Chapitre 1 " Un désir "
Redémarrer une nouvelle vie, voilà ce que désirais le plus Edwyna. Ne plus jamais faire face au passé, tout recommencer, juste oublier.
Au bord d'une immense falaise, sur l'île de Arlyas situé dans le Nouveau Monde. Une jeune femme se tient assise dans un fragile équilibre, les pieds dans le vide, le regard tourné vers l'horizon, elle semble perdue dans ses pensées.
Elle se releve lentement, les pieds au bord du vide, ses yeux se ferment doucement, le vent s'engouffre dans ses long cheveux brun, la pousse vers l'avant, elle chancele un peu, écarte les bras. Elle bascule vers la mer qui s'écrase sur les rochers en bas de la falaise.
Elle tombe, la sensation est grisante, l'adrénaline la prend aux tripes. Ses bras écarter en croix, elle ouvre les yeux, la mer se rapporche, la mort avec elle.
- Pas encore, murmure t'elle.
D'immenses ailes blanches s'ouvrent alors, le vent si engouffre imédiatement la fesant planer vers l'avant, elle n'aurait qu'à tendre la main pour toucher l'eau, donnant de puissants coups d'ailes, elle remonte vers le ciel et ce dirige vers la plage non loin de la falaise dont elle s'etait jetée.
Elle atterie en douceur, si quelqu'un etait passer par là à ce moment il l'aurait surement pris pour un ange.
Edwyna se diriga alors vers son petit village, il y a tres peu d'habitant sur cette île, surtout des paysans, il fesait bon d'y vivre, les gens étaient simples et acceuillant. Elle vivait chez le gardien du village, il avait le rôle de protecteur et de médiateur. Il lui avait appris les valeurs du combats mais aussi le respect d'autrui, cet homme avait toujours su garder foi en la bonté de l'homme. Cette vision du monde etait toujours trop naive malheureusement, mais Edwyna se sentais un peu apaiser grâce a cette façon de voir les choses.
Elle traversa d'abord les champs de tournesols et de blé, puis atteinds l'entrée du village, à sa grande surprise son maître l'y attendait.
- Que fesais tu seule ? tu es partie sans me dire où tu allais, tu devait m'aider aujourd'hui pourtant.
- Je vous demande pardon mon maître, je suis partie reflechir sur la falaise.
- humm, je me suis inquieter pour rien il semblerait, il se gratta l'arriere du crâne, il le fesait toujours lorsqu'il refléchissait. Bon va t'entrainer, tu auras juste une heure de plus pour cette fois, mais ne recommence plus d'accord ?
- oui mon maître c'est promis.
Elle passa pres de lui, remonta la petite colline qui menait au village. Traversant celui-ci, elle salua ses divers voisins.
Elle atteind enfin la maison de son maître. C'etait une batisse en pierre et en bois, elle se voulais avant tout chaleureuse. Elle monta directement dans sa chambre, elle enleva sa robe blanche, une robe tres simple mais qui descendait en dos nu pour qu'elle puisse deployer ses ailes sans emcombre. Edwyna était une tres belle femme, les yeux vert et or, où semblait se refleter la tristesse du monde, elle fesait de son mieux pour cacher cela, en se forçant à garder toujours le sourire. Ses cheveux lui arrivait sous les fesses, elle les noua en une tresse simple. Elle avait de longues jambes et une taille fine malgres une poitrine non négligable.
Elle enfila un pantalon noir souple et large lui permetant de large mouvement sans la genée, un débardeur noir aussi mais dos nu, est de fine chaussures en cuir qui se voulaient légère et confortable. Elle descendis dans la cour où son maître l'attendait déjà , celle-ci en terre battue devenait boueuse par temps de pluie. Elle enfila ses gants de Pugilat. Ils étaient assez grands pour proteger tout son avant bras. Forger dans le meilleur acier, l'intérieur était de cuir rembourré afin d'amortir le plus possible les chocs. Sur chacun de ses gants était fixer par dessus une lame aussi large que son poing et longue d'une dizaine de centimetre.
Pendant deux heures elle échangat ainsi des coups avec son maître, sans jamais chercher à se blesser mutuellement ils combattaient tous les deux, soulevant de lourd nuage de poussiere, la transpiration collait leurs vétement a leurs peaux. Apres cela il éxecutère de lents mouvements de relaxation et de méditation. Au final assis en tailleur l'un en face de l'autre, ils se détendaient doucement les muscles.
- A quoi reflechissait tu sur la falaise ? lui demanda soudainement son maître.
Surprise par cette interuption peu habituel, elle lui repondit néanmoins :
- Je pense bientot partir mon maitre, pas tout de suite mais je veux voyager, voir le monde et sa nature.
- Je comprend, prend ton temps pour réflechir, lui dit il apres quelques secondes.
- Oui je sais. Aprés une pause elle repris, Je vais me détendre aux sources, je revient dans une petite heure.
- Tres bien. Il se releva, A tout a l'heure alors.
Elle partie vers les sources, en ayant pris soin de prendre de quoi se laver et se changer. Une fois arriver, elle se déshabilla, et s'enfonca dans les eaux brulante des bains, sa peau rougisait deja, ses muscles se dentendaient.
- Haa ! c'est bon putain ! jura t'elle.
Le soleil ammorcait deja sa descente vers l'horizon, quand elle se décida a enfin bouger.
Elle se savonna longuement, resta une bonne heure dans l'eau chaude et se sécha. S'habilla d'une simple robe noir et repartie vers la maison.
Au bout d'une dizaine de minutes, elle arriva mais ne trouva son maître nulle part. Elle attendit longtemps, à peu prés une heure, puis elle decida de faire le repas. La nuit etant deja tomber elle alluma les bougies de la maison. Elle fit un ragoût de canard avec quelque champignons sauvages et divers legumes. Elle venait de terminer quand son maître réapparut enfin, il semblais fatiguer et ennuyer.
- Qu'avez vous mon maitre ? S'inquiéta telle, Où etiez vous ?
- Au village, Il s'affala sur une chaise pendant quelle lui servait un bol de ragout fûmant, Des pirates sont arrivés.
