Hi !

J'avais promis un One-Shot et le voici, bon... avec un peu de retard mais il est là et c'est le principal !

Je te nais à vous prévenir que si vous souhaitez un deuxième chapitre à ce One-Shot, il n'y avais pas de soucis, sauf qu'il serait classé M. Si il y a des amateurs de ce genre...

Bref je vous laisse et Bonne Lecture !


Molly était à l'intérieur. Elle avait bu, beaucoup trop. Maintenant, elle dansait d'un déanché extrêmement sensuelle contre un homme qu'elle ne connaissait pas. Les mains de ce dernier était sur les hanches de la belle brune et celles de cette dernière dans les cheveux de son compagnon. Elle avait les paupières closes et sentait déjà la virilité naissante de l'homme contre le bas de son dos mais Molly Hooper s'en fichait. Elle vait juste envie d'oublier, de l'oublier.

La jeune pathologiste savait très bien qu'il l'utilisait, elle et ses sentiments envers lui: Sherlock Holmes, le seul et unique détective-consultant du monde. Mais cette fois-ci, il avait été trop loin. Et il le savait très bien.

Flash-Back

"-Sherlock, que viens-tu faire ici, damanda Molly ?

-J'ai besoin de toi, répondit-il alors qu'il se rapprochait dangereusement d'elle.

-Mais encore, sourit-elle en reculant jusqu'à cogner contre une fenêtre. ?

-Pour ça."

Et il l'embrassa là, devant une fenêtre qui avait une dizaine de journaliste derrière, qui ne pouvait s'arrêtaient de prendre des clichés du détective et de la belle inconnue. Sherlock mit fin au baiser et la regarda dans les yeux, souriant et se redecalla d'elle comme si de rien été.

Molly se précipita vers lui mais se figea lorsqu'il dit la raison de ce baiser:

"Tu dois savoir qu'il y a pas mal de rumeurs qui courent sur John et moi. Il m'en tiens très souvent pour responsable et même si il est avec Mary, elles n'ont pas cessé pour autant donc M. Et Mme Watson m'ont demandé d'agir. Je me suis dit qu'une photo de toi et moi nous embrassant suffirai à les cesser."

La jeune femme était en colère et sortit en courant et pleurant à chaudes larmes, de l'hôpital.

Fin du Flash-Back

Voilà tout ce qu'elle était pour lui. L'autre, la personne fantôme, celle qui n'existe pas. Elle était et resterait personne pour Sherlock Holmes.

Molly se retourna vers son compagnon mais avant d'avoir pu faire quoi que ce soit, une main puissante l'arracha à lui. La jeune femme fit volte-face et découvrit le visage furieux du détective-consultant.

Elle eut une expression de dégoût et posa un baiser sauvage et avide sur les lèvres de son inconnu qui y répondit malgré le regard noir de cruauté que lui portait le grand brun. La jeune femme lui sourit puis sortit de la boîte de nuit avec son sac, suivie par Sherlock.

Molly marchait d'un pas vascillant et lorsqu'elle commença à tomber, Sherlock réussit à la rattraper de justesse. Mais lorsqu'elle fut de nouveau en équilibre, Molly le repoussa en criant qu'elle n'avait pas besoin de son aide pour ensuite continuait son chemin vers n'importe-où-loin-de-Sherlock tout en vascillant toujours.

La jeune commença à se frotter les épaules car elle ne portait rien que son débardeur blanc, alors que c'était l'hiver londonnien. Après plusieurs mètres à essayer de se réchauffer, elle sentit quelque chose lui couvrir ses frêles épaules. C'était le Belstaff de Sherlock.

La jeune femme passa ses bras dans les manches pour ensuite le refermer avec ses bras qu'elle venait de croiser sous sa poitrine. Le jeune homme, quant à lui, se racla la gorge comme si il cherchait ses mots, ce qui valut un regard exaspéré de Molly vers le ciel.

"-Quoi, fit-elle énervée ?

-...Pourquoi ?

-Pourquoi, s'arrêta-t-elle pour le fixer de ses yeux chocolats ! Tu es sérieux ! Je crois que tu le sais très bien, s'énerva Molly en haussant le ton.

-Oui, commença-t-il à lui répondre, mais...

-Il n'y a pas de mais, hurla-t-elle dans la rue déserte ! Et tes excuses pourries que tu as préparé, il y a longtemps, pour que je redevienne la douce, gentille et effacée Molly, à quelqu'un d'autre mais pas à moi !

-Je ne...

-Merde Sherlock ! Tu n'as rien compris ? J'ai fait toutes ces choses pour essayer de t'oublier, hurla-t-elle ! J'essaye d'oublier à quel point je t'aime, murmura-t-elle.

-..."

Le jeune homme ouvrit et ferma plusieurs fois la bouche, mais aucun son ne sortit. Molly, agacée, préféra continuer sa route. Mais ce dernier, une fois sorti de son état de transe, couru se mettre à sa hauteur sans, pour autant, lui parler... du moind tout de suite:

"-Tu sais...

-Sherlock, commença à s'énerver la jeune pathologiste !

-Tu pourrais arrêter de me couper la parole.

-Non !

-Tu as un comportement puéril, murmura-t-il.

-Tout comme toi. Sauf que je ne suis pas incroyablement sexy, ni même intelligente ou un gros connard. Je suis juste Molly. Là, que quand quelqu'un a un problème mais jamais pour moi, toujour pour les autres.

-Molly, tenta Sherlock...

-Non, j'en ai marre que tu me dise ce que je dois..."

Sherlock venait de la faire taire grâce à un doux baiser, rempli d'amour. Ses mains encadraient parfaitement le visage de la jeune femme, puis il les descendit vers le bas du dos de cette dernière, qui se laissa faire et guidée par son instinct. Elle empoigna la chemise immaculée du grand brun pour pouvoir sentir son corps chaude contre le sien. Il la taquina du bout de sa langue pour qu'elle lui laisse le champs libre, ce qu'elle fit sans broncher. Ce baiser qui était doux au commencement, devint plus pressant et suvage, comme si ils avaient attendu ce moment toute leur vie.

Ils durent se séparer par manque de souffle mais ne lchèrent pas du regard. Leurs respirations étaient rapides, tout comme les battements de leurs coeurs.

"-Tu sens l'alcool, dit Sherlock.
-Et toi la menthe, sourit-elle.

-... Tu sais ce matin, je t'ai mentie. Je t'ai embrassée car j'en avais terriblement envie, sussura-t-il."

Molly sourit, le regarda longuement, puis posa un chaste baiser sur les lèvres de son détective-consultant, qui la réclamaient déjà.

Sherlock n'avait pas eu besoin des mots pour comprendre qu'il était pardonné. Il avait juste eu à la regarder dans les yeux. Il lui carressa tendrement le visage puis ils decidèrent de rentrer, chez eux.

On pouvait voir, si on le souhaitait, s'effacer les deux amants de Baker Street, dans les rues désertes de Londres, collé l'un contre l'autre.