Bonjour aux amateurs des fan fictions Mentalist qui aiment le drame, suspense,crime cela ne va pas sans.
Le premier chapitre de cette fiction que vous allez lire par la suite,contient 57 chapitres qui sont pour certains courts vers la fin, des micros-chapitres, rassemblant trois parties,une trilogie que j'ai écrite l'année dernière. Cette première partie a été postée sur un forum mais malheureusement n'a reçu que deux commentaires,ne correspondant pas,je pense aux goûts des lecteurs malgré que celle-ci ait été lue. Les deux dernières parties ont alors été seulement postées sur mon blog de fictions(voir sur mon profil) vu que les gens n'y ont pas été tellement réceptifs par rapport à ça.
J'ai alors hésité de poster la trilogie sur le site,craignant que je ne rencontre le même problème mais j'ai eu envie de courir ce risque car c'est une trilogie qui me tient à cœur, ayant fourni un long travail que je n'avais encore réalisé, satisfaite du résultat mais ce n'est que mon avis.
Et vous? Suivrez-vous jusqu'au dénouement final de la fin de cette trilogie? Rien n'est moins sûr mais en tout cas je l'espère. Le rapprochement, la déclaration entre les deux personnages préférés auront bien lieu mais il faudra pour ça attendre la troisième partie.
En attendant bonne lecture, souhaitant que vous apprécierez pour ceux qui ne l'ont pas lu, jeter un coup d'oeil déjà, à cette première partie. Sinon, j'aurais quand même tenté de la poster sur fanfiction.
"La plupart de mots ont été effacés dans ma présentation, ici et j'ai tenu, en m'en rendant compte, de corriger. Il n'y aurait-il pas eu des problèmes avec le site? Certaines phrases avaient perdu de leur sens. Bizarre. C'est rétabli si vous avez trouvé ma façon de m'exprimer étrange pour rester poli. C'est cela se renouvelle ailleurs, je tiens à préciser que ça ne vient pas de moi." Le 23/09/2015
P.S: Certains chapitres ont un contenu réservé aux adultes.C'est pour cette raison que j'ai classé cette première partie dans M[Les Chapitres 2,5,13] Je posterais à une fréquence rapprochée.
Je poste le résumé entièrement ici vu que la case description ne peut tout contenir.
Après avoir quitté le CBI,Patrick Jane intègre le FBI en tant que nouveau consultant grâce à sa nouvelle rencontre plus que enrichissante,l'agent Lana Ganaëlle,profileuse et travaillant également au sein du deux-là ayant un passé en commun, vont être amenés à collaborer main dans la main ainsi qu'avec les deux bureaux d'investigation lors d'une enquête délicate qui est celle d'un tueur en série nommé Russell conduira le mentaliste et l'agent Ganaëlle sur le chemin de John Le Rouge,retrouvant à cette occasion une ancienne conquête de Patrick Jane qui n'est autre que Loreleï consultant n'en ressortira pas indemne,traumatisé par un malheur qui le touchera de près.
Personnages principaux : Patrick Jane,Lana Ganaëlle,Teresa Lisbon,Wayne Rigsby,Grace Van Pelt,Kimball Cho,Agent Mancini,Russell Kerban,Loreleï Martins,John Le Rouge(Comme le nombre des personnages est limité à quatre,je mets les autres ici)
L'agent Ganaëlle suit la trace de Patrick Jane qui semble avoir établi certains contacts. Le comportement du consultant lui parait déconcertant.
Folsom, banlieue de Sacramento :
Tout commence dans un café populaire. Décor vieillot dont des relents d'alcool s'émanent du bar ainsi que l'odeur passée de vieux tabac qui persiste dans leurs murs, mélangée par celle de cacahuètes grillées bizarrement. Une couleur beige crème domine à l'intérieur, peu éclatante d'ailleurs. Le comptoir est en formica d'un chrome par contre rutilant, fil rouge lumineux intégré sur le devant en tant que finition dont l'ensemble rappelle les années 50. Ce lieu est resté prisonnier, le temps s'est suspendu et rien n'est réglementaire. L'agent Ganaëlle assise à deux tables non loin, voit Patrick Jane qui se tient derrière un homme, le serrant de près d'une manière menaçante. Ils traversent un long couloir qui mène vers un espace où se dessine une piste de danse. Celle-ci se lève. Tentant de les suivre, la jeune femme perd leur trace. Elle revient au comptoir et montre au propriétaire la photo du mentaliste mais celui-ci prétend ne l'avoir jamais vu. L'agent insiste, s'adressant sur un ton qui l'impressionne, le poussant ainsi à dire ce qu'il sait tout en continuant à essuyer le verre tenu fermement entre ses mains :
-Il est passé il y a trois jours et s'est assis au fond. Désignant la table avec sa tête.
