Hello les gens! Je me suis prit d'affection pour les personnag de Bones, alors j'ai décider de faire ma propre fic ( ouai, ouai c'est cool mais on s'en tape)
Okay, donc aucuns de ses personnage que j'aime tant ne m'appartiens (sniff) , par contre l'histoire est sortie tout droit de ma ptite tête
Intro : Ecouter en musique de fond : James Blunt 'tears and rain'
Que fait-on lorsque l'on perd la seule personne au monde sur qui on pouvait compter ?
Ce jour là, il pleuvait, elle pleurait, il était mort, elle voulait le rejoindre.
Le cercueil glissait, son corps allait être soigneusement rangé en terre, comme quand on plante quelque chose, sauf que là, rien ne pousserait. Le travail de décomposition commencerait, les bactéries aidées par l'humidité, ensuite les vers, car quand on meurt on est d'abord détruit de l'intérieur…
On définit les être vivant comme étant des organismes doués de respiration, si on ne respire plus, on est mort. Son père avait cessé de respirer voilà 2 jours.
Avec pour seule compagnie sa tristesse, la jeune fille fit quelques pas vers trou, elle y jeta une pincée de terre, ses mains étaient sales, la terre était humide, mais peut lui importait, d'ailleurs plus rien ne lui importait ici bas.
La peine était si grande qu'il lui semblait n'être plus qu'une enveloppe de douleur, elle avait mal au plus profond d'elle-même. Si ses poumons continuaient de s'emplir d'air, ce n'était sûrement pas elle qui les encourageait, si ses yeux restaient ouvert, elle n'en était pas responsable, quant à ses braves jambes, elles continuaient de la porter malgré tout.
Une main sur son épaule vint l'encourager à poursuivre son chemin, cette main n'avait rien d'amical, il s'agissait juste de la femme des services sociaux qui outre le fait de s'inquiéter pour son brushing, ne voulait pas être en retard pour le rendez-vous chez le notaire.
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La nuit tombait sur Washington, et nos deux enquêteurs préférés étaient encore en train de travailler. Brennan avait décrétée qu'elle ne se coucherais pas avant d'avoir terminé la reconstitution du squelette, et Booth lui avait alors proposé sa compagnie, ce qu'elle avait tenté de refuser mais …
- Tu peux arrêter de mastiquer dans mon oreille Booth, c'est très gênant, rouspéta l'anthropologue, en pleine concentration.
- Hum, s'cuse moi Bones, réussit à articuler ce dernier entre deux mastications. Booth s'éloigna sa pizza à la main, puis il reprit « Tu es sur de ne pas en vouloir, tu dois bien avoir faim quand même »
- Dès que j'ai terminé, répondit Brennan.
- Et t'en a encore pour longtemps ? Demanda Booth.
- Mon travail demande une certaine précision Booth, et je te rappelle que je ne t'ai pas forcé à rester, mais que c'est toi qui a insisté, répliqua Tempérance.
- Je sais, mais je pensais qu'on discuterait un peu, je trouve que l'on ne se parle plus trop en ce moment, expliqua Booth.
- Et bien que fait-on là ? On discute, non ? Remarqua Brennan, qui s'était maintenant tourné vers son partenaire.
- Bones, Bones, Bones … Souffla Booth. Puis il se remit à manger sa pizza, levant les yeux au ciel.
Brennan se remit au travail sous l'œil attentif de son ami, partenaire et rien de plus même si affinités. Le fémur droit, il ne lui restait plus que celui-là à remettre d'aplomb, puis le squelette aurait enfin une allure de squelette et non plus de puzzle. […
- Voilà, annonça Bones, avec son petit sourire victorieux.
- Waw, enfin ! J'y croyais plus ! s'exclama Booth. « Ta part de pizza, est toute froide, c'est bête.
- On laisse tomber la pizza Booth, il est tard, bredouilla Tempérance s'affalant sur un fauteuil.
- Aller, je te raccompagne chez toi, ordonna Booth s'emparant du bras de sa partenaire.
- Booth ! Objecta l'anthropologue.
- Si tu reste une seconde de plus sur ce fauteuil tu vas t'y endormir, se justifia Seeley.
- Il est vrai qu'elle n'en pouvait plus, ses yeux se fermaient tout seuls, il fallait absolument qu'elle dorme, et dans son état de fatigue, conduire n'était pas la meilleure chose à faire.
- Puisque tu me raccompagnes ce soir, il faudra que tu viennes me chercher demain, ajouta-t-elle, comme pour avoir le dernier mot.
C'est ainsi que Booth se retrouve chez sa partenaire, ils sont sur le divan, une bière à la main, la part de pizza de Bones au four, sur les conseils de Booth.
- De quoi voulais tu que l'on parle tout à l'heure ? Demanda alors Brennan.
- Et bien en fait, j'aurais aimé que l'on reparle de cette situation gênante, dans laquelle on s'est retrouvés il y a quelque temps, déclara Booth.
- Devant l'hôtel, c'est ça ? Souligna Brennan.
- Cela, oui, confirma Booth.
« Ding ! »
- La pizza ! S'écria Brennan, comme si ça vie en dépendait, elle se jeta sur le four, et sortit la pizza avec une telle rapidité qu'elle se brûla la main, lâchant la pizza au passage, ainsi qu'un cri « Aïe ! Merde !
