* ATTENTION très chères lectrices (hum très chers lecteurs?) cette fic est à prendre ABSOLUMENT au SECOND DEGRE*


Confessions

La vie… nous donne pas mal de fil à retordre comme aujourd'hui… je l'ai dure !

- Je vous écoute mon enfant.

- …

Que c'est chiant, mais quand il faut… il faut ?

- Mon enfant ?

Hn ? Ah oui c'est vrai le penser mentalement n'est pas suffisant.

- Hn ?

- …

- …

- Excusez-moi, mais êtes-vous muet, mon enfant ?

J'ai juste pas envie d'être là banane ! Et puis, mon enfant, mon enfant d'où il a vu que j'étais son gosse ? Lui et moi n'avons pas la même classe.

- Non.

- Et bien, qu'attendez-vous po…

- Je ne suis pas là de mon plein gré. Le coupais-je.

- Ah.

Ba ouais, qu'est ce que tu croyais, abruti. Moi dans une église, en train de me confesser ? Non, je n'ai rien à me reprocher. UCHIWA IS PERFECT !

- Et qui vous à forcer à venir ici ?

- Mon père.

- Oui ?

- Non, pas vous mon paternel.

- Oh ! Je vois…

- …

Trou du cul !

- Pourquoi, vous a-t-il obligé à venir en ce lieu ?

- Il m'a trouvé en fâcheuse position.

- C'est-à-dire ?

- En train de baiser.

Et ouais mon gars, je suis jeune, beau, sportif, intelligent, actif sexuellement et au top de ma forme.

- … Et pourquoi serait-ce un problème ? Me demanda t-il un peu désorienté.

- J'enculais bien profondément mon petit-copain.

- …

Ca y est, il a rendu l'âme. Pas très résistant le curé.

- Vous avez clamsé ?

- Que… je… heu… non. Répondit-il complètement troublé cette fois-ci.

Dommage.

- Ahem, vous êtes donc heu… Ajouta t-il hésitant à appeler un chien un chien.

- Homosexuel, gay et je vous déconseille le topo « c'est mal ».

- Je ne suis pas là pour vous jugez voyons.

C'est ça !

- Du moment que ce jeune homme et vous-même, vous vous aimez.

Ya intérêt ! Sinon je le tue et j'aurais une réelle raison pour venir me confesser cette fois.

- Oui, on s'aime. On s'envoie en l'air tous les jours, des fois plusieurs fois par jours. C'est un plaisir de me fondre en lui.

- Vous… vous vous connaissez depuis longtemps ? M'interrogea t-il, ravalant sa salive.

- Depuis 21 ans.

- Oh, sa fait longtemps.

- C'est mon meilleur ami.

- Je vois les années vous ont rapprochées. Conclut-il.

- Hn.

Tu m'étonnes. C'est surtout son joli cul bien rebondi qui m'a ouvert les yeux… si beau ! Bon après avoir fantasmé sur son postérieur pendant un an, j'ai découvert une autre passion : ses lèvres… si tentantes ! Deux ans et demi à baver dès qu'il ouvrait la bouche. Que c'est frustrant ! Cinq ans à me masturber en pensant à lui. Un vrai supplice.

- Que vous reproche exactement votre père ?

- Le fait de sauter le fils de son meilleur ami ? Fis-je d'un ton ironique.

- Oh malheur !

- Comme vous dites.

- …

- …

- Et… comment vous est venu cette passion pour les hommes ?

- Naruto.

- Pardon ? Demanda t-il perturbé.

- Ma passion pour Naruto.

- D'accord, donc ?

- Surement comme la votre.

- Que voulez vous dire ? S'enquiert-il étonné.

- Vous vénérez un mec !

- Dieu n'a pas de sexe.

- Tout le monde considère dieu comme un mec. Vous vous branlez en pensant à lui n'est ce pas ?

- Que… Oh grand dieu, non ! S'égosilla t-il.

- C'est ce que vous hurlez quand vous vous pelotez ?

Allez vas-y avoue. Ya pas de mal à être pervers. Moi, je le suis et je me porte vraiment bien.