-Etait-il seul ?
-Pendant quelques secondes puis un homme l'a rejoint. Ils sont partis peu après.
-Pour quelqu'un qui ne l'avait jamais vu, vous êtes très observateur. Était-ce le même que celui avec qui il vient juste de partir ?
L'agent Ganaëlle remarque son air hésitant :
-Un petit effort ! Vous étiez sur la bonne voie et vous savez ce qui vous attend si vous ne coopérez pas.
L'ayant menacé auparavant de faire intervenir la brigade des mœurs lorsqu'elle jeta un coup d'œil vers un groupe d'adolescent qui entrait dans une pièce dont la porte indiquait "Privé". Etant envahi de sueurs froides, le propriétaire retrouve l'usage de la parole :
-Oui, c'était le même mais je ne sais rien d'autre.
Elle le regarde d'une façon déstabilisante :
-Je veux bien vous croire.
Puis quitte le bar.
Quelques jours plus tard, alors qu'elle marche dans la rue, passant devant les grilles qui entourent l'entrée d'une église, l'agent entend des faibles cris qui proviennent derrière la porte de sortie. Celle-ci pénètre dans le lieu et fait le tour de la bâtisse sacrée, découvrant un clan de cinq jeunes gens qui est composé de deux filles, deux garçons ainsi que d'un autre à terre, peureux par la manière dont l'une des filles le malmène. Le pauvre est maintenu au sol, le talon de sa chaussure qui a été placée sur sa gorge, appuyant dessus. Ne supportant ce genre de mauvaise graine, les surnommant parfois, pourriture, l'agent Ganaëlle lève son arme vers le ciel et tire deux coups de feu. Il est sûr que ses pratiques ne sont pas conventionnelles, considérée plus comme une justicière de la loi, trempe de femme à laquelle on ne veut avoir à faire. La louloute qui maltraite, libère le jeune homme dans la seconde, les deux coups de feu qui font trembler ce minable clan qui joue les caïds uniquement lorsque ce type de vermine est rassemblé. L'agent range son arme puis se rapproche :
-Vous exaltez quand vous faites subir votre maltraitance et que ce genre de garçon vulnérable ne peut se défendre ? Cela vous ferez du bien d'être sous l'emprise d'un bourreau qui vous casse la gueule.
Certains effrayés, révoltés par la façon dont elle leur parle, répondent :
-Non mais ça ne va pas ? Vous êtes qui d'abord ?
-Tu as besoin de le savoir ?
Elle ressort son arme, le groupe recule et demande à la victime de la rejoindre qui ne se fait pas prier, se cachant derrière son dos. L'agent Ganaëlle lui murmure qu'il devrait apprendre les arts martiaux ou acheter une bombe lacrymogène. Le gamin hoche la tête encore sur l'effet de la peur. Celle-ci s'adresse à nouveau au clan de voyou :
-Pourquoi cette agression ? Et vous avez intérêt à ne pas me raconter de bobard car je suis un détecteur de mensonges.
L'un répond malgré la jeune qui le fusille du regard.
L'agent fixant la louloute, ajoute :
-Toi, tu es sûrement le chef de la bande !
Puis l'un des jeunes parlent :
-Il a refusé de nous donner son argent.
-C'est du joli ! Alors vous êtes des raquetteurs minables ?
La chef habillée d'un pull gris, jean, chaussée de baskets de marque et coiffée d'une queue de cheval un peu défaite, l'affronte :
-C'est pas vos oignons !
L'agent Ganaëlle tend encore son arme, l'autre recule mais elle s'approche de la délinquante, l'attrape par la queue, lui tirant avec force et la jette à terre. La justicière se met à genou puis lui enfonce le visage sur une partie sableuse :
-Bon maintenant tu vas me dire si tu regrettes ton acte. Profites-en ! Nous sommes dans l'enceinte de la maison de dieu.
L'agent lui relève la tête puis la chef lui dit, suffocant :
-Vous êtes malade ! Espèce de folle !
Elle lui enfonce de nouveau le visage, répétant la question et lui relève rapidement la tête. La délinquante répond oui, apeurée puis la justicière ajoute :
-Tu vois quand tu veux ! Maintenant que tu sais ce qu'une victime éprouve. As-tu déjà vu cet homme ?
Montrant la photo de Patrick Jane.
-Tu as intérêt à me dire la vérité si tu ne veux pas te retrouver la tête dans le gravier.
La délinquante ne prend aucun risque :
-Il était au bar du coin avec un mec costaud, boule à zéro. Ils ont discuté.
-De quoi ?
-D'un marché qu'ils avaient conclu mais c'est tout ce que j'ai entendu. Comment vous avez su que je me trouvais là-bas ?
