de Konohamaru et Mirai. Après tout, comment devaient-ils deviner qu'un garçon capable de marcher sur l'eau ne savait pas nager ?

Ils arrivèrent à sortir Boruto de l'eau sans grand problème. Bon, encore heureux, hein. Car deux jônins incapables de sauver un garçon qui se noie serait un peu étrange.

« Bon, c'est clair, tu ne maitrises pas ton chakra, conclua Konohamaru. Par contre, la prochaine fois, tu pourrais prévenir avant ? Histoire qu'on n'ait pas une crise cardiaque à l'idée de la réaction de ton père s'il apprenait que tu es mort noyer par notre faute. D'ailleurs, tu ne lui diras rien, d'accord ? C'est assez dur d'être jônin, pas besoin de se faire renvoyer bêtement.

— D-d'accord, accepta Boruto d'une voix hésitante. Mais qu'est-ce qu'on va dire à ma mère pour mes habits trempés ?

— Euh... Tu sais l'élément que tu maitrises ?

— Non.

— Bon, ben tu diras que tu t'es découvert des affinités avec l'eau, d'accord ?

— Mais si ce n'est pas le cas ? Ni otou-san ni okaa-san ne sont affiliés au Suiton.

— Mais si, mais si. Je suis sûr que Naruto-kun maitrise cet élément. On pourra faire croire que tu as développé les mêmes capacités. Et au pire, si ça fonctionne pas, tu n'as qu'à dire qu'il a plût.

— Mais il fait super beau. Il ne peut pas pleuvoir.

— ... Tu sais quoi ? On va rentrer discrètement dans ta chambre et tu te changeras avant qu'on aille voir ta mère, d'accord ? Même si je sais qu'Hinata-san est quelqu'un de très aimable, je n'ai pas envie d'être le premier à subir la colère du membre le plus doux du clan Hyûga. Je suis trop jeune pour mourir.

— D'accord ! Et ensuite, je pourrais apprendre le Rasengan ?

— Euh... »

Mirai observa les deux garçons et soupira, fixant le ciel. Eh bien, si tous les jours devaient être comme ça, garder Boruto loin des problèmes promettait d'être une tâche ardue. Elle était jônin, certes, mais jamais on lui avait dit qu'elle devait réaliser seule une mission de rang S comme cela. Bah, elle trouverait bien un moyen de le faire rester tranquille. Peut-être en l'emmenant chez Ichiraku Ramen ? D'après ce qu'elle avait entendu dire, c'est de cette façon que l'Hokage arrivait à se faire écouter de son fils. A son avis, s'assurer de la sécurité du Nanadaime Hokage aurait été plus facile.

Après tout, elle était une jônin, pas Hashirama Senju. Il y avait des choses qu'elle ne pouvait pas faire, comme s'assurer de garder Boruto Uzumaki loin des ennuis !


Et voilà la fin de cette première partie ! J'en ai encore prévu une de même taille alors si vous avez aimé, j'espère que vous apprécierez le prochain chapitre, cette fois centré sur Neji.