- Mais bien sur que non ! D'où vous vient une idée pareille ?

- On a tous nos faiblesses. Les femmes c'est l'argent et les hommes le sexe. Je suis un homme et il est impensable pour moi, que vous soyez vierge et que vous ne pratiquiez pas quelques rites pas très catholique. N'ai-je pas raison ?

- Ahem, pour en revenir au sujet principal, quel âge à votre petit-ami ?

Ben voyons, change de sujet, t'as raison.

- 21 ans donc trop vieux pour vous pédophile.

- Mais vous avez fini oui ! S'nerva t-il.

- Je ne dis que la vérité.

- Bon passons, à quoi ressemble t-il ?

- Confidentiel, il trop beau pour que je vous laisse l'imaginer. Vous jouiriez sur place, ça ne serait pas très propre.

- Vous êtes possessif.

- Evidemment, il est à moi, c'est ma petite bête de sexe aux fesses d'apollon.

- Est-il d'accord avec vos propos ?

- J'y compte bien, mais vous verrez cela avec lui tout à l'heure. Et, INTERDICTION DE LE MATER !

- Je vois vos parents veulent vous mettre sur le droit chemin.

- Dès que je bande, je sais que je suis dans le droit chemin.

- …

Ba quoi ? C'est vrai après tout Naruto c'est ma voie (de l'anus), celui qui me guide (en lui), mon septième ciel.

J'entends le prêtre soupirer et me dire :

- Ecoutez jeune homme, vous avez un sérieux problème. Vous ramenez tout au sexe. Je n'imagine même pas dans qu'elle position votre père vous a retrouvé.

- En levrette, classique. Vous voyez que vous n'êtes pas insensible à la chose !

- Qu.. Bon sa suffit. Hors de mon confessionnal ! Se mit-il à gronder.

- Non.

- Comment ça, non ?

- Mon cher papa ne sera pas ok. Tant que vous ne lui aurait pas dit quelque chose à mon sujet.

- Hum, à part lui dire que manifestement vous ne pensez qu'avec votre service trois pièce, que vous êtes gay et que je plains votre petit copain. Je ne vois pas quoi d'autre dire.

- Moi, je sais très exactement ce qu'il faut que vous disiez.

- Quoi donc ?

- Que je suis tout à fait normal. Qu' à l'heure actuelle des choses l'homosexualité est une chose évidente et qu'il est temps de l'accepter. Que j'aime à la folie Naruto, me séparer de lui équivaut à me tuer.

- Pourquoi lui dirais-je cela ? Me répondit-il sarcastiquement.

- Parce que si vous ne faites pas ça, mon sang Uchiwa qui coule dans mes veines fera surface. Je vous étriperais, vous fracasserais la tête à coup de batte de baseball. Je vous donne le choix celle en acier ou celle en bois, mais j'ai une préférence pour l'acier allez savoir pourquoi. Et, je m'occuperais de vos coucougniettes que je me ferais un plaisir d'écraser, de laminer, de cuire et de les faire bouffer à mon chien : Chidori, amateur de nouveau plat de chair fraiche. Pour finir je vous ferais violer par tous les mecs qui viennent à la messe le dimanche. Vous êtes si naif de croire qu'ils viennent pour une stupide prière, ils se pointent juste dans l'espoir de vous trouez le cul. Etes-vous satisfait ou faut-il que j'agrémente ma menace Umino Iruka, 14 rue Sandaime à Konoha, .00.

- Je… je… ok ? Dit-il sous le choque.

- Nous sommes d'accord, c'est un plaisir de faire des affaires avec vous !

Je me barre de cette fichue boite à sardine, les mains dans les poches, sourire accroché aux lèvres et hyper fière de ma menace. Au final, ce n'était pas si terrible que ça, je reviendrais peut-être.

Owari.


Voilà, j'espère que vous aurez ris en lisant cette fic et vous n'avez pas mal prit mes propos. Ma fic n'a que pour but de faire rire, oui je sais space l'humour mais faut pas se prendre la tête ^^

Les reviews sont la joie de vivre des auteurs.