-J'ai des yeux qui se faufilent partout. Je me rends souvent dans ce bar depuis peu et je suis physionomiste. Un heureux hasard que je sois passée par ici, non ?
Puis la relâche après l'avoir molesté.
L'agent Ganaëlle se relève puis comme par magie, voit apparaître Patrick Jane face à elle qui est effaré par ses méthodes. Trouvant révoltant sa lâcheté s'il se trouvait dans les parages, celle-ci l'insulte :
-Tu es un salaud et un vicieux.
Puis part à un rythme rapide, énervée, déchirant la photo dont les morceaux s'éparpillent sur le trottoir derrière son passage. Le mentaliste la suit, sentant les pas de celui-ci, rentre dans une parfumerie et se dirige vers le rayon d'une grande marque de parfum. Elle se retourne, s'écarte de lui qui se place contre les flacons puis impulsivement, met son pouce et index droit sur la nuque de Jane :
-Je pourrais te paralyser rien que par une simple pression, pendant quelques minutes. Cette menace est prise à la légère et en sourit toutefois d'une manière réservée. L'agent Ganaëlle enlève ses doigts de la nuque puis celui-ci neutralise son agressivité :
-Je suis sûr que tu préférerais cela.
Il s'approche de très près de la jeune femme et l'embrasse par des baisers qu'il sème sur l'une des parties de son visage qui la trouble, fermant les yeux. Une vendeuse consciencieuse vient à leur rencontre sans se préoccuper de cette tendre étreinte qui s'interrompt :
-Puis-je vous aider ou conseiller ?
L'agent se détache de Jane puis troublée répond qu'elle recherche le parfum plaisir dernièrement sorti.
-J'ai !
Puis part le chercher dans la remise. Pendant ce temps, les deux s'expliquent, commençant par le mentaliste :
-Quel genre de représentant de la loi malmène des petites frappes même s'ils le méritent ?
-Tu as bien tiré sur un homme dans un centre commercial afin d'assouvir ta vengeance dont l'identité semblait être celle de John Le Rouge.
-Tu marques un point mais c'était différent.
-Exact ! Mes méthodes aussi.
-Dès que tu es bouleversée, tu te rends dans un magasin et te transforme en acheteuse compulsive juste pour calmer ta colère.
-Toujours fin analyste à ce que je vois. Que veux-tu ! Je suis une représentante de la loi qui est fantaisiste. Je malmène une délinquante, je te vois sans bouger alors que tu pouvais venir en aide à ce garçon et oui je calme mes nerfs en dépensant mais raisonnablement.
-Pour ta gouverne, je ne me trouvais pas là au moment de cette agression. C'est en passant devant l'église que je t'ai aperçu en technique de combat. Un jour cela t'attirera des problèmes au sein de ta hiérarchie.
-J'en ai eu, j'en aurais. Je le sais. Je suis en quelque sorte l'inspecteur Harry en jupon. Je déteste l'injustice. Tu devrais le savoir depuis le temps.
La vendeuse revient avec le parfum puis lui encaisse. Avant de partir, celle-ci propose de la parfumer, lui répondant :
-Pas pour moi mais monsieur oui.
-Très bien ! Quel parfum désirez-vous que je vous asperge ?
L'agent Ganaëlle répond à sa place ironiquement :
- Manigances.
Jane réplique insolemment :
-C'est ce qui fait tout mon charme.
A l'extérieur, il essaie de s'expliquer :
-Je suis obligé de me conduire ainsi. Tu es aguerri, non ?
-C'est ce qui fait tout mon charme aussi. Battant des cils.
Il la contraint à s'arrêter de marcher :
-Tu m'en veux ?
Puis se remettent en marche.
-J'ai un caractère qui s'est endurci au fil des années, alors à moitié.
-Comment une femme aussi ravissante et douce au lit peut être dure ?
-Ne sois pas grossier, Jane !
Il tente de lui prendre la main ce qui la stoppe :
-Tu ne m'auras pas !
Le mentaliste la regarde avec espièglerie, souriant malicieusement afin de la séduire, lui baisant la main dans la rue désertée. Elle joue les indifférentes et se montre castratrice :
-Arrête cette séduction d'antan ! Tu es ridicule.
Jane arrogamment continue :
-Je t'ai eu !
Ayant constaté que ses yeux ne peuvent masquer son trouble qui agite son esprit ainsi que son cœur il persiste de plus belle :
-Alors, ce soir ? Je peux lire que tu en as envie.
-C'est justement parce-que j'en ai envie que je te répondrais non. Je t'ai eu !
Il emploi un humour suggestif :
-Je ne résiste pas aux femmes vilaines. Tu es si cruelle !
L'agent Ganaëlle lui fait signe d'un au revoir et continue sa route.