- Tempérance ! Ca va ?! S'inquiéta Booth, avec un zest de culpabilité Pourquoi lui avait-il lâché cette bombe ?! Quel crétin ! Il savait bien qu'il fallait y aller doucement avec Tempérance. Mais quel idiot ! Tempérance ne répondait plus, Booth se rua vers la cuisine, où il trouva sa Bones assise par terre près de l'évier, elle pleurait. La fatigue, le surmenage de ses derniers temps (Zack n'était tjrs pas revenu), et puis Booth qui voulait avoir une « conversation », et puis ce coup de fil qu'elle avait reçut hier …
- Hey, l'apostropha Booth. Puis il l'aida à se relever et entreprit de lui passer la main à l'eau. « Qu'est-ce qui ce passe ? C'est à cause de ce que j'ai dit ?
- Je suis fatigué, se contenta de répondre Tempérance.
- Quoi qu'il se passe, je suis là, l'apaisa Booth, la prenant dans ses bras.
Et une fois de plus Brennan pleurait dans les bras de Booth, tout ce qu'elle avait contenue ses derniers jours, elle se vidait. Booth, quant à lui, se disait qu'il avait peut-être bien fait de la raccompagné, même si il aurait du se taire, elle n'allait visiblement pas très bien.
Brennan n'avait plus de larmes, Booth lui en avait plein sa veste, mais peu importe…
- Ca va mieux Tempérance ? la questionna-t-il
- Merci Booth… d'être là, dit-elle dans un souffle.
- C'est normal, je serais toujours là, répondit ce dernier.
- Je … Tu … dois être fatigué, il faudrait peut-être que …Bafouilla Tempérance.
- Tu veux que je reste là ? L'interrogea Booth.
- Comme tu veux, répondit Brennan
- Ton divan ma l'air très confortable, remarqua Booth.
- Il ne l'est pas du tout, mais mon lit l'est, et il y a assez de place pour nous deux, développa Tempérance. Cette remarque surprit Booth, qui ne savait pas quoi dire.
- Si gentiment proposé, dit-il avec un sourire.
[…
C'est ainsi que Booth se retrouva dans la lit de sa partenaire, elle s'était très vite endormit, soulagée par la présence de son ami, lui l'observait dormir, elle était si paisible, si belle, il pourrait rester des heures à la regarder dormir, et c'est ce qu'il fit.
[…
Le lendemain, c'est Tempérance qui, réveillée avant Booth, se surprit à l'observer avec une pointe de désir, ce qui la décida à aller prendre une bonne douche.
Hier elle avait explosé, elle avait tout lâché, proposer son lit à Booth ne faisait pas partit de ses idées, ça lui était sortit comme ça, elle l'avait dit sincèrement, et grâce à Booth elle avait bien dormit, ah Booth…
Elle avait tellement bien dormit qu'elle avait presque oubliée la raison de toutes ses larmes, mais cela lui revint au moment où l'eau brûlante vint se faufiler sur la peau brûlée de sa main droite, elle laissa échappé un vague « aïe ».
Le coup de fil d'hier, voilà la vraie raison de son malaise. Ce coup de fil lui avait fait l'effet d'une méga explosion, qui la ramenait 15 ans en arrière. Il y a 15 ans, elle s'était retrouvée seule face à la vie, et … Elle l'avait rencontré:
Mark, elle se souvenais de lui, de son sourire charmeur qui la reconfortait, Mark avait été un peu comme une boué de sauvetage au début, puis, ils avaient sombrés ensemble ... Les deux ados, face à leur vie qui n'était pas des meilleures, avaient fini par trouver refuge dans la drogue. Tempérance s'était même mis à dealer, et puis elle s'était fait coincé par la police, elle avait du témoigner, et ...
« TEMPERANCE !!! CA VA ? REPOND MOI !! » Hurlait Booth de l'autre côté de la porte.
En réalité il avait commencé par frapper à la porte, puis il avait appeler, mais Tempérance qui était à 15 année d'ici, ne l'avait pas entendue, aussi, Booth inquiet avait hausser le tond jusqu'à « MAIS BON DIEU TEMPERANCE QU'EST-CE QUI S'PASSE ?!!! »
- Ca va, je prends une douche, répondit-elle enfin
- Je m'en doutais bien que tu te douchais, mais bon dieu tu ne pouvais pas me répondre avant ! La réprimanda Booth.
- Excuse moi, je ne t'avais pas entendu.
- Il faudrait penser à consulter dans ce cas, plaisanta l'agent spécial.
- Bon alors ? Qu'est-ce qu'il y a ? Demanda Brennan.
- Je viens de recevoir un appel d'Angéla, elle à pu faire un portrait de notre mort, et je … débuta Booth avant d'être coupé par une Brennan hystérique.
- Angela ?! Mais quelle heure est-il ?
- Presque 11h ?
- Mais …
- Ne t'inquiète pas, je leur ai tout expliquer, vu tout le boulot que t'as fait hier, tu peut bien arriver en retard, Cam' n'y voit aucun problème.
- 11heure… reprit Brennan.
- Je vais chez moi, il faut que je me change, ensuite je repasse te prendre, oaky ? Propose Booth
- A tout à l'heure Booth.
Alors vous en pensez quoi, je continue ?